Melvin MASSEAUX

Melvin MASSEAUX

Dans l’urgence du quotidien, entre visites, appels et négociations, les contrats immobiliers peuvent parfois passer en mode automatique. On réutilise un ancien modèle, on modifie à la volée, on imprime vite, on fait signer sans vérifier. Résultat : ce qui semble être un simple détail peut, en réalité, mettre en danger toute une vente, un mandat ou une location.

 

Les clauses manquantes ou mal formulées

C’est l’erreur la plus fréquente : la clause "oubliée", "mal copiée", ou "non adaptée au bien concerné". Une erreur dans la durée du mandat, l’absence de précision sur la répartition des honoraires, une condition suspensive mal rédigée, ou un oubli sur les diagnostics obligatoires peuvent faire tomber une vente, empêcher le versement des honoraires, ou ouvrir la porte à un contentieux.

Et comme les modèles Word ou PDF ne préviennent pas… la faute passe souvent inaperçue.

La signature manquante ou non conforme

Dans un monde encore largement partagé entre le papier, l’e-mail et la signature manuscrite, il n’est pas rare qu’un contrat revienne… sans la bonne signature, ou avec un oubli. Un mandataire non habilité, un indivisaire non signataire, un bailleur qui oublie de parapher une page… et c’est la validité entière du contrat qui peut être remise en cause.

Les conséquences sont lourdes : vente bloquée, rémunération contestée, responsabilité engagée.

 

Le temps perdu sur des tâches administratives

Même lorsque tout est bien rédigé, combien de temps passez-vous à adapter vos contrats, à relire, vérifier les infos, envoyer par mail, suivre les retours, relancer pour la signature, scanner, archiver ? Ce sont des heures de travail que vous ne facturez pas, mais qui s’accumulent à chaque transaction. Et tout cela… sans réelle valeur ajoutée pour vous.

 

Sinimo : La solution qui simplifie la vie quotidienne des agences

Avec Sinimo, vous ne laissez plus place au hasard dans vos contrats. L’application vous accompagne de la rédaction à la signature, pour que chaque document soit complet, clair et juridiquement carré.

Voici ce que vous gagnez concrètement avec Sinimo :

. ✅ Des contrats 100 % conformes et à jour : plus besoin de vérifier chaque clause ou de chercher le bon modèle.

. ✅ Un assistant de rédaction intelligent : les champs se remplissent automatiquement avec les infos de vos clients et de vos biens.

. ✅ Une signature électronique intégrée : fini les impressions, les scans et les relances à rallonge.

. ✅ Une centralisation de tous vos contrats : tout est archivé, accessible et sécurisé au même endroit.

. ✅ Un vrai gain de temps à chaque contrat : vous passez moins de temps sur l’administratif, et plus sur la relation client.

 

Que vous rédigiez un mandat, une promesse, un bail ou un avenant, Sinimo vous fait gagner du temps, de la fiabilité… et de la crédibilité.

 

 


 

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L’état des lieux est souvent perçu comme une simple formalité. Pourtant, derrière ce rendez-vous parfois bâclé ou géré à la va-vite, se cachent de vraies pertes financières, que ce soit pour le professionnel, le bailleur… ou parfois les deux.

 

Le temps que vous y passez… ne se facture pas toujours

Un état des lieux, c’est rarement 20 minutes. Entre le déplacement, l'attente du locataire, la vérification pièce par pièce, la prise de notes, les photos, et parfois la ressaisie sur ordinateur le soir… vous perdez souvent 1h30 à 2h par dossier.

Ce temps est rarement valorisé à sa juste hauteur, et lorsqu’il y a un litige ou une mauvaise surprise, c’est du temps que vous devez recommencer à zéro. Multiplié par 10 ou 15 lots par mois, ça représente des heures entières non rentabilisées.

 

Les imprécisions se paient cher

Un état des lieux flou ou mal documenté peut coûter très cher au propriétaire… et entacher votre image. En cas de contentieux, ce document devient une pièce juridique centrale. Une rayure oubliée, une mention non datée ou un manque de photos peut suffire à rendre la retenue sur dépôt de garantie invalide. Résultat : propriétaire mécontent, locataire gagnant… et vous en mauvaise posture.

 

La mauvaise organisation vous ralentit (et ralentit vos équipes)

Quand vous faites vos états des lieux sur papier ou avec un modèle Word bricolé, vous vous exposez à des oublis, des doublons, et surtout, à une logistique lourde. Les documents sont difficiles à centraliser, les photos sont sur un téléphone, les signatures sont scannées à la volée… Bref, rien n’est optimisé. À l’échelle d’une agence, c’est une désorganisation invisible, mais bien réelle, qui ralentit les process et nuit à l’expérience client.

 

Startloc : l'outil qui vous fait gagner là où vous perdiez

C’est pour répondre à toutes ces problématiques que l’application Startloc a été conçue.

Startloc, c’est une application mobile et web qui vous permet de réaliser vos états des lieux professionnels en un temps record, tout en garantissant un niveau de rigueur juridique irréprochable. Finis les modèles Word, les photos perdues, ou les signatures papier.

 

Avec Startloc, vous :

. Gagnez du temps : tout est centralisé, structuré et prêt à envoyer dès la sortie du logement.

. Évitez les litiges : chaque état des lieux est horodaté, illustré, signé, et archivé automatiquement.

. Valorisez votre image : vous montrez à vos clients (propriétaires comme locataires) un vrai professionnalisme dès l’entrée dans le logement.

. Travaillez plus sereinement : même vos équipes peuvent collaborer sur un même dossier sans risquer l’erreur.

 

 

L’état des lieux, c’est aussi une question de sécurité juridique

Quand un état des lieux est incomplet, mal archivé ou contestable, c’est toute la relation entre le propriétaire, le locataire… et l’agent immobilier qui vacille. Avec Startloc, vous avez l’assurance que chaque état des lieux est conforme, détaillé, signé et juridiquement solide. L’application vous guide étape par étape, vous protège en cas de litige et conserve tous les documents de façon sécurisée. C’est un véritable bouclier juridique qui vous suit partout

 

 


 

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Signer un mandat, ce n’est pas une question de chance. C’est une question de confiance, de posture, et de mots choisis. Face à un prospect vendeur, chaque échange compte. Voici 5 phrases testées et approuvées par les meilleurs agents pour faire basculer un simple contact en mandat signé — parfois même exclusif.

 

"Aujourd’hui, ce sont les biens bien positionnés qui se vendent… pas les plus beaux."

Cette phrase crée un réalignement immédiat des attentes. Elle recentre la conversation sur le marché, la stratégie, et vous positionne en conseiller objectif, pas en simple exécutant. Elle introduit subtilement l’intérêt du mandat pour bien calibrer le prix.

 

"Votre bien est dans mes recherches actives actuelles."

Même si le bien n’est pas encore en mandat, cette phrase donne au prospect le sentiment d’appartenir à une dynamique réelle. Elle déclenche une curiosité naturelle ("Quels acquéreurs ? À quel prix ?")… et ouvre la porte au mandat.

 

"Je préfère vous dire les choses telles qu’elles sont plutôt que de vous promettre une vente rapide."

Une phrase puissante pour établir une confiance durable. En vous positionnant comme un professionnel transparent et honnête, vous créez un différentiel immédiat avec les autres agents.

 

"Je travaille avec peu de vendeurs à la fois, mais je m’engage à 100 % pour chacun d’eux."

Cette phrase valorise l’exclusivité sans l’imposer. Elle rassure, humanise, et crée un cadre favorable pour obtenir un mandat (même en exclusif), sans paraître insistant.

 

"Signer un mandat, c’est avant tout clarifier qui fait quoi, pour que vous n’ayez plus à y penser."

Le mot "clarifier" désamorce les freins psychologiques. Vous ne vendez pas un engagement : vous proposez un cadre, une simplification. Et ça, c’est très rassurant pour un particulier.

 

Et si le vrai secret, c’était d’avoir les bons contacts au bon moment ?

Même les meilleures phrases n’ont d’impact que si elles sont dites au bon moment, au bon prospect. Et c’est là qu’intervient Pige Online.

 

Pige Online : votre accélérateur de mandats

 Pige Online est un logiciel de prospection immobilière conçu pour les agents qui veulent rentrer plus de mandats, plus vite, sans y passer leurs journées.

 

Avec lui, vous avez accès à :

. ✅ Des annonces de vendeurs en temps réel (sites de particuliers, portails, etc.)

. ✅ Des alertes hyper géolocalisées selon vos secteurs

. ✅ Des scripts d’appels prêts à l’emploi pour gagner du temps et être percutant

. ✅ Un tableau de bord de suivi de vos relances pour ne plus jamais passer à côté d’un mandat

. ✅ Une interface claire, intuitive, pensée pour les pros de terrain

 

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Une prospection structurée, régulière… et surtout efficace

Dans un marché où chaque vendeur est sollicité de toutes parts, la différence ne se fait plus seulement sur le discours, mais sur la vitesse d’action et la régularité. Avec Pige Online, vous ne partez plus à l’aveugle : chaque jour, vous avez une vision claire des opportunités à saisir sur votre secteur. En un coup d’œil, vous savez qui contacter, quand relancer, et sur quoi concentrer vos efforts. C’est la fin de la prospection désorganisée et aléatoire.

 

 


 

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La signature d’un compromis de vente marque un engagement ferme entre l’acquéreur et le vendeur. Pourtant, il arrive que l’acheteur, sans justification valable, refuse de signer l’acte authentique chez le notaire. Une situation délicate pour le vendeur… et un véritable casse-tête pour l’agent immobilier. Quelles sont les solutions juridiques et les démarches à suivre dans ce cas ? Voici les réponses.

 

Un compromis = un contrat juridiquement contraignant

Le compromis de vente est une promesse synallagmatique : les deux parties s’engagent, l’une à vendre, l’autre à acheter, sous certaines conditions (souvent suspensives).Lorsque l’acquéreur ne se présente pas au rendez-vous chez le notaire sans excuse légitime, cela peut être qualifié de manquement contractuel.


❗ Une fois le délai de rétractation de 10 jours écoulé, l’acheteur est tenu d’exécuter le contrat, sauf si une condition suspensive (comme un refus de prêt) s’est révélée non réalisée.

Les étapes à suivre face à un acheteur défaillant

✅ Étape 1 : Vérification des conditions suspensives

Avant toute action, vérifiez si l’acheteur a respecté ses obligations (ex : a-t-il bien sollicité trois banques pour obtenir un prêt si la clause l’exige ?).
Un refus de prêt ne vaut condition suspensive levée que s’il est justifié dans les délais.

✅ Étape 2 : Mise en demeure via le notaire

Le notaire du vendeur peut adresser une mise en demeure à l’acquéreur pour l’inviter à se présenter dans un nouveau délai fixé (généralement 8 à 15 jours).

Cette lettre est essentielle pour établir officiellement le défaut de l’acquéreur.

✅ Étape 3 : Exécution des clauses contractuelles

Si l’acheteur persiste dans son refus, plusieurs options sont possibles selon le contenu du compromis :

. Activation de la clause pénale : une indemnité de 5 à 10 % du prix peut être exigée par le vendeur.

. Demande de résolution judiciaire : le vendeur peut faire constater l’annulation de la vente aux torts de l’acheteur.

. Action en exécution forcée : dans des cas rares, le vendeur peut demander au juge d’obliger l’acheteur à signer (long, coûteux, rarement efficace)

 

Quels sont les droits du vendeur (et de l’agent) ?

? Le séquestre : peut-il être conservé ?

Souvent, l’acquéreur a versé un acompte (5 à 10 %) au moment du compromis. Si le refus de signature est injustifié, le vendeur peut demander la conservation de cet acompte à titre de dommages (avec décision judiciaire à l’appui en cas de désaccord).

? Et l’agent immobilier dans tout ça ?

L’agent est créancier de sa commission uniquement si la vente est effectivement conclue (sauf clause spécifique). Mais si le compromis est rompu aux torts exclusifs de l’acquéreur, le professionnel peut parfois demander indemnisation pour le préjudice subi, voire sa commission (jurisprudence rare mais existante).

 

Comment prévenir ce type de situation ?

. Bien qualifier l’acheteur avant compromis : pré-accord bancaire, situation financière, sérieux du projet.

. Rédiger une clause pénale claire dans le compromis, avec délai précis.

. Suivre l’acheteur jusqu’à la signature de l’acte, en lien avec le notaire.

. Conserver tous les échanges écrits : relances, réponses, confirmations.

 

 


 

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La signature d’un compromis de vente est censée sécuriser la transaction. Pourtant, il arrive qu’un acquéreur, une fois engagé, disparaisse totalement ou ne donne plus suite. Que faire dans ce cas ? Quelles options juridiques sont ouvertes au vendeur et à l’agent immobilier ? Décryptage.

 

Que dit la loi après la signature du compromis ?

Le compromis de vente (ou promesse synallagmatique) engage juridiquement les deux parties : le vendeur s’engage à vendre, l’acheteur à acheter. À compter de la signature, l’acquéreur bénéficie :

. D'un délai de rétractation légal de 10 jours (si c’est un particulier achetant un bien à usage d’habitation),

. D'éventuelles conditions suspensives (obtention de prêt, purge du droit de préemption, etc.).

⚠️ Passé le délai de rétractation et sans réalisation d'une condition suspensive valable, le silence ou l’inaction de l’acquéreur constitue une faute contractuelle.


Quelle attitude adopter en tant qu’agent immobilier ?

1. Relancer rapidement par écrit (LRAR ou mail avec accusé)
➡️ Rappeler à l’acquéreur ses engagements, les délais contractuels et l’absence de justification de son silence.

2. Vérifier les conditions suspensives du compromis
➡️ Si l’acquéreur n’a pas fait les démarches nécessaires (ex : demande de prêt), vous pouvez en informer le notaire.

3. Collaborer avec le notaire du vendeur
➡️ Il pourra envoyer une mise en demeure officielle pour exécution du compromis.

 

Quelles options juridiques pour le vendeur ?

Selon le contrat signé et les circonstances, plusieurs solutions existent :

➤ Résolution amiable du compromis

Si les deux parties sont d’accord pour annuler la vente, un accord de rupture peut être rédigé (sans forcément aller en contentieux).

➤ Activation de la clause pénale

La majorité des compromis prévoient une clause indiquant que 10 % du prix de vente seront dus au vendeur si l’acheteur se désiste sans motif légitime.

✅ En cas de silence prolongé, le vendeur peut assigner l’acquéreur en justice pour réclamer cette indemnité.

➤ Action en exécution forcée

Plus rare, cette procédure permet de demander au juge de forcer la vente. Elle est longue, incertaine, et peu recommandée sauf dans certains cas graves.

 

Comment éviter ce type de situation ?

Pour limiter les risques en amont :

. Vérifier la solidité du projet de l’acquéreur avant signature : situation financière, pré-accord bancaire.

. Encadrer rigoureusement les délais dans le compromis (notamment pour l’obtention de prêt).

. Inclure une clause pénale explicite, bien rédigée, prévoyant les cas de désistement injustifié.

. Maintenir un lien régulier avec l’acheteur pendant toute la période de compromis pour détecter d’éventuelles alertes.

 

 

 


 

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Face à l'effondrement des mises en chantier, le Gouvernement commande une mission à Robin Rivaton. Résultat : 23 pistes pour assouplir la RE2020 sans la dénaturer. Entre ambition climatique et réalisme économique, un rééquilibrage attendu par toute la profession.

 

RE2020 : 23 propositions pour simplifier, sans renoncer

Face au recul historique de la construction neuve et à la complexité croissante des normes environnementales, le rapport Rivaton, remis en juillet au Gouvernement, propose 23 mesures pour ajuster la RE2020 sans affaiblir les objectifs écologiques.

Depuis son entrée en vigueur, la RE2020 a permis de poser un cadre ambitieux pour des bâtiments plus sobres, durables et résilients. Mais sur le terrain, les professionnels dénoncent une surcharge technique, une explosion des coûts et des délais d’application incompatibles avec la réalité du marché.

 

Construire moins... ou construire mieux ?

La crise actuelle du bâtiment est sans appel : chute des permis, gel de projets, renoncements d’acquéreurs. En toile de fond, la RE2020 est pointée du doigt non pas pour ses objectifs, mais pour sa complexité et son manque de progressivité.

Le rapport Rivaton ne remet pas en cause l’ambition environnementale, mais propose un allègement intelligent de certaines exigences pour remettre les chantiers en route. Parmi les mesures phares :

. Différencier l’application des règles selon les territoires et typologies de projets (logement social, rénovation lourde, ZAN, etc.)

. Harmoniser les exigences avec les réalités du terrain (accès au foncier, filières bois/biosourcés, coûts d’approvisionnement)

. Renforcer la lisibilité des normes et créer un observatoire des effets de la RE2020

. Allonger les délais d’entrée en vigueur de certains seuils, notamment pour les petits opérateurs

 

Un cap écologique… pragmatique

L’idée forte du rapport : réconcilier écologie et économie. Maintenir une trajectoire environnementale ambitieuse, mais rendre la réglementation plus lisible, plus progressive, et plus accessible aux acteurs locaux.

Le signal est clair : l’État veut assouplir sans détricoter. Et les professionnels ont un rôle à jouer dans la relance à condition d’être accompagnés, écoutés… et non freinés par une technocratie paralysante.

 

À retenir pour les pros :

. La RE2020 n’est pas remise en cause, mais pourrait être assouplie sur certains seuils dès 2026.

. C’est le moment d’exprimer vos besoins et vos retours terrain auprès de vos fédérations.

. Des ajustements réglementaires à venir pourraient redonner de l’oxygène aux promoteurs, architectes et maîtres d’œuvre.

. Le bâtiment reste le pilier de la transition écologique, mais il doit être économiquement soutenable.

 


 

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Après deux ans de ralentissement, l’immobilier ancien enregistre un rebond net de 11 % sur les six premiers mois de 2025, selon la FNAIM et Immopret. Un signal fort pour les professionnels : volume, confiance, financement… tout semble se redresser. Focus sur les indicateurs à suivre et les leviers à actionner.

 

+11 % de transactions : un signal encourageant

La FNAIM prévoit près de 940 000 transactions en 2025, contre environ 845 000 en 2024 — soit une croissance de 11 %. Parallèlement, le baromètre Interkab constate un rebond similaire dans les données de plus de 8 500 agences indépendantes. Un ralentissement historique semble désormais derrière nous.

 

Taux au plancher = plus de projets finalisés

La reprise s’explique notamment par la baisse des taux d’emprunt à environ 3 % sur 15–20 ans. Les banques reprennent des parts de marché, et les profils solides peuvent accéder à des financements plus facilement, relançant l'acte d'achat.

Opportunité pour le marché ancien

La hausse des volumes offre de nouvelles perspectives :

. Plus de mandats à traiter pour les agences

. Négociation réaliste, avec des prix ajustés (baisses entre 2 % et 4 % observées)

. FNAIM & notaires confortent la confiance des parties

 

Mais prudence recommandée

Malgré cette embellie, quelques risques demeurent :

. Taux encore parfois instables selon le profil du dossier

. Pression sur les prix, notamment en Île‑de‑France

. Reprise marquée dans certains territoires, mais inégale au niveau national

 

 


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Après une interruption estivale en raison de fraudes et d’un afflux massif de demandes, MaPrimeRénov’ pour les rénovations globales fera son grand retour le 30 septembre 2025, mais dans un format plus strict. Budget limité, filière plus ciblée : que doivent en retenir les professionnels de l’immobilier ?

 

Une réouverture repoussée… et conditionnelle

Le guichet MaPrimeRénov’ pour les rénovations globales avait été suspendu début juin, face à un trop-plein de dossiers suspectés de fraude. Désormais, la reprise est confirmée pour le 30 septembre, mais sous conditions :

. Seuls 13 000 nouveaux dossiers seront acceptés avant la fin 2025

. La priorité est donnée aux ménages très modestes, avec une possible ouverture aux ménages modestes si le quota n’est pas atteint

 

Des montants et plafonds de travaux réduits

Pour faire face aux contraintes budgétaires, plusieurs ajustements sont prévus :

Le plafond de travaux pour calculer l’aide passe de 70 000 € à :

. 30 000 € pour un gain de 2 classes DPE

. 40 000 € pour un gain de 3 classes

. Le dispositif cible désormais uniquement les logements les plus énergivores (classés E, F ou G)

. Le bonus pour sortie de passoire (F→E) est supprimé

 

Fraude : 5 000 dossiers annulés

Sur les 16 000 dossiers jugés suspects, 5 000 fraudes avérées ont déjà été détectées et refusées. Ce nettoyage vise à sécuriser le dispositif et à restaurer la confiance

 

Ce que cela signifie pour les pros de l’immobilier

. Anticipation client : orientez vos recommandations et formations vers les profils les plus modestes

. Sélection rigoureuse des projets : prioriser les logements classés E, F, G est désormais stratégique

. Communication claire avec les clients sur la réouverture et les nouveaux critères

. Veille réglementaire indispensable : la situation 2026 dépendra des arbitrages budgétaires

 

 


 

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Vous multipliez les annonces… mais les appels ne suivent pas ? Votre bien semble invisible malgré vos efforts ? Bienvenue dans le monde des "annonces fantômes", ces publications qui dorment sur les portails sans générer de contact. Bonne nouvelle : des solutions simples existent pour retrouver de la visibilité et des leads qualifiés.

 

Pourquoi certaines annonces restent invisibles ?

Aujourd’hui, la majorité des agences diffusent leurs biens sur les mêmes portails… avec les mêmes titres, les mêmes photos, parfois même le même texte. Résultat : les annonces se ressemblent, se noient dans la masse, et perdent en attractivité.

La concurrence est rude, notamment dans les grandes villes où des centaines de biens similaires peuvent cohabiter sur un même secteur. Et si vos annonces ne se démarquent pas dans les premiers résultats, elles deviennent rapidement… invisibles.

 

Les clés pour booster la visibilité de vos annonces

1. Soignez vos visuels

Une image vaut mille mots. Investissez dans des photos lumineuses, bien cadrées, et évitez les prises de vue floues ou mal rangées. Pensez à mettre en avant le détail qui fait la différence : vue dégagée, terrasse, cuisine équipée…

2. Travaillez vos titres et descriptions

Évitez les intitulés trop génériques comme “Bel appartement T3” : personnalisez ! Par exemple : "Dernier étage avec vue dégagée - T3 lumineux à deux pas du centre". Côté description, soyez clair, précis et orientez le texte vers les bénéfices pour l’acheteur.

3. Multipliez les canaux, sans exploser votre budget

La diffusion massive est utile, mais elle a un coût. Et trop de portails payants finissent par rogner vos marges. Heureusement, des solutions existent pour gagner en visibilité gratuitement (voir plus bas ?).

 

Monbien : le portail qui redonne vie à vos annonces

Dans un marché où la visibilité est clé, Monbien offre une alternative puissante, économique et conçue exclusivement pour les agences immobilières. Fini les frais cachés, les limites de diffusion ou les plateformes pensées pour les particuliers : ici, vous reprenez le contrôle total sur votre visibilité.

 

Ce que Monbien vous apporte :

. Diffusion gratuite et illimitée de toutes vos annonces : plus de limites ou de coûts au clic.

. Plateforme 100 % dédiée aux pros : aucune publicité extérieure ni contact direct entre particulier.

. Interface claire et ergonomique : vos annonces sont mises en avant et faciles à consulter.

. Géolocalisation des biens pour une navigation plus intuitive des acheteurs.

. Passerelle automatique compatible avec vos outils pour une diffusion rapide.

. Statistiques par annonce pour suivre les performances et ajuster vos actions.

. Fiche pro dédiée dans l’annuaire pour gagner en visibilité locale et renforcer votre image.

 


 

Vous avez des questions concernant www.monbien.fr ? Appelez le 03 89 32 03 00 !
Vous souhaitez diffuser vos annonces gratuitement ? Cliquez ici.

 

 

 

Une clause mal rédigée, un mandat incomplet… et vos honoraires s’envolent. En 2025, la rédaction soignée d’un mandat n’est plus accessoire : c’est votre principal levier juridique pour protéger votre commission — et la profession l’a bien compris.

 

Pourquoi un mandat bien rédigé est indispensable

Le mandat fixe le cadre légal de votre mission : exclusivité, pouvoirs, durée, clause pénale… Chaque élément compte. Un défaut de forme ou un oubli (comme des mentions obligatoires ou des clauses trop floues) peut rendre votre mandat nul ou difficile à défendre en cas de litige.

Les distinctions entre mandat simple, semi-exclusif, et exclusif impactent directement votre niveau de protection et vos chances de percevoir vos honoraires. Un mandat mal ficelé, c’est souvent un mandat perdu.

 

Les clauses clés pour sécuriser votre commission

1. Exigence d’exclusivité et clause pénale

Le mandat exclusif interdit au vendeur de confier le bien à d’autres agences ou de vendre par ses propres moyens. Une clause pénale permet de prévoir une indemnité en cas de non-respect. Cette protection est précieuse, mais encore faut-il que la clause soit rédigée en bonne et due forme.

2. Pouvoir de signature anticipée

Un mandat peut inclure un pouvoir vous permettant d'accepter une offre conforme ou même de signer un compromis à la place du vendeur. Cette clause stratégique nécessite un encadrement juridique solide pour être valable.

3. Modalités de preuve de présentation

Bons de visite, emails, attestations : la preuve que vous avez présenté l’acquéreur est indispensable. Le mandat peut vous aider à encadrer cette traçabilité.

 

Pourquoi beaucoup d’agents se retrouvent démunis

Trop d’agences utilisent encore des modèles anciens, incomplets, ou bricolés. Résultat : des contrats vulnérables, des commissions contestées… voire perdues. Et face à un client malintentionné, le flou juridique ne vous protège jamais.

 

Sinimo : la solution juridique pensée pour les agences immobilières

Conçue exclusivement pour les professionnels de l'immobilier, Sinimo vous permet de générer, gérer et faire signer tous vos contrats immobiliers en un temps record — tout en garantissant leur validité juridique.

Les fonctionnalités clés :

. +50 modèles à jour : mandats, compromis, avenants, lettres, courriers juridiques

. Signature électronique intégrée (face à face ou à distance)

. Utilisable 100 % en ligne, depuis votre ordinateur, tablette ou mobile

. Scan de pièces jointes et génération d’annexes automatiques

. Hébergement sécurisé des documents : vos contrats sont conservés sur des serveurs certifiés, en conformité avec la législation européenne

. Registre des mandats intégré et conforme aux obligations légales

 

 

 

Et surtout : une tranquillité juridique totale

Fini les oublis, les erreurs ou les zones de flou : Sinimo vous guide clause par clause, selon le type de contrat, le bien, et les parties. Vous gagnez du temps, mais surtout vous sécurisez votre activité.

 


 

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