Melvin MASSEAUX

Melvin MASSEAUX

À l’heure où la digitalisation transforme les pratiques professionnelles, l’état des lieux papier persiste dans certaines agences. Pourtant, cette méthode traditionnelle comporte des risques non négligeables pour les professionnels de l’immobilier. Décryptage des dangers associés et des solutions pour sécuriser vos processus.

 

Les limites du format papier

L’état des lieux papier, bien que familier, présente plusieurs inconvénients majeurs :

. Erreurs de saisie : Les écritures manuscrites peuvent être illisibles ou sujettes à des erreurs, rendant le document difficilement exploitable en cas de litige.

. Perte de documents : Le risque de perte ou de détérioration des états des lieux papier est réel, surtout lors de déménagements ou de changements de personnel.

. Absence de photos : Intégrer des photos dans un état des lieux papier est complexe, limitant la précision des constats et augmentant les risques de contestation.

. Archivage complexe : Le stockage physique des documents nécessite de l’espace et une organisation rigoureuse, avec des risques de non-conformité au RGPD.

 

Conséquences juridiques et opérationnelles

Ces limitations peuvent entraîner des conséquences sérieuses :

. Litiges accrus : Un état des lieux incomplet ou imprécis peut être contesté, mettant en péril la restitution du dépôt de garantie et la relation client.

. Perte de temps : La gestion manuelle des documents ralentit les processus, impactant la productivité des équipes.

. Non-conformité réglementaire : Le non-respect des obligations légales en matière de conservation et de protection des données peut entraîner des sanctions.

 

Startloc : la solution numérique pour des états des lieux sécurisés

Face à ces enjeux, l’application Startloc offre une alternative moderne et fiable pour la réalisation des états des lieux :

États des lieux illimités : Réalisez autant d’états des lieux que nécessaire, sans surcoût.

Photos illimitées : Intégrez des photos directement dans le document, avec la possibilité d’annoter ou de dessiner sur les images pour plus de précision.

Signature électronique sécurisée : Faites signer les documents sur tablette ou mobile, avec envoi automatique du PDF sécurisé aux parties prenantes.

Comparatif entrée/sortie : Générez automatiquement un tableau comparatif conforme à la loi ALUR, facilitant l’identification des dégradations.

Chiffrage des travaux : Estimez et chiffrez les réparations nécessaires directement depuis l’application.

Sauvegarde et synchronisation : Toutes les données sont sauvegardées sur des serveurs sécurisés et synchronisées sur vos appareils.

Avec plus de 11 000 utilisateurs et près de 800 000 états des lieux réalisés, Startloc s’impose comme la référence des professionnels de l’immobilier.

 

Déjà adopté par plus de 11 000 pros de l’immobilier en France

Agents immobiliers, administrateurs de biens, gestionnaires locatifs… ils sont déjà plus de 11 000 professionnels à avoir choisi Startloc pour simplifier et sécuriser leurs états des lieux.
Avec près de 800 000 constats réalisés, l’application fait aujourd’hui référence dans le secteur. Pourquoi ? Parce qu’elle est fiable, rapide, intuitive, et pensée pour répondre aux vrais besoins du terrain.
Des indépendants aux grands réseaux, tous disent la même chose : ils ne reviendraient pas en arrière.

 


 

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Une erreur dans un contrat peut coûter cher. Pour les professionnels de l’immobilier, la solidité juridique d’un mandat, d’un compromis ou d’un bail repose sur des clauses bien rédigées et parfaitement adaptées. Voici les éléments clés à ne jamais oublier pour sécuriser vos transactions… et un outil qui peut tout changer dans votre quotidien.

 

Les clauses essentielles qui protègent

Chaque type de contrat (mandat de vente, compromis, bail…) contient des clauses fondamentales qui encadrent les droits et obligations des parties. Pourtant, certaines sont encore trop souvent négligées ou mal formulées. En voici quelques-unes qu’un professionnel ne peut pas se permettre d’oublier :

. La clause d’exclusivité dans un mandat de vente : sans elle, impossible de garantir une commission en cas de vente par un autre canal.

. La clause suspensive d’obtention de prêt dans un compromis : elle protège l’acheteur et encadre les délais, mais mal rédigée, elle peut aussi retarder la transaction.

. Les clauses d’état du bien et de diagnostics : notamment dans les baux ou les compromis, ces éléments conditionnent la validité du contrat.

. La clause de reconduction tacite : à manier avec prudence, car elle peut entraîner des litiges si elle est implicite ou absente.

Un oubli ou une approximation dans l’une de ces clauses peut entraîner l’annulation d’une vente, un contentieux ou un défaut de paiement de la commission. Et dans un marché tendu, personne ne peut se le permettre.

 

Adapter chaque clause à chaque situation

Le métier d’agent ou de mandataire, c’est aussi savoir contextualiser chaque clause. Un bail pour un logement meublé ne contiendra pas les mêmes mentions qu’un bail nu. Un mandat simple n’a pas la même portée qu’un mandat exclusif. Pourtant, dans la pression du quotidien, il est facile d’utiliser un ancien modèle ou de faire un copier-coller.

C’est ici que la rigueur contractuelle devient un avantage concurrentiel. Le professionnel qui sécurise ses écrits est celui que les clients rappellent.

 

Générez des contrats complets, à jour et sans erreurs avec Sinimo

L'application Sinimo est conçue pour aider les professionnels de l’immobilier à gérer tous leurs documents juridiques sans stress ni risque d’erreur. En quelques clics, vous générez :

. Mandats (simples, exclusifs, semi-exclusifs)

. Compromis de vente

. Baux (meublés, nus, saisonniers)

. Courriers juridiques et documents SRU

Chaque document est juridiquement à jour, adaptable à chaque situation, et signable électroniquement.

 

Un gain de temps et de sérénité pour les pros exigeants

Fini les modèles Word désorganisés ou les doutes sur la légalité d’une clause. Avec Sinimo :

. Vos contrats sont centralisés dans un espace sécurisé

. Vous travaillez sur PC, mobile ou tablette

. Vos collaborateurs peuvent accéder aux bons modèles à tout moment

. Vous gagnez du temps à chaque nouvelle transaction, sans rogner sur la sécurité

Plus de 3 500 agences et mandataires utilisent déjà Sinimo pour travailler plus vite, plus proprement, et plus sereinement.

 


 

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En 2025, les professionnels de l'immobilier font face à une concurrence accrue et à des vendeurs de plus en plus sollicités. Dans ce contexte, décrocher un mandat devient un véritable défi. Découvrez les raisons de cette évolution et les stratégies à adopter pour rester compétitif.

 

Un marché en pleine mutation

Le marché immobilier connaît des transformations significatives. La baisse des taux d'intérêt et l'amélioration des conditions de financement ont relancé l'intérêt des acquéreurs, rendant le marché plus attractif. Cependant, cette dynamique s'accompagne d'une concurrence féroce entre les professionnels pour obtenir des mandats.

 

Des vendeurs mieux informés et plus exigeants

Les vendeurs d'aujourd'hui sont mieux informés grâce à l'accès facile aux données du marché et aux outils d'estimation en ligne. Cette connaissance accrue les rend plus exigeants et moins enclins à confier leur bien sans garanties solides. Ils recherchent des professionnels capables de leur offrir une réelle valeur ajoutée et une stratégie de vente efficace.

 

Les méthodes traditionnelles montrent leurs limites

Les techniques de prospection classiques, telles que le porte-à-porte ou les appels à froid, sont de moins en moins efficaces. Elles sont souvent perçues comme intrusives et ne répondent plus aux attentes des vendeurs modernes. Il est donc essentiel de repenser sa stratégie de prospection pour s'adapter à ces nouvelles réalités.

 

Marketing Immobilier : une solution efficace pour rentrer plus de mandats

Marketing Immobilier est une solution de prospection immobilière par SMS, conçue pour aider les professionnels à générer des mandats sans prospection intrusive. Voici ses principales fonctionnalités :

1. Envoi automatisé de SMS personnalisés

Le service envoie automatiquement des messages personnalisés aux propriétaires de biens immobiliers dans votre secteur, en votre nom. Ces messages sont conçus pour susciter l'intérêt et inciter les propriétaires à vous contacter directement.

2. Exclusivité territoriale

Marketing Immobilier offre une exclusivité par secteur géographique, garantissant qu'un seul professionnel utilise le service dans une zone donnée. Cela évite la concurrence directe et maximise l'efficacité de la prospection.

3. Rapports mensuels détaillés

Chaque mois, vous recevez un rapport complet sur les performances de vos campagnes : nombre de messages envoyés, taux de réponse, appels reçus, etc. Ces données vous aident à évaluer l'efficacité de votre prospection et à ajuster votre stratégie si nécessaire.

 

Ils nous font déjà confiance

Depuis plus de 10 ans, Marketing Immobilier accompagne les professionnels de l'immobilier dans leur prospection, avec une approche innovante et respectueuse des prospects. Plus de 3 500 clients ont déjà fait confiance à notre solution pour générer des mandats de manière efficace et discrète. Notre engagement : vous fournir un service fiable, transparent et conforme aux réglementations, pour que vous puissiez vous concentrer sur votre cœur de métier en toute sérénité.

 

 


 

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Plusieurs départements ont décidé d’augmenter les droits de mutation à titre onéreux (DMTO), communément appelés « frais de notaire ». Un changement discret, mais aux conséquences bien réelles pour les acheteurs, les vendeurs et les professionnels de l’immobilier.

 

Une hausse discrète, mais significative

Depuis le 1er avril 2025, certains départements ont relevé le taux des droits de mutation, qui représentent la plus grande partie des "frais de notaire" payés par l’acquéreur lors d’un achat immobilier.
Le taux maximum autorisé est passé de 4,5 % à 5 %, et plusieurs collectivités, dont le Rhône, la Seine-Saint-Denis ou encore le Var, ont choisi d’appliquer cette hausse.

Sur un bien à 250 000 €, cela représente environ 1 250 € supplémentaires à sortir pour l’acquéreur.

 

Un pouvoir d’achat encore plus affaibli

Dans un contexte où les taux de crédit restent relativement élevés (autour de 3,3 % sur 20 ans), cette hausse vient alourdir le coût total d’une acquisition, notamment pour les primo-accédants et les ménages modestes.
Conséquences directes :

. report ou abandon de certains projets, faute d’apport suffisant ;

. réduction du budget consacré au bien lui-même, poussant vers des surfaces plus petites ou des zones moins chères.

« À 5 000 € près, beaucoup de dossiers ne passent plus. Ces frais supplémentaires font parfois toute la différence. », – Responsable d’agence, Lyon

 

Des vendeurs contraints d’ajuster leur prix

Pour compenser cette charge accrue côté acheteur, certains vendeurs sont amenés à revoir leur prix à la baisse, surtout dans les zones où la demande est déjà tendue ou peu dynamique.
Cela crée une pression indirecte sur les prix du marché, notamment pour les biens de milieu de gamme.

 

Un impact variable selon les territoires

Tous les départements n’ont pas appliqué cette hausse. Dans les zones où elle est en vigueur, les acteurs locaux constatent une forme de “gel” des projets en attente de renégociation ou de financement complémentaire.

Dans les zones épargnées, cela peut créer un effet d’aubaine temporaire, renforçant l’attractivité de certaines communes limitrophes.

 

Le rôle des professionnels : expliquer, anticiper, rassurer

Les agents immobiliers doivent aujourd’hui intégrer cette nouvelle donne dans leur argumentaire :

. Aider les acheteurs à anticiper le coût total de leur projet ;

. Orienter vers des biens compatibles avec leur nouveau budget ;

. Informer les vendeurs de l’impact potentiel sur la négociation.

Les professionnels peuvent aussi collaborer plus étroitement avec les notaires et les courtiers, pour accompagner les clients dans l’optimisation de leur financement.

 

 


 

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Bonne nouvelle pour les acheteurs ! Après des mois de turbulences, les taux de crédit immobilier se stabilisent au printemps 2025. Une accalmie qui redonne du souffle au marché et pourrait inciter de nombreux emprunteurs à passer à l’action.

 

Un marché du crédit qui se calme après la tempête

Après une envolée brutale des taux en 2023 et 2024, provoquée par l’inflation et les politiques monétaires restrictives, les emprunteurs retrouvent enfin un peu d’oxygène.
Depuis plusieurs semaines, les taux moyens se stabilisent : autour de 3,15 % sur 10 ans, 3,35 % sur 20 ans et 3,45 % sur 25 ans (sources : monchasseurimmo, Pretto).

Cette pause dans la hausse permet à de nombreux candidats à l’achat de retrouver une visibilité sur leur capacité d’emprunt. Pour les professionnels de l’immobilier, c’est un signal encourageant : les projets reviennent sur la table.

 

Une fenêtre d’opportunité pour les acquéreurs

Dans un contexte où les prix de l'immobilier ancien se sont légèrement ajustés (-2,1 % sur un an selon les notaires), cette stabilité des taux crée une conjoncture favorable :

. Les ménages qui avaient mis leur projet en pause en 2024 peuvent revenir avec un plan de financement plus réaliste.

. Les primo-accédants, souvent les plus sensibles aux taux, reprennent confiance.

. Les renégociations de crédit redeviennent envisageables sur certaines durées longues

« La stabilisation des taux, même à un niveau relativement élevé, change la donne psychologique : on n’achète pas dans une spirale haussière, on achète dans un moment de visibilité. » – Analyste Crédit Habitat, avril 2025

 

Une demande encore prudente mais en progression

Les professionnels observent une reprise progressive des demandes de financement, notamment dans les grandes métropoles et les villes moyennes attractives.
Les acquéreurs restent attentifs, exigeants, et attendent des biens bien positionnés. Mais la peur du blocage se dissipe.

« On sent un frémissement clair sur les demandes de simulation de prêt. Les acheteurs testent, comparent, et surtout, ils reviennent en agence. » – Responsable de réseau national, mai 2025

 

Ce que doivent anticiper les pros de l’immobilier

Pour les agences et mandataires, ce retour à la stabilité doit être capitalisé dès maintenant :

. Mettez à jour vos outils de simulation avec les nouveaux taux en vigueur.

. Reprenez contact avec vos leads en pause : certains sont prêts à réactiver leur projet.

. Travaillez vos argumentaires autour de la valeur d’un achat maintenant, avant une éventuelle remontée future.

. Coopérez étroitement avec vos partenaires courtiers pour fluidifier les dossiers de financement.

 

 


 

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Le gouvernement envisage une réforme du régime des plus-values immobilières, jugé trop complexe et peu incitatif. Au cœur du projet : l’abandon progressif des abattements pour durée de détention, remplacés par une indexation sur l’inflation.

 

Un système jugé obsolète et peu lisible

Depuis plusieurs années, les professionnels de l’immobilier et les fiscalistes alertent sur la complexité du régime de taxation des plus-values immobilières.
Actuellement, les cessions de biens (hors résidence principale) sont soumises à deux types de prélèvements :

. 19 % d’impôt sur le revenu, avec exonération totale après 22 ans de détention.

. 17,2 % de prélèvements sociaux, exonérés seulement après 30 ans.

Un double régime souvent mal compris par les particuliers, et source de découragement pour les investisseurs, notamment dans un contexte où les plus-values peuvent être considérables.

 

Une réforme en discussion : simplifier pour relancer

Dans ce contexte, le gouvernement travaille sur une réforme visant à remplacer les abattements pour durée de détention par un système d’indexation du prix d’acquisition sur l’inflation.
Autrement dit, le montant de la plus-value imposable ne serait plus diminué selon le nombre d’années de détention, mais calculé de manière plus réaliste en fonction de l’évolution des prix.

Un tel dispositif présenterait deux avantages majeurs :

. Plus de simplicité dans le calcul (fin des tableaux d’abattement progressif).

. Une meilleure équité fiscale, en tenant compte de la perte de valeur de la monnaie dans le temps.

 

Quel calendrier pour cette réforme ?

La mesure ne figure pas dans la loi de finances pour 2025, mais pourrait être intégrée à celle de 2026, selon les orientations budgétaires du gouvernement.
Les discussions sont en cours, notamment avec les représentants du secteur immobilier et des associations de contribuables.

L’objectif est clair : stimuler la mise en vente de biens immobiliers, notamment de résidences secondaires et d’investissements locatifs, souvent “gelés” par la crainte d’une taxation trop lourde.

 

Quelles conséquences pour les professionnels ?

Pour les agents immobiliers et mandataires, cette réforme, si elle aboutit, pourrait provoquer une vague de nouvelles mises en vente de biens anciens détenus de longue date.

Cela pourrait :

. Fluidifier le marché, notamment dans les zones secondaires et rurales.

. Offrir de nouvelles opportunités de prospection.

. Impliquer une mise à jour des argumentaires commerciaux, notamment auprès des vendeurs hésitants à céder à cause de l’imposition.

Elle obligera aussi à repenser certaines stratégies patrimoniales, notamment pour les investisseurs en location nue.

 

Une réforme encore floue mais très attendue

Si les modalités exactes de cette réforme restent à définir, le principe d’une indexation sur l’inflation semble faire consensus parmi les acteurs économiques.
Reste à savoir comment elle sera appliquée, notamment :

. En cas de travaux.

. Pour les biens acquis par succession ou donation.

. Et pour les périodes de détention longues, où les effets peuvent être très variables selon les régions.

 


 

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Face à une crise du logement persistante et à la baisse de l'investissement locatif privé, le gouvernement français envisage la création d'un nouveau statut pour les bailleurs privés. Ce dispositif vise à offrir un cadre fiscal et juridique plus attractif pour encourager les particuliers à investir dans la location de logements

 

Contexte : un marché locatif en difficulté

En 2025, le marché locatif français connaît une tension sans précédent. La suppression du dispositif Pinel, l'interdiction progressive des passoires thermiques et une fiscalité jugée complexe ont contribué à une baisse significative de l'offre locative. Selon les données de Bien’ici, l’offre de biens à louer a chuté de 12,5 % au premier trimestre 2025, atteignant un plus bas historique.

 

Le projet de statut du bailleur privé

Pour remédier à cette situation, le gouvernement a mandaté une mission parlementaire, confiée au député Mickaël Cosson et au sénateur Marc-Philippe Daubresse, chargée de formuler des propositions concrètes d’ici juin 2025. L'objectif est de créer un cadre fiscal stable et incitatif pour relancer l’investissement locatif privé.

Parmi les pistes envisagées :

. Un dispositif fiscal universel pour les revenus locatifs, qu'ils soient issus de locations nues ou meublées

. La possibilité d'amortir la valeur du bien immobilier, permettant ainsi de réduire l'impôt sur les revenus fonciers.

. La déduction des charges, des intérêts d’emprunt et des travaux de rénovation, notamment énergétiques.

. Une simplification des règles fiscales pour plus de lisibilité.

. Ces mesures visent à reconnaître le bailleur privé comme un acteur économique à part entière et à restaurer l'attractivité de l'investissement locatif privé.

 

Calendrier et perspectives

Bien que ce nouveau statut ne figure pas dans la loi de finances pour 2025, le sujet semble aujourd’hui faire consensus. Les propositions de la mission parlementaire devraient être intégrées dans le projet de loi de finances pour 2026.

 

Conclusion

La création d'un statut du bailleur privé représente une opportunité majeure pour relancer l'investissement locatif en France. En offrant un cadre fiscal et juridique plus attractif, ce dispositif pourrait inciter davantage de particuliers à investir dans la location de logements, contribuant ainsi à résoudre la crise du logement et à promouvoir la transition énergétique.

 

 


 

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Le 5 mai 2025, Loïc Cantin, président de la FNAIM, a été élevé au rang de chevalier de la Légion d’honneur. Une reconnaissance forte pour plus de 45 ans d’engagement au service du logement et des professionnels de l’immobilier. Retour sur une cérémonie symbolique et un parcours exemplaire.

 

Loïc Cantin décoré par la ministre du Logement

Lors d’une cérémonie solennelle à Paris, Valérie Létard, ministre déléguée chargée du Logement, a remis la Légion d’honneur à Loïc Cantin, président de la Fédération nationale de l’immobilier (FNAIM).
Cette distinction vient récompenser un engagement de plus de quatre décennies au service d’un secteur clé de la société française : le logement.

 

Une carrière dédiée à l’immobilier et à l’intérêt général

Professionnel de l’immobilier depuis plus de 45 ans, Loïc Cantin est une figure emblématique du secteur. Son parcours est marqué par un engagement constant pour défendre la profession, moderniser les pratiques, et renforcer l’éthique dans les transactions.

Président de la FNAIM depuis octobre 2022, il s’est rapidement imposé comme un porte-voix respecté auprès des institutions, tout en fédérant les professionnels autour des valeurs de la fédération : transparence, responsabilité, et service public.

 

Une cérémonie riche en émotions

De nombreuses figures du monde immobilier étaient présentes lors de la remise de l’insigne. La ministre Valérie Létard a souligné un “engagement sans faille au service du logement et de l’intérêt général”, rappelant le rôle structurant de la FNAIM dans l’équilibre du secteur.

Ce moment fort rejaillit sur l’ensemble de la profession, mettant en lumière l’impact souvent méconnu des organisations représentatives dans les politiques publiques du logement.

 

Une reconnaissance qui honore toute une profession

La distinction de Loïc Cantin va bien au-delà d’un hommage personnel. Elle vient souligner l’importance stratégique du logement dans notre société et la responsabilité portée par les professionnels qui l’encadrent au quotidien.

Elle incarne également la volonté d’une profession de se moderniser tout en gardant un cap humaniste, tourné vers l’accompagnement des Français dans leur parcours résidentiel.

 

 


 

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Face aux turbulences judiciaires récentes, Stéphane Plaza France réagit avec la création de « Sixième Avenue ». Cette nouvelle marque, lancée par le groupe SPF, offre aux agences franchisées la possibilité de se réinventer, tout en restant au sein d'un réseau solide. Découvrez comment cette initiative vise à protéger le réseau et à s’adapter aux évolutions du marché immobilier.

 

Une scission stratégique pour préserver et dynamiser le réseau

Face aux récents défis judiciaires, le groupe SPF (Stéphane Plaza France) a décidé de franchir une nouvelle étape dans l’évolution de son réseau immobilier en lançant une nouvelle marque : Sixième Avenue. Cette initiative vise à offrir une réponse stratégique à l’évolution des attentes du marché immobilier, tout en permettant une certaine distance vis-à-vis des turbulences qui ont secoué l’image du célèbre agent immobilier Stéphane Plaza.

Les 527 agences franchisées sous l'enseigne Stéphane Plaza Immobilier se voient désormais offrir un choix important : continuer sous la marque historique ou migrer vers Sixième Avenue. Ce double positionnement répond à une double problématique : d’un côté, l’évolution des attentes des consommateurs, et de l’autre, la volonté de protéger le réseau immobilier des remous judiciaires.

 

Une réponse aux défis du marché et une volonté de distanciation

Le programme Sixième Avenue a été conçu pour répondre aux nouvelles exigences des professionnels de l'immobilier et des clients. Alors que l’enseigne historique a été marquée par des controverses judiciaires impliquant son fondateur, la nouvelle marque offre à la fois un reflet rafraîchi et une distanciation stratégique pour les franchisés qui souhaitent se dissocier des événements récents tout en restant au sein du même groupe.

En effet, après la condamnation de Stéphane Plaza en février pour "violences habituelles", il devenait impératif pour la société SPF de protéger son réseau. La création de Sixième Avenue permet aux agences de continuer leur activité sous un nouveau nom tout en bénéficiant des outils et du soutien du groupe, mais avec un positionnement différencié.

 

Un réseau à double visage : Deux marques indépendantes mais complémentaires

L’originalité de ce lancement réside dans le fait que deux marques vont désormais coexister sous la houlette du même groupe. Sixième Avenue et Stéphane Plaza Immobilier fonctionneront de manière autonome tout en partageant des synergies, des outils communs et des ressources mutualisées. Cela permet à chaque franchisé de choisir la marque qui correspond le mieux à son positionnement local, tout en bénéficiant du soutien du Groupe M6, actionnaire majoritaire, qui apporte un appui média fort à ce nouveau modèle.

La séparation tactique entre les deux enseignes permet de mieux répondre aux réalités du marché local, avec la possibilité d’offrir des services plus adaptés et de maintenir une cohérence stratégique. Les franchisés pourront ainsi proposer des solutions différenciées selon leurs cibles locales, tout en préservant l'identité du groupe et en profitant d'un accompagnement sur mesure.

 

Une vision tournée vers l’avenir : M6 en soutien stratégique

Le Groupe M6, actionnaire de référence du groupe SPF, soutient activement cette nouvelle phase de développement. Grâce à son appui média et à sa volonté de structurer un groupe immobilier multi-marques, M6 met les moyens nécessaires pour faire de Sixième Avenue une marque solide et agile, prête à s’adapter aux exigences du marché tout en offrant un accompagnement de qualité à ses partenaires franchisés.

Gilles Charron, président de SPF, souligne que ce choix repose sur la cohérence stratégique du groupe : « Nous faisons le choix de la cohérence stratégique et de la confiance en nos entrepreneurs. Ce lancement reflète notre volonté de proposer des réponses différenciées aux réalités du terrain, pour mieux servir nos clients et assurer la performance de notre réseau ».

 


 

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La gestion locative est une des tâches les plus complexes pour les professionnels de l'immobilier. Entre les relations avec les propriétaires, les locataires et la gestion des contrats, il n'est pas rare de voir des tensions apparaître, souvent à cause de malentendus ou de litiges sur l’état des lieux.

 

L’importance de la transparence dès le départ

Le premier élément clé pour éviter les litiges est la transparence. Dès le début de la relation locataire-propriétaire, il est crucial de bien expliquer les attentes et les responsabilités de chaque partie. Cela inclut la rédaction claire des contrats de location, la définition précise des conditions de paiement, ainsi que des obligations concernant l’entretien du bien.

Un point souvent négligé mais essentiel est la clarté sur l’état des lieux, qu’il soit d'entrée ou de sortie. En étant précis sur les attentes des deux parties, vous réduisez considérablement le risque de malentendus et de conflits.

 

L’état des lieux : Une étape cruciale à ne pas négliger

L’état des lieux d’entrée et de sortie est un des moments clés dans la gestion locative. Un état des lieux mal réalisé ou incomplet peut entraîner de nombreux litiges, particulièrement lorsqu'il s'agit de rendre la caution à un locataire.

Pour éviter ces conflits, il est impératif de réaliser des états des lieux détaillés, documentés, et signés par les deux parties. Vous devez prendre en compte chaque détail du bien (murs, sols, équipements) et tout écart doit être noté avec précision. Une approche rigoureuse et objective vous permettra d’éviter les accusations injustifiées et de réduire les risques de conflits.

 

La gestion des réparations et de l’entretien du bien

Les problèmes liés à l’entretien sont souvent à l’origine des litiges entre propriétaires et locataires. Il est important de bien définir, dès le départ, qui est responsable de quelle partie de l’entretien. Les réparations mineures, telles que les fuites d’eau ou les problèmes électriques, sont souvent à la charge du locataire, tandis que les réparations importantes relèvent du propriétaire.

Assurez-vous que vos contrats de location soient clairs sur ce point pour éviter toute ambiguïté. En cas de doute, les états des lieux peuvent servir de preuve pour déterminer si un problème existait déjà au moment de l’entrée du locataire ou s’il s’agit d’un dommage survenu pendant la période de location.

 

La digitalisation de l’état des lieux : Une solution moderne et efficace

Une solution comme Startloc, par exemple, permet de réaliser des états des lieux en quelques minutes directement depuis un smartphone ou une tablette. Grâce à sa fonctionnalité de signature électronique, l’application simplifie la gestion des états des lieux, tout en offrant une preuve incontestable en cas de litige.

. Création rapide d’états des lieux : Générez des états des lieux en quelques minutes via une interface intuitive.

. Signature électronique intégrée : Facilitez la signature des documents directement dans l'application, sans papier ni contrainte.

. Ajout de photos : Documentez chaque bien avec des photos, associées à des éléments précis de l'état des lieux.

. Accessibilité multi-appareils : Utilisez l'application sur smartphone, tablette et ordinateur, où que vous soyez.

. Exportation PDF facile : Générer des rapports détaillés et exportables en PDF pour un partage rapide et sécurisé.

. Archivage sécurisé : Conservez tous vos états des lieux dans un espace sécurisé, accessible à tout moment.

 

 

 

 


 

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