Melvin MASSEAUX

Melvin MASSEAUX

Après deux ans de ralentissement, l’immobilier ancien enregistre un rebond net de 11 % sur les six premiers mois de 2025, selon la FNAIM et Immopret. Un signal fort pour les professionnels : volume, confiance, financement… tout semble se redresser. Focus sur les indicateurs à suivre et les leviers à actionner.

 

+11 % de transactions : un signal encourageant

La FNAIM prévoit près de 940 000 transactions en 2025, contre environ 845 000 en 2024 — soit une croissance de 11 %. Parallèlement, le baromètre Interkab constate un rebond similaire dans les données de plus de 8 500 agences indépendantes. Un ralentissement historique semble désormais derrière nous.

 

Taux au plancher = plus de projets finalisés

La reprise s’explique notamment par la baisse des taux d’emprunt à environ 3 % sur 15–20 ans. Les banques reprennent des parts de marché, et les profils solides peuvent accéder à des financements plus facilement, relançant l'acte d'achat.

Opportunité pour le marché ancien

La hausse des volumes offre de nouvelles perspectives :

. Plus de mandats à traiter pour les agences

. Négociation réaliste, avec des prix ajustés (baisses entre 2 % et 4 % observées)

. FNAIM & notaires confortent la confiance des parties

 

Mais prudence recommandée

Malgré cette embellie, quelques risques demeurent :

. Taux encore parfois instables selon le profil du dossier

. Pression sur les prix, notamment en Île‑de‑France

. Reprise marquée dans certains territoires, mais inégale au niveau national

 

 


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Après une interruption estivale en raison de fraudes et d’un afflux massif de demandes, MaPrimeRénov’ pour les rénovations globales fera son grand retour le 30 septembre 2025, mais dans un format plus strict. Budget limité, filière plus ciblée : que doivent en retenir les professionnels de l’immobilier ?

 

Une réouverture repoussée… et conditionnelle

Le guichet MaPrimeRénov’ pour les rénovations globales avait été suspendu début juin, face à un trop-plein de dossiers suspectés de fraude. Désormais, la reprise est confirmée pour le 30 septembre, mais sous conditions :

. Seuls 13 000 nouveaux dossiers seront acceptés avant la fin 2025

. La priorité est donnée aux ménages très modestes, avec une possible ouverture aux ménages modestes si le quota n’est pas atteint

 

Des montants et plafonds de travaux réduits

Pour faire face aux contraintes budgétaires, plusieurs ajustements sont prévus :

Le plafond de travaux pour calculer l’aide passe de 70 000 € à :

. 30 000 € pour un gain de 2 classes DPE

. 40 000 € pour un gain de 3 classes

. Le dispositif cible désormais uniquement les logements les plus énergivores (classés E, F ou G)

. Le bonus pour sortie de passoire (F→E) est supprimé

 

Fraude : 5 000 dossiers annulés

Sur les 16 000 dossiers jugés suspects, 5 000 fraudes avérées ont déjà été détectées et refusées. Ce nettoyage vise à sécuriser le dispositif et à restaurer la confiance

 

Ce que cela signifie pour les pros de l’immobilier

. Anticipation client : orientez vos recommandations et formations vers les profils les plus modestes

. Sélection rigoureuse des projets : prioriser les logements classés E, F, G est désormais stratégique

. Communication claire avec les clients sur la réouverture et les nouveaux critères

. Veille réglementaire indispensable : la situation 2026 dépendra des arbitrages budgétaires

 

 


 

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Vous multipliez les annonces… mais les appels ne suivent pas ? Votre bien semble invisible malgré vos efforts ? Bienvenue dans le monde des "annonces fantômes", ces publications qui dorment sur les portails sans générer de contact. Bonne nouvelle : des solutions simples existent pour retrouver de la visibilité et des leads qualifiés.

 

Pourquoi certaines annonces restent invisibles ?

Aujourd’hui, la majorité des agences diffusent leurs biens sur les mêmes portails… avec les mêmes titres, les mêmes photos, parfois même le même texte. Résultat : les annonces se ressemblent, se noient dans la masse, et perdent en attractivité.

La concurrence est rude, notamment dans les grandes villes où des centaines de biens similaires peuvent cohabiter sur un même secteur. Et si vos annonces ne se démarquent pas dans les premiers résultats, elles deviennent rapidement… invisibles.

 

Les clés pour booster la visibilité de vos annonces

1. Soignez vos visuels

Une image vaut mille mots. Investissez dans des photos lumineuses, bien cadrées, et évitez les prises de vue floues ou mal rangées. Pensez à mettre en avant le détail qui fait la différence : vue dégagée, terrasse, cuisine équipée…

2. Travaillez vos titres et descriptions

Évitez les intitulés trop génériques comme “Bel appartement T3” : personnalisez ! Par exemple : "Dernier étage avec vue dégagée - T3 lumineux à deux pas du centre". Côté description, soyez clair, précis et orientez le texte vers les bénéfices pour l’acheteur.

3. Multipliez les canaux, sans exploser votre budget

La diffusion massive est utile, mais elle a un coût. Et trop de portails payants finissent par rogner vos marges. Heureusement, des solutions existent pour gagner en visibilité gratuitement (voir plus bas ?).

 

Monbien : le portail qui redonne vie à vos annonces

Dans un marché où la visibilité est clé, Monbien offre une alternative puissante, économique et conçue exclusivement pour les agences immobilières. Fini les frais cachés, les limites de diffusion ou les plateformes pensées pour les particuliers : ici, vous reprenez le contrôle total sur votre visibilité.

 

Ce que Monbien vous apporte :

. Diffusion gratuite et illimitée de toutes vos annonces : plus de limites ou de coûts au clic.

. Plateforme 100 % dédiée aux pros : aucune publicité extérieure ni contact direct entre particulier.

. Interface claire et ergonomique : vos annonces sont mises en avant et faciles à consulter.

. Géolocalisation des biens pour une navigation plus intuitive des acheteurs.

. Passerelle automatique compatible avec vos outils pour une diffusion rapide.

. Statistiques par annonce pour suivre les performances et ajuster vos actions.

. Fiche pro dédiée dans l’annuaire pour gagner en visibilité locale et renforcer votre image.

 


 

Vous avez des questions concernant www.monbien.fr ? Appelez le 03 89 32 03 00 !
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Une clause mal rédigée, un mandat incomplet… et vos honoraires s’envolent. En 2025, la rédaction soignée d’un mandat n’est plus accessoire : c’est votre principal levier juridique pour protéger votre commission — et la profession l’a bien compris.

 

Pourquoi un mandat bien rédigé est indispensable

Le mandat fixe le cadre légal de votre mission : exclusivité, pouvoirs, durée, clause pénale… Chaque élément compte. Un défaut de forme ou un oubli (comme des mentions obligatoires ou des clauses trop floues) peut rendre votre mandat nul ou difficile à défendre en cas de litige.

Les distinctions entre mandat simple, semi-exclusif, et exclusif impactent directement votre niveau de protection et vos chances de percevoir vos honoraires. Un mandat mal ficelé, c’est souvent un mandat perdu.

 

Les clauses clés pour sécuriser votre commission

1. Exigence d’exclusivité et clause pénale

Le mandat exclusif interdit au vendeur de confier le bien à d’autres agences ou de vendre par ses propres moyens. Une clause pénale permet de prévoir une indemnité en cas de non-respect. Cette protection est précieuse, mais encore faut-il que la clause soit rédigée en bonne et due forme.

2. Pouvoir de signature anticipée

Un mandat peut inclure un pouvoir vous permettant d'accepter une offre conforme ou même de signer un compromis à la place du vendeur. Cette clause stratégique nécessite un encadrement juridique solide pour être valable.

3. Modalités de preuve de présentation

Bons de visite, emails, attestations : la preuve que vous avez présenté l’acquéreur est indispensable. Le mandat peut vous aider à encadrer cette traçabilité.

 

Pourquoi beaucoup d’agents se retrouvent démunis

Trop d’agences utilisent encore des modèles anciens, incomplets, ou bricolés. Résultat : des contrats vulnérables, des commissions contestées… voire perdues. Et face à un client malintentionné, le flou juridique ne vous protège jamais.

 

Sinimo : la solution juridique pensée pour les agences immobilières

Conçue exclusivement pour les professionnels de l'immobilier, Sinimo vous permet de générer, gérer et faire signer tous vos contrats immobiliers en un temps record — tout en garantissant leur validité juridique.

Les fonctionnalités clés :

. +50 modèles à jour : mandats, compromis, avenants, lettres, courriers juridiques

. Signature électronique intégrée (face à face ou à distance)

. Utilisable 100 % en ligne, depuis votre ordinateur, tablette ou mobile

. Scan de pièces jointes et génération d’annexes automatiques

. Hébergement sécurisé des documents : vos contrats sont conservés sur des serveurs certifiés, en conformité avec la législation européenne

. Registre des mandats intégré et conforme aux obligations légales

 

 

 

Et surtout : une tranquillité juridique totale

Fini les oublis, les erreurs ou les zones de flou : Sinimo vous guide clause par clause, selon le type de contrat, le bien, et les parties. Vous gagnez du temps, mais surtout vous sécurisez votre activité.

 


 

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Appels non sollicités, boîtage sans retour, porte-à-porte infructueux… De nombreux professionnels le constatent : les méthodes traditionnelles de prospection ne fonctionnent plus comme avant. Le particulier est sursollicité, méfiant et sélectif. Pour continuer à rentrer des mandats, il faut repenser l’approche.

 

La prospection classique est à bout de souffle

Appels non sollicités, boîtage sans retour, porte-à-porte infructueux… De nombreux professionnels le constatent : les méthodes traditionnelles de prospection ne fonctionnent plus comme avant. Le particulier est sursollicité, méfiant et sélectif. Pour continuer à rentrer des mandats, il faut repenser l’approche.

 

Les vendeurs veulent de la valeur, pas de la pression

Aujourd’hui, le vendeur attend d’un professionnel qu’il comprenne son projet et lui apporte une valeur ajoutée dès le premier contact. L’enjeu n’est plus de forcer un rendez-vous, mais de devenir l’interlocuteur évident, le jour où il est prêt. La clé ? Être visible, professionnel, et présent au bon moment.

 

L’importance de la qualité de contact

Aujourd’hui, il ne s’agit plus d’être le plus visible, mais d’être le plus pertinent. Adapter ses messages, valoriser son expertise locale, et entretenir une présence régulière, voilà les clés d’une prospection efficace et durable. Cette approche permet de générer des rendez-vous vendeurs plus qualifiés, avec des propriétaires déjà en confiance.

 

Marketing Immobilier : la solution pour rentrer plus de mandats

Pour accompagner cette évolution, Marketing Immobilier propose une solution de prospection par SMS 100 % dédiée aux pros.
Le principe : deux messages personnalisés sont envoyés automatiquement aux particuliers qui publient une annonce dans votre secteur (vente ou location).

✅ Le message est à votre nom
✅ Il est rédigé pour inspirer confiance et inciter à l’échange
✅ L’envoi est discret, sans pression, pour créer un contact naturel

Objectif : décrocher plus de rendez-vous vendeurs sans perdre de temps ni user votre image.

Ce service est exclusif à un professionnel par secteur, pour garantir son efficacité.





 

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En cas de compromis de vente qui tombe à l’eau à cause du non‑versement du dépôt de garantie, la cour d’appel de Grenoble a validé la possibilité pour l’agent immobilier de réclamer une indemnisation pour perte de chance de percevoir sa commission, ainsi que le remboursement des frais engagés. Une décision qui renforce vos droits face aux acquéreurs défaillants.

 

Les faits : un bien prestigieux et une absence de dépôt

Un mandat de vente avait été confié à un agent pour un bien d’exception. Le compromis prévoyait le versement d’un dépôt de garantie (indemnité d’immobilisation) par l’acquéreur. Ce dernier n’a jamais versé cette somme, entraînant la caducité automatique du compromis. En conséquence, l’agent a vu sa vente échouer et son commissionnement compromis.

 

Qualifier la faute et évaluer le préjudice

La cour d’appel a jugé que l’acheteur avait manqué à une obligation essentielle du compromis, provoquant la perte de chance pour l’agent de toucher sa commission. Elle a évalué ce préjudice à 80 % de la commission espérée (soit 80 000 €), et accordé environ 11 000 € pour les frais liés aux visites, démarches et documents préparés.

 

Fondement légal : l’article 1240 du Code civil

L’action s’appuie sur l’article 1240 du Code civil : « Tout fait quelconque de l’homme… oblige celui par la faute duquel il est arrivé à le réparer. » Ici, l’inexécution du dépôt constitue une faute, justifiant une indemnisation proportionnelle au préjudice subi

 

Des conséquences utiles pour les professionnels

. Protégez vos intérêts dans les compromis : exigez systématiquement un dépôt de garantie, précisé comme condition essentielle.

. Préparez vos preuves : gardez les relances, justificatifs, échanges avec l’acquéreur.

. Évitez les montants irréalistes : l’indemnisation couvre la perte de chance, et non la commission entière.

. Couvrez vos frais : les visites, diagnostics, etc., sont également indemnisables.

 

 


 

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Le réseau coopératif L’Adresse lance « L’Adresse de Prestige », un nouveau service pensé pour les biens haut de gamme — sans viser l’ultra‑luxe. Grâce à des outils sur mesure, une formation dédiée et une conciergerie personnalisée, ce label ambitionne de renforcer le positionnement des agences tout en répondant à une clientèle exigeante.

 

Une offre prestataire accessible à tout le réseau

Avec ses 350 agences, L’Adresse permet désormais à ses franchisés d’ajouter ce service Premium à leur panoplie — sans devoir rejoindre un réseau séparé. Brice Cardi, président, insiste :

« Nous apportons un service sur‑mesure… sans renier nos valeurs ni bouleverser notre fonctionnement »

Le dispositif est accessible selon la zone de chalandise et les ambitions de chaque agence, avec déploiement progressif vers une quinzaine de sites d’ici fin 2026.

 

Une réponse aux nouvelles attentes du marché haut de gamme

Face à un marché de prestige en mutation – entre rareté de l’offre et exigences accrues des acquéreurs – L’Adresse entend structurer une offre spécifique capable de répondre aux codes du luxe : accompagnement sur-mesure, communication raffinée, services personnalisés.

Avec ce nouveau positionnement, le réseau souhaite permettre à ses agences d’accéder à un segment plus rentable et de monter en compétence sur des biens d’exception, sans pour autant perdre leur ancrage local.

 

Une marque à part entière, avec ses outils et sa charte

"L’Adresse de Prestige" se distingue par :

. Une identité visuelle dédiée ;

. Une communication sélective (photos professionnelles, mise en scène, storytelling…) ;

. Un accompagnement VIP pour les vendeurs comme pour les acquéreurs ;

. Une formation spécifique pour les agents concernés.

Une trentaine d’agences pilotes sont déjà en test dans les grandes métropoles et zones côtières. Le réseau ambitionne de généraliser ce label aux agences volontaires sur tout le territoire d’ici 2026.

 

Vers une montée en puissance stratégique

Avec cette initiative, L’Adresse suit une tendance initiée par d’autres grands réseaux, qui développent des pôles prestige pour capter une clientèle CSP+ souvent exigeante… mais fidèle quand le service est à la hauteur.

Pour les professionnels, c’est une opportunité de :

. Diversifier leur portefeuille de biens ;

. Booster leur chiffre d’affaires moyen par transaction ;

. Et travailler des mandats exclusifs, mieux valorisés.

 

 


 

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Suite à la condamnation de l’animateur Stéphane Plaza pour violences conjugales, son réseau immobilier traverse une tempête sans précédent. Résultat : plus de 50 % des agences ont quitté la franchise en moins d’un an. Analyse d’un effondrement brutal et de ses conséquences pour la profession.

 

Une hémorragie sans précédent dans le réseau

En 2022, Stéphane Plaza Immobilier comptait fièrement plus de 670 agences franchisées sur tout le territoire français. En juillet 2025, ce nombre a fondu à 323 agences, soit une perte de plus de la moitié de son réseau. Une partie des franchisés (environ 88 agences) ont choisi de migrer vers une nouvelle bannière proposée par la maison mère : “Sixième Avenue”, créée dans l’urgence pour sauver les meubles.

Cette fuite massive est directement liée à la condamnation de Stéphane Plaza pour des faits de violences sur son ex-compagne. Le verdict, très médiatisé, a eu des conséquences immédiates sur la perception de la marque auprès du grand public, mais aussi auprès des banques et partenaires professionnels.

 

Un nom devenu un handicap commercial

L’image de Stéphane Plaza, autrefois associée à la bienveillance, la proximité et l’humour, est aujourd’hui synonyme de controverse. Des franchisés ont rapporté que des clients annulaient des rendez-vous “en raison du nom sur la vitrine”, que des vitrines ont été vandalisées à la peinture rouge, ou encore que des refus de prêts bancaires leur étaient opposés du fait de leur appartenance à la franchise.

En interne, c’est la désillusion. Certains agents évoquent la perte de dizaines de milliers d’euros de mandats à cause du discrédit jeté sur la marque. “J’ai perdu la moitié de mon chiffre d’affaires depuis février”, déclare un franchisé anonyme.

 

Un plan B nommé “Sixième Avenue”

Pour tenter de contenir la fuite des agences, la direction du réseau a lancé Sixième Avenue, une nouvelle enseigne immobilière, juridiquement distincte, mais gérée par les mêmes actionnaires que Plaza Immobilier (dont M6 détient 51 %). Ce rebranding rapide est destiné à permettre aux franchisés de tourner la page tout en conservant leur réseau d’appui, leurs outils internes et leur accompagnement commercial.

Ce choix s’apparente à une opération de sauvetage pour les franchisés qui refusent d’être assimilés à la polémique, tout en conservant un soutien logistique solide.

 

Quelles leçons pour les professionnels de l’immobilier ?

Cette affaire met en lumière plusieurs points cruciaux pour les agences immobilières :

. Une franchise est aussi forte que son image de marque. Quand celle-ci est ternie, même de manière indirecte, les conséquences peuvent être lourdes.

. L’indépendance peut parfois protéger. Certains professionnels soulignent l’intérêt de ne pas être trop liés à un visage public ou à une personnalité.

. La communication de crise est indispensable. Dans cette affaire, le manque de prise de parole officielle rapide a amplifié la crise.

. Les franchisés doivent exiger des garanties dans leurs contrats : pouvoir de sortie anticipée, flexibilité en cas de crise d’image, etc.

 

 

 

Quel avenir pour le réseau ?

Même si “Stéphane Plaza Immobilier” conserve encore une présence sur le marché, la perte de confiance est profonde. Les mois à venir seront décisifs pour la survie de l’enseigne. Sa capacité à rétablir son image, à accompagner ses franchisés et à regagner la confiance du public sera scrutée de près.

Pour les autres réseaux, cette affaire constitue un cas d’école sur l’importance de la gestion d’image, du choix des ambassadeurs et de la solidité des fondements contractuels entre franchiseurs et franchisés.




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SAFTI affiche une performance historique avec une croissance de +31 % au premier semestre 2025 : 100 M€ de chiffre d’affaires, 12 450 ventes et plus de 50 000 mandats signés. Un succès qui confirme le poids croissant du réseau sur le marché des mandataires.

 
Une progression sans équivalent

Au-delà du chiffre d’affaires, ce sont 12 450 actes de vente qui ont été signés durant le semestre — soit une progression nette comparée aux 9 480 transactions réalisées sur la même période en 2024. Le nombre de mandats a également connu un bel essor, avec +12 % (plus de 50 000 mandats passés).

 
Un modèle digital & humain qui fait la différence

La réussite de SAFTI s’appuie sur deux piliers solides :

. Un modèle sans agences physiques, soutenu par 5 800 conseillers indépendants, permet de réduire les coûts et d’afficher des commissions attractives.

. Une stratégie tech avancée, axée sur l’usage de l’IA (pour la rédaction des annonces, retouche de photos) et une plateforme digitale performante

En parallèle, le réseau affiche un taux de recommandation exceptionnel (93 %) et a réalisé 150 000 heures de formation en 2024, misant sur l’excellence de ses conseillers.

 

Un contexte marché favorable

SAFTI capitalise également sur un marché en reprise, dopé par :

. Une baisse des taux, désormais autour de 3,1 – 3,2 %, qui redonne aux primo-accédants 8 à 13 % de pouvoir d’achat

. Une légère modération des prix (-5 % en moyenne), qui aide à relancer les opérations

Perspectives : viser les 6 000 conseillers et 6 % de parts de marché

Fort de ses résultats, SAFTI se fixe des objectifs ambitieux :

. Atteindre les 6 000 mandataires d’ici fin 2025 (contre 5 800 actuellement)

. Passer de 3 % à 6 % de parts de marché sur le segment de l’intermédiation immobilière.

 


 

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À partir du 1ᵉʳ janvier 2026, une réforme du Diagnostic de Performance Énergétique (DPE) entrera en vigueur, modifiant profondément le calcul du coefficient d’énergie primaire de l’électricité. Entre opportunités et vigilance, découvrez ce que cela change pour les agents, diagnostiqueurs, notaires et gestionnaires.

 

Nouveau coefficient : une correction technique majeure

Le décret à venir réduit le coefficient d’énergie primaire de l’électricité de 2,3 à 1,9, afin d’ajuster l’indicateur au mix énergétique français, majoritairement nucléaire.Conséquence immédiate : environ 850 000 logements chauffés à l’électricité pourraient sortir des classes énergétiques F ou G.

Vente : un nouveau levier de valorisation

Cette réforme est une excellente nouvelle pour les vendeurs concernés : un DPE amélioré signifie moins d’étiquettes « passoire thermique », plus d’attractivité sur le marché et une valeur préservée. Mais attention : certaines mises en vente pourraient être reportées vers 2026, dans l’attente d’un meilleur classement.

 

Un DPE plus cohérent avec la réalité du marché

Depuis sa réforme de 2021, le DPE était critiqué pour sa sévérité envers les logements chauffés à l’électricité. La révision du coefficient permet enfin d’aligner l’étiquette énergétique sur la réalité des consommations, sans pénaliser les biens bien isolés mais électrifiés. C’est un signal positif envoyé aux propriétaires et aux futurs acheteurs.

Vers un nouveau regard sur les biens électriques

Cette évolution pourrait changer la perception du marché envers l’électricité, souvent jugée trop coûteuse et polluante. À l’heure où les systèmes de chauffage se modernisent (pompes à chaleur, radiateurs à inertie connectés…), la réforme du DPE réhabilite ce mode d’énergie et offre de nouvelles perspectives aux agents immobiliers pour valoriser ces biens.

 

Conséquences pour les pros de l’immobilier

. Diagnostic plus fiable : les résultats reflètent mieux la réalité énergétique.

. Tracasseries juridiques allégées : moins de passoires à justifier.

. Communication essentielle : informez vos clients, actualisez vos outils.

. Cadence ajustée : anticiper la reprise des mandats en 2026.




 

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