Tiffany WILLM

Tiffany WILLM

Passionnée par l'immobilier et chargée de communication depuis des années

"N'immobiliez pas l'immobilier" c'est le titre de la lettre ouverte écrite de front commun par les principaux réseaux et groupes immobiliers français au Président de la République pour espérer une reprise des visites immobilières jusqu'à alors interdites au vu du confinement. Un appel au dialogue et à la concertation, lancée par une profession immobilière, fragilisée.  En effet le coup d'arrêt est brutal pour ces professionnels qui ont de plus de mal à prendre leur mal en patience malgré l'apport des nouvelles technologies ! Malheureusement, lors de sa dernière conférence de presse, le premier Ministre Jean Castex a bel et bien reconduit les mesures de confinement actuelle. Les visites immobilières sont à ce jour encore impossibles !

" Monsieur le président de la République,
Monsieur le Premier ministre,
Madame la ministre déléguée chargée du Logement,

La situation que traverse notre pays est aussi inédite que terrible. Nous, réseaux et groupes immobiliers, sommes solidaires des actions menées par le gouvernement pour lutter contre la pandémie et préserver nos concitoyens. Nous avons conscience de la difficulté qui est la vôtre de trouver l’équilibre entre mesures sanitaires efficaces et maintien de l’activité économique. Dans nos activités quotidiennes, nous avons fait preuve de responsabilité et mis en place les protocoles nécessaires pour garantir la sécurité de nos collaborateurs et de nos clients.

Pourtant, depuis l’annonce du nouveau confinement, nous sommes dans une grande incompréhension. Un particulier peut signer un mandat de vente, contracter un prêt immobilier auprès de sa banque, régulariser un acte chez son notaire et même déménager. En revanche, il lui est interdit de visiter un bien. Ce chaînon manquant bloque l’intégralité des ventes et des locations et plonge certains de nos compatriotes dans des situations de détresse et de grande fragilité.

Rappelons que l’immobilier est intimement lié aux parcours de vie : mariage, naissance, séparation, décès, mutation… Et ces événements se poursuivent, pandémie ou pas. Aujourd’hui, les Français qui veulent ou doivent impérativement changer de logement se retrouvent donc sans aucune solution. Et, pendant ce temps-là, dans le parc locatif public, de façon étonnante, les visites restent autorisées !

Certes, grâce aux outils numériques, nous pouvons réaliser des visites à distance. Mais cela permet tout au plus d’effectuer une présélection. Afin de se projeter dans un achat ou une location, la visite physique reste incontournable.

Or, avoir un toit au-dessus de la tête est aussi vital que de se nourrir. Et que va-t-il se passer lorsque nous reprendrons les visites dans plusieurs semaines ? Les projets suspendus durant le confinement vont s’accumuler et entretenir la hausse des prix. Dans un contexte économique difficile, cela va plonger de nombreux Français dans des situations complexes.

Enfin, en tant que dirigeants de réseaux et de groupes immobiliers, nous sommes très inquiets pour nos agences et leurs collaborateurs. Nous parlons de 32 000 personnes réparties sur l’ensemble du territoire, au sein de 5 800 agences et cabinets dont la trésorerie a déjà beaucoup souffert cette année.

Le 28 octobre, vous avez annoncé que vous prendriez de nouvelles mesures à l’issue des quinze premiers jours du confinement selon l’évolution de la pandémie. Si celle-ci le permet, nous vous demandons de reconsidérer votre position concernant l’autorisation des visites par les professionnels de l’immobilier au regard de l’intérêt général et du droit au logement.

Conscients de l’enjeu sanitaire, nous sommes prêts à renforcer encore les protocoles mis en place pour éviter toute contamination : limiter le nombre de visites et de visiteurs, nettoyer les lieux à chaque passage, obliger nos collaborateurs à télécharger l’application Tousanticovid pour tracer leurs visites… Toutes les options sont sur la table.

Nous sommes à votre disposition pour échanger sur ces propositions et consigner par écrit nos engagements. Notre volonté est de pouvoir exercer un métier réellement utile aux Français dans les meilleures conditions sanitaires possibles."

 

Suite aux nouvelles mesures sanitaires, la ministre déléguée en charge du logement s’est entretenue dès jeudi dernier avec l’ensemble des acteurs concernés pour les assurer du soutien du gouvernement et préciser l’adaptation des différents secteurs au contexte actuel.

Au vu de l’annonce par le Président de la République d’un reconfinement généralisé à l’échelle du pays, Emmanuelle Wargon a souligné la grande vigilance du gouvernement à l’égard des sans-abri pendant cette période de reconfinement, et réaffirme son soutien aux secteurs du logement, de l’immobilier, du bâtiment et de la construction, essentiels à la vie économique de notre pays.

Immobilier, Les expulsions locatives interdites depuis le 1er novembre

Dans son communiqué, la ministre rappelle que la trêve hivernale, entrée en vigueur au 1er novembre, interdit toute expulsion locative et toute coupure d’énergie dès à présent. Jusqu’alors, la circulaire du 2 juillet 2020 faisait autorité pour prévenir toute expulsion locative sans solution de logement ou d’hébergement. De plus, des consignes claires sont diffusées aux forces de l’ordre pour que, comme lors de la période de confinement du premier semestre, la situation des personnes fragiles, en particulier des personnes sans domicile, soit appréciée avec discernement et ne donne pas lieu à verbalisation.

Logement, bâtiment et construction : maintenir l’activité tout en respectant les prescriptions sanitaires

Emmanuelle Wargon a tenu à rappeler que le maintien de l’activité du secteur est un enjeu crucial pour construire les logements et les bâtiments dont nous avons besoin à court et moyen terme, et un levier décisif pour soutenir l'économie toute entière de notre pays.

Les professionnels du bâtiment ont su dès le premier confinement mettre en place des méthodes de travail pour reprendre et poursuivre les chantiers, formalisées dans le guide OPPBTP, dans le respect des précautions sanitaires nécessaires. Ces règles ont prouvé leur efficacité et leur capacité à couvrir toutes les situations, y compris les interventions chez les particuliers. La ministre a également tenu à rassurer les acteurs sur le maintien de l’ensemble de la chaine productive du bâtiment, notamment des lieux d’approvisionnement mais également les visites sur chantier des architectes ou bureaux d’études La dérogation de déplacement vers le lieu de travail couvrira quant à elle les travailleurs dans leurs déplacements.

Par ailleurs, les services publics devront être maintenus accessibles aux usagers.

L’instruction des permis de construire, des agréments ou des autorisations administratives dans le domaine du logement fait donc partie des missions de services publics devant être maintenues : les administrations de l’Etat comme des collectivités locales mettront en œuvre la continuité de l’activité dans le respect des délais réglementaires.

L’activité des bailleurs sociaux, répondant aux caractéristiques d’une mission de service public, pourra continuer. Le Ministère du Logement est en contact permanent avec les fédérations de bailleurs sociaux afin de permettre cette continuité, notamment en ce qui concerne les attributions de logements sociaux et le lien avec les locataires.

Les travaux de rénovation continuent durant la période, dans le respect des gestes barrières. Artisans et particuliers prendront un maximum de précautions, conformément au guide de l’OPPBTP, en aérant régulièrement l’espace en travaux par exemple.

La ministre a également rappelé que les entreprises de la filière qui connaissent une baisse d’activité ou des difficultés pourront avoir recours au dispositif d’activité partielle..

La ministre sera également très attentive à ce que les activités d’entretien et de maintenance des bâtiments (ascenseurs, prestations de services de nettoyage…) se poursuivent.

Au-delà de la gestion de la crise, le gouvernement mobilise tous les leviers pour créer des conditions favorables à la production de logements :

  • 300 millions d’euros sont mobilisés dans le Plan de relance pour transformer les friches en terrains à bâtir, ainsi que 350 millions pour inciter les collectivités à délivrer des permis qui autorisent plus de logements sur les terrains disponibles ;
  • Mobilisation des investisseurs institutionnels qui ont réservé un nombre important de logements et ainsi sécurisé des opérations ;
  • Mobilisation des établissements publics fonciers et des établissements publics d’aménagement ;
  • Mobilisation des services de l’Etat et agences (ANRU, Anah) pour instruire les demandes de financements des maîtres d’ouvrage et opérateurs, et les demandes d’agréments.

Ces efforts viennent en complément du soutien massif apporté à l’activité du secteur tourné vers la rénovation énergétique des logements et des bâtiments publics et privés. Le Plan de relance consacre en effet 6.7 Md€ à cet objectif.

Immobilier, activités notariales et déménagements : une partie de l’activité peut être maintenue

La ministre s’est également entretenue avec les acteurs du secteur de l’immobilier, pour faire le point sur les adaptations nécessaires de leur activité à la période de confinement.

Les agences immobilières sont fermées au public à compter du 30 octobre 2020. Dans le cadre de l’exercice de leur profession, les agents immobiliers peuvent cependant continuer de se déplacer pour leurs activités qui ne peuvent pas être réalisées à distance.

C’est par exemple le cas pour réaliser un état des lieux. Les assemblées générales de copropriété ne pourront se tenir qu’à distance ou par correspondance.

Visite immobilier, qu'en est-il ?

Les visites des logements avant location ou vente par les particuliers doivent être remplacées par des visites virtuelles. Pour autant, compte tenu de l’impossibilité de faire des visites aux particuliers et d’accueillir le public dans les agences immobilières qui impacte très significativement leur activité, celles-ci pourront avoir recours au dispositif d’activité partielle.

Déménagement, une autorisation pendant le confinement ?

Les déménagements sont par ailleurs autorisés sur toute la durée du confinement (déplacement pour motif familial impérieux), et les actes liés (par exemple : signature de bail, remise de clés, état des lieux). Un document relatif à la location, la vente ou l’achat du bien immobilier pourra être présenté en cas de contrôle.

Les déménageurs peuvent également continuer d’exercer leur métier dans le respect strict des mesures sanitaires.

Immobilier, les études notariales sont-elles ouvertes pendant le confinement ?

Les études des notaires restent en activité. Elles mettent en place au maximum des systèmes de signature à distance, cependant lorsque cela n'est pas possible, les études notariales pourront accueillir du public, sur rendez-vous.

Enfin, la ministre appelle les professionnels de l’immobilier, les bailleurs privés et sociaux  à apporter une attention particulière aux locataires en situation fragile ou isolée.

La crise économique et sanitaire engendrée par le Covid-19 présente de fortes répercussions sur les conditions d’octroi des prêts immobiliers qui se durcissent. Afin de réduire les risques de non-remboursement des prêts, les établissements bancaires révisent en effet leurs exigences à la hausse. Certains ménages en sont malheureusement victimes. Pour pallier à cela, les agences immobilières doivent mobiliser leurs efforts pour aider les ménages modestes à obtenir un prêt.

Hausse des taux immobiliers

Les conditions d’obtention d’un prêt immobilier se durcissent à cause de la baisse du taux d’usure et de la flambée des taux d’emprunt. Les taux de crédit ont légèrement accru après avoir connu un niveau bas sur deux années. Le taux moyen sur tous marchés confondus et sur toutes durées est monté à 1,25 % en mai 2020, contre 1,18 % en avril, d’après l’Observatoire Crédit Logement/CSA.
Pour les ménages dont le pouvoir d’achat a été affecté par la crise, la pilule est difficile à avaler. Toutefois, les conditions d’emprunts sont plus auspicieuses au mois de juin. Sur l’ensemble des durées d’emprunts qui vont au-delà de 10 ans, les taux ont diminué.

Les banques deviennent prudentes

À titre de rappel, les taux des crédits immobiliers, en France, n’excèdent pas certains plafonds dits taux d’usure. Cette réglementation prétend protéger les emprunteurs les plus modestes. Ces seuils ont, depuis 2017, continuellement baissé à 2,40 % pour les prêts de 10 à 20 ans. Cela passe à 2,51 % pour les prêts qui vont au-delà de 20 ans. Depuis fin 2019, cette baisse connaît une nette augmentation.

Le HCSF ou Haut Conseil de Stabilité Financière appuie cette hausse et recommande strictement aux banques d’appliquer la règle des 33 % d’endettement. En suivant à la lettre cette nouvelle formule, les banques se concentrent particulièrement sur les meilleurs dossiers. Elles délaissent, ainsi, certains profils d’emprunteurs.

Le HCSF pousse les institutions bancaires à se conformer à des critères stricts d’octroi. Limiter le taux d’endettement de tous les emprunteurs à 33 % et ne pas accorder de prêts sur une durée supérieure à 25 ans. Cette mesure écarte les investisseurs qui sont propriétaires de leur résidence principale et qui présentent des crédits en cours. Elle exclut également les ménages modestes qui doivent s’endetter encore afin de résister à la montée des prix de l’immobilier.

Quelques conseils pour prétendre à un crédit immobilier

Face à la crise sanitaire, et même peu avant, les conditions d’obtention d’un crédit immobilier se sont durcies. Si les taux demeurent stables et très bas en dépit d’une légère hausse durant le confinement, certaines catégories d’emprunteurs obtiennent difficilement un prêt immobilier, en comparaison à il y a un an.

En cette période tendue, il convient de respecter certaines règles afin de prétendre un crédit immobilier.

Regroupement des prêts

Si un client d’une agence immobilière présente différents prêts (crédit renouvelable, consommation, auto…), cela va augmenter son taux d’endettement et va impacter sur son budget. En tant que professionnel, l’agent immobilier doit être en mesure de conseiller le client sur les démarches qu’il/elle doit entreprendre pour avoir un prêt immobilier.
En connaissance de la situation de son client, l’agence immobilière peut accompagner l’acquéreur dans la constitution de son dossier. Il se peut que l’agence puisse proposer un traitement de faveur en cette situation exceptionnelle.
Le regroupement de prêts n’est pas destiné, contrairement aux idées reçues, aux personnes en situation de surendettement.

Cette opération permet aux personnes qui disposent de plusieurs crédits de réduire leur taux d’endettement de manière significative. Ce qui leur permet de prétendre à un crédit immobilier.

Suggestion d’un bien immobilier approprié au profil de l’acquéreur

Dans le cadre de l'achat d'un bien immobilier, la banque étudie à la loupe le profil d’un acquéreur. Selon le type de bien (ancien ou neuf, appartement, maison…) et son emplacement (environnement rural ou citadin, commune…), la banque estime les chances de revente et de plus-value du bien. Plus le bien immobilier se trouve dans une zone attractive, plus l’acquéreur met toutes les chances de son côté afin que la banque valide le dossier. Ainsi, l’agence immobilière doit pouvoir choisir le bien qui convient parfaitement au profil de l’acquéreur (valeur du bien, situation financière de l’acquéreur, emplacement….).

Assistance sur l’apport personnel

Presque tous les établissements bancaires revendiquent aux emprunteurs de disposer d’un apport personnel. Le montant requis varie en fonction du profil de l’emprunteur, mais également d’une banque à une autre. Il doit, en moyenne, correspondre à 10 % du prix de vente. Cela équivaut aux frais de notaire. Outre le fait que ce soit une condition essentielle pour obtenir un crédit immobilier, l’apport personnel constitue aussi un moyen de négociation.

Dans le cas où l’acquéreur ne dispose pas d’apport ou encore en dispose peu, l’agence immobilière doit pouvoir trouver un bien qui correspond à l’apport minimum dont peut disposer l’acquéreur. L’agence peut également conseiller son client de se tourner vers les membres de sa famille. Cette recommandation est valable à condition que l’acquéreur soit primo-accédant. L’apport peut, ainsi, lui permettre d’aller en deçà de la barre d’endettement des 33 % et d’avoir accès à des propositions de prêts pertinentes.

Entretenez votre profil/dossier

Face à la crise actuelle, les banques se permettent de prendre de moins en moins de risques. Elles sont très regardantes sur les profils des emprunteurs et sur les dossiers de demande de prêts. Afin de prétendre à un crédit immobilier, il est indispensable de prendre soin de son profil.
Les critères essentiels sont : avoir un emploi stable (un CDI) et disposer d’un taux d’endettement qui n’excède pas les 33 %. Plusieurs paramètres viennent s’ajouter à ces critères : une épargne déjà constituée, une absence d’incident de paiement et de découvert bancaire, un reste à vivre suffisant (l’équivalent du montant qu’il reste à l’acquéreur après le remboursement de la mensualité de son crédit)…
Plus le profil ou le dossier de l’acquéreur répond aux impératifs des banques, plus il/elle augmente ses chances de voir son prêt immobilier accordé. L’agent immobilier peut, parfois, conseiller son client d’attendre quelques mois afin de parfaire son dossier et de démarcher les banques.

Recours à un courtier

Un courtier est en charge de chercher une offre de prêt qui répond le mieux aux besoins de l’acquéreur. Ainsi, il va négocier les conditions d’emprunt auprès des banques. Étant familier aux réglementations bancaires, il est en mesure d’appuyer le dossier du client envers ses partenaires pour pouvoir décrocher une offre de prêt.
En ces périodes de crise, le courtier constitue un véritable allié pour soutenir le dossier d’un acquéreur. C’est le seul professionnel capable de présenter un dossier sous son meilleur jour et de convaincre les banques d’accorder un prêt immobilier.

 

La verdict est tombé ! La France est re-confinée pour une durée de 4 semaines. Une situation qui nous aurait semblé inimaginable encore il y a 15 jours. Un confinement plus souple que le précédent mais qui contraint tout de même les professionnels de l’immobilier à repenser leurs pratiques, si cela n’a pas encore été réalisé.

Heureusement il existe des outils pour exercer sans risques le métier d’agent immobilier comme l’éditeur de contrats immobiliers SINIMO qui permet même de signer électroniquement !

1) On ne touche plus les documents des clients !

La manipulation du papier est devenue compliquée ces derniers mois..Ce support pouvant être vecteur du virus est en effet à éviter mais lorsqu’il s’agit d’un acte de propriété à annexer par exemple, on a pas toujours le choix ! Pour réduire les risques, la société SINIMO a ainsi développé un Scan directement intégré à son outil de création de contrats. Pour annexer un document en direct, vous pouvez ainsi simplement le prendre en photo après que le client vous l’ai présenté. Confinement ou non, un outil avec une telle fonctionnalité sera indispensable dans les prochains mois. On évite ainsi la transmission du virus, on fait des économies (plus de photocopies) et on évite les allers-retours agence-domicile du client pour un simple document annexe…

 

2) Exit les formulaires pré-imprimés, on dématérialise

La dématérialisation, on ne cesse d’en parler tant celle-ci est devenue indispensable ! Les formulaires pré-imprimés type Tissot, c’est de l’histoire ancienne..Aujourd’hui pour être vraiment à la page et exercer sans risque, on ne peut plus passer à coté des contrats numériques. Avec Sinimo, on peut ainsi générer plus de 40 contrats immobiliers, mandats, avenants, courriers…depuis un ordinateur, une tablette ou même un smartphone, en toute simplicité. Le contrat est personnalisé, rapidement mis en page et consultable en tous lieux ! Rédigés par une équipe de juristes spécialisés en droit immobilier, les contrats immobiliers intégrés à SINIMO sont mis à jour en temps réel !

3) Les signatures sont désormais...électroniques depuis le mobile, l’ordinateur des clients !

Qui dit contrats dématérialisés dit signature électronique…La signature électronique est clairement une fonctionnalité anti-covid, un véritable outil anti-panique pour concrétiser vos ventes, locations que vous soyez ou non en présence de vos clients !

Pour valider un accord, vos clients peuvent le faire directement depuis leur smartphone ou leur ordinateur. Un lien leur est envoyé pour signer électriquement quel que soit le lieu où ils se trouvent.

C’est une démarche plutôt simple pour vos clients , sans risque de transmission et vraiment économique pour vous, en particulier avec l’application SINIMO qui possède les tarifs les plus bas de France en termes de signature électronique.

4) La file d’attente à la poste, c’est fini !

Les files d’attente à la poste….On oublie ! Grâce à la signature électronique intégrée à Sinimo vous évitez cette corvée, cette perte de temps et surtout des risques ! Avec Sinimo, vous pouvez ainsi envoyer une notification SRU en un clic pour seulement 1,20€. Un tarif qui plus est économique si on le compare aux frais d’envoi postaux (L’envoi d’une notification SRU par courrier comprenant l’avant-contrat et ses différentes annexes peut coûter jusqu’à 30€ !)

Plus d’infos ici

Le décret n°2020 du 14 octobre 2020 publié au journal officiel du 17 octobre se veut un outil permettant de réduire, voire d'éliminer la discrimination au logement dont sont victimes certaines communautés. Et pour y arriver, tous les professionnels de l'immobilier (agents immobiliers, propriétaires, administrateurs de bien…) sont mis à contribution.

Le logement : reflet des crispations et tensions de la société

Il n'est pas exagéré de dire que l'accès au logement cristallise d'une certaine façon les problèmes auxquels la société est confrontée. En 2016, une agence immobilière avait publié une annonce de location dans laquelle il avait été spécifié pour le profil du locataire « pas de noir ». Plus récemment, en 2019, c'est SOS Racisme qui pointait du doigt les manquements des professionnels immobiliers.

C'est donc suite à ces multiples affaires révélant des cas de discrimination au logement et sous l'impulsion de l'ancien ministre de la ville et du Logement Julien Denormandie que le gouvernement, avec l'accord de syndicats comme la Fnaim, l'Unpi, l'Unis, Procivis/Immo de France… a décidé de poser des actes forts avec un nouveau texte.

En effet, l'État a pris conscience qu'il ne pouvait pas seul réussir à régler le problème et a donc décidé de travailler avec les professionnels pour une intermédiation, afin de lutter contre la discrimination entre particuliers.

Le décret du 14 octobre lance à partir du 1er mars 2021 un processus de formation continue et obligatoire des professionnels de l'immobilier sur la non-discrimination au logement. Selon le président de la Fnaim Jean-Marc Torrollion, il était important que les professionnels soient remis au cœur de la question pour faire avancer les choses dans le bon sens.

La formation des professionnels de l'immobilier

Rappelons que l'École Supérieure de l'Immobilier offre déjà des modules de formation pour lutter contre les discriminations au sein des professionnels du secteur afin de les alerter sur le phénomène. Mais désormais, à compter du 1er janvier 2021, au moins deux heures de formation sur la non-discrimination au logement et deux heures sur la déontologie générale doivent être incluses dans les 42 heures de formation.

Ces deux heures de formation continue devront être suivies sur une période de 3 années consécutives d'exercice.

Toutefois, le texte apporte une précision qui est que les titulaires d'une carte professionnelle expirant entre le 1er janvier et le 31 mars 2021 ont une obligation de formation sur la non-discrimination qui est d'une heure.

De fait, de leurs 42 heures de formation, ces derniers se doivent de justifier d'une heure de formation sur la non-discrimination au logement et de deux heures sur la déontologie générale.

Cette obligation de formation n'incombe pas qu'aux professionnels (agents immobiliers, administrateurs de biens, syndics de copropriété) mais aussi à d'autres catégories :

  • Les représentants légaux et statutaires des personnes morales ;
  • Les salariés et les agents indépendants exerçant sous une carte professionnelle ;
  • Les dirigeants d'établissement ou de succursale ;
  • Les collaborateurs.

La formation de toutes ces composantes du secteur est très importante pour assurer une meilleure égalité dans l'accès au logement.

Par ailleurs, la nouvelle ministre chargée du logement, Emmanuelle Wargon, et la ministre en charge de la Diversité et de l'égalité des chances ont rencontré avant la publication du décret (jeudi 1er octobre 2020) les principaux représentants des agences immobilières ainsi que l'association SOS Racisme.

Ensemble, avec les professionnels de l'immobilier (la Fnaim, Snpi, Unpi, Unis), ils ont signé une charte « La charte de lutte contre les discriminations dans l'accès au logement ». À travers cette charte, ils s'engagent, en plus des formations qu'ils dispensent, à « proposer régulièrement à leurs adhérents des espaces d'échange » mais aussi à « développer des indicateurs permettant de suivre le nombre de personnes formées à la non-discrimination chaque année ».

Ces différentes mesures s'inscrivent dans le rôle de tiers de confiance que doivent jouer les professionnels de l'immobilier comme le précise Jean-Marc Torrollion qui insiste aussi sur le fait que ce nouveau texte constitue une réelle avancée pour le secteur.

Rappelons tout de même que selon l'article 225-2 du Code pénal les pratiques discriminatoires restent des délits passibles de 3 années d'emprisonnement et de 45 000 € d'amende. Malgré tout, reste à savoir si ce nouveau texte sera suffisant pour réduire la discrimination au logement.

Zelok est une plateforme multi-services de location pour les professionnels de l’immobilier. C’est un véritable outil du quotidien pour piloter son service location de la manière la plus optimale possible. Aujourd’hui Zelok présente une de ses nouvelles fonctionnalités, la gestion automatique des demandes de location.

Le constat

A la vue de la tension locative générale sur le territoire français et plus particulièrement dans les zones tendues comme Paris et les grandes métropoles, les demandes de location explosent.

Pour proposer leurs biens disponibles, la majorité des agences immobilières utilisent des portails d’annonces immobilières comme Se loger, Le Bon Coin, Bien ici pour ne citer qu’eux. Pour les agences qui possèdent un portefeuille de mandats important avec plusieurs biens à louer, c’est une avalanche de mails chaque jour. Alors, quand un conseiller location doit gérer toutes les demandes de location de tous les biens disponibles de l’agence, cela devient compliqué, voire impossible à assurer.

Après avoir interrogé de nombreux conseillers location, les plaintes entendues sont les suivantes : « Je n’ai pas le temps de tout faire ! » ; « J’ai la hantise d’ouvrir ma boîte mail car je connais d’avance le résultat, surtout le lundi matin... » ; « Impossible de répondre à tout le monde, sinon je ne peux assurer mes autres missions comme les visites, les états des lieux, etc… ».

« Faire le métier de conseiller location n’est pas un long fleuve tranquille et il était temps de réagir et de les libérer de missions non productives et rébarbatives ! Aujourd’hui, c’est possible et c’est Zelok qui répond pour eux aux milliers de mails reçus chaque mois ! » affirme Fabrice Houlé, CEO de Zelok.

Quels sont les risques de continuer ainsi ?

« Une personne en recherche de location est impatiente et veut des réponses tout de suite, ce qui peut se comprendre. Mais si le conseiller location garde ses habitudes actuelles, il court vers un risque de générer une insatisfaction clients. Si ce dernier ne répond pas à l’intégralité de ses mails de demandes de location, il risque d’avoir en plus, des appels téléphoniques de candidats impatients, des mails de relances ou pire des avis négatifs sur Google ou sur ses avis clients. Pour finir, il ne génèrera aucun chiffre d’affaires supplémentaires et n’aura pas le temps d’aller chercher de nouveaux mandats » nous indique Fabrice Houlé.

La solution de Zelok

Pour résoudre ce problème de traitement des demandes de location, Zelok à développer une fonctionnalité adaptée aux équipes de location, la gestion automatique des leads.

Le procédé est simple, pour chaque demande de location depuis un portail immobilier, Zelok envoie un mail automatique au candidat locataire, au nom de l’agence auquel appartient le bien l’invitant à déposer gratuitement ses pièces justificatives sur Zelok et cela 24h/24 et 7J/7.

Exemple :

« Monsieur X voit un bien qui l’intéresse sur un portail immobilier. Il clique sur l’annonce pour postuler au bien. Il reçoit alors un mail (au nom de l’agence qui possède le bien) l’invitant à déposer ses pièces justificatives sur Zelok et lui indiquant que son dossier sera analysé par son conseiller immobilier quand il sera complété à 100%. »

Avec sa solution de gestion des leads, Zelok permet à l’agent immobilier d’inverser la responsabilité du dépôt des pièces justificatives. Le candidat est seul responsable de fournir ses pièces pour que son dossier soit étudié. Ce n’est donc plus à l’agent immobilier de solliciter le candidat pour récupérer les bonnes pièces.

« A partir du moment où le candidat reçoit le mail l’invitant à déposer son dossier sur Zelok, une première sélection se fait car une partie des candidats ne vont pas se créer de compte ou ne vont pas compléter entièrement leur dossier. Ces candidats sont les moins motivés pour le logement. L’agent immobilier ne perd donc plus de temps avec eux et peut se concentrer sur la sélection de ceux qui sont vraiment intéressés et qui ont complété leur dossier à 100%. » précise Fabrice Houlé.

Quel est le but pour un professionnel de se doter de cette fonctionnalité ?

« Cette fonctionnalité permet aux conseillers location qui l’utilisent de gagner un temps considérable dans leur journée pour réaliser les tâches à plus forte valeur ajoutée.

Au-delà de la satisfaction clients candidats locataires d’avoir une réponse immédiate, les agents immobiliers gardent la main sur l’essentiel : choisir le bon dossier une fois arrivé dans leur espace Zelok. Les conseillers peuvent ainsi passer plus de temps avec leurs clients et prospects à les écouter, les renseigner et les conseiller. C’est leur vrai travail non ? » conclut Fabrice Houlé.

L’option Gestion des Leads des portails immobilier est offerte à tous les abonnés de Zelok jusqu’au 30 décembre 2020.

Pour en profiter, contactez l’équipe de Zelok et bénéficier d’une mise en place simple et rapide : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

Faire la pige est un indispensable pour les professionnels de l’immobilier. Sans pige, sans prospection, on peut rapidement se retrouver avec un stock de mandats à zéro, ce qui n’est pas vraiment préconisé pour un agent immobilier soucieux de sa notoriété ! Pour être efficace l’utilisation d’un logiciel de pige est fortement recommandé, si bien que le nombre de logiciels existants sur le marché a considérablement augmenté ces dernières années. Le gain de temps obtenu en utilisant un tel outil n’est plus un mythe !

Nous avons donc mené l’enquête pour vous présenter le logiciel de pige le moins cher de France. Toutes les économies sont bonnes à prendre et en particulier en cette période de crise que nous traversons.

Les fonctions "basiques" d’un logiciel de pige

N’importe quel logiciel de pige vous permettra de mieux organiser votre prospection téléphonique immobilière et vous évitera de consulter tous les sites d’annonces immobilières existants sur la toile. Un gain de temps certain et la certitude de ne pas passer à coté d’opportunités.

Car en effet le principal intérêt d’un logiciel de pige est de pouvoir repérer des opportunités et saisir des biens au prix du marché : visualiser les baisses de prix, accéder rapidement à des annonces publiées il y a plusieurs mois (des annonces qui seraient parfois même effacées des sites d’annonces !), se créer une alerte lorsqu’un bien correspondant à certains critères est publié..

Avec un logiciel de pige vous éviterez de rappeler deux fois un même prospect et pourrez prendre des notes directement sur votre outil à chaque appel passé : noter vos rappels, les objections rencontrées, les éventuels rendez-vous…

Comment différencier les différents logiciels de pige immobilière ?

Tous les logiciels de pige sont donc équipés de fonctions « basiques » mais quelques points permettent néanmoins de les différentier, à savoir :

- Les catégories d’annonces relevées : La plupart des logiciels proposent une recherche pour les annonces de vente et location mais peu de logiciels proposent une recherche localisée sur ces deux dernières catégories : Les annonces de locations saisonnières et les annonces concernant les baux commerciaux.

- Les supports sur lesquels le logiciel peut être utilisé : PC, Mac, tablette android, ipad, smartphone..

- Les filtres proposés : baisses de prix, mètres carrés, diagnostics, type de chauffage…Certains logiciels sont équipés de filtres multiples et très précis pour trouver rapidement les annonces répondant à tous vos critères de recherche. Le Petit Plus sur Pige Online, logiciel de pige sur le marché depuis plus de 7 ans : il est possible d’accéder aux fameuses annonces oubliées, des annonces publiées il y a plus de 3 mois (et jusqu’à plus de 6 mois), parfois même effacées des sites d’annonces immobilières ! Si vous effectuez un tel tri en cochant également la case « baisse de prix », vous accéderez à de belles opportunités..Les propriétaires étant souvent plus enclin à la discussion une fois quelques mois écoulés.

- La géolocalisation : qui n’est pas proposée par tous les logiciels de pige immobilière ! En effet il peut être intéressant de localiser une annonce sur une carte pour en visualiser la situation géographique exacte.

- L’accès à un historique pour chaque annonce : Baisse de prix, origine, site de parution, date de première publication…Il peut également être utile de visualiser d’un coup d’œil votre historique de prospection sur chaque annonce. (appels passés, commentaires, rappels programmés, rdv planifiés…)

- Ergonomie et intuitivité : Certains logiciels de pige immo sont bien plus intuitifs que d’autres..

- Le prix et les possibilité d’abonnement : Le prix est un vrai élément différenciant les logiciels de pige immobilière ! Vous pourrez en effet constater de gros écarts de prix pour ce type de produit sans que cela ne reflète réellement leur qualité.

Moins cher ≠  moins de fonctionnalités !

En général, pour bénéficier d’un prix moins cher, il faut faire des compromis, et renoncer souvent à certaines fonctionnalités. Mais ce n’est pas le cas avec le logiciel Pige Online, logiciel 100% web et mobile qui est l’un des logiciels de pige immobiliere les plus performants du moment.

Proposé à seulement 19,90€  HT / mois ou199€ HT / l’année avec 2 mois offerts, il est incontestablement le logiciel de pige le moins cher de France et l’un des plus intuitifs car il a été conçu par un agent immobilier.

Ce logiciel est doté de toutes les fonctionnalités de base d’un logiciel de pige, auxquelles s’ajoutent des fonctionnalités supplémentaires, innovantes et vraiment pratiques : Pige Online relève toutes les catégories d’annonces y compris commerces, entreprises et saisonniers, Il est multi-supports, a des filtres ultra précis, propose la géolocalisation, un historique des annonces & de prospection…et il prévoit même d’innover encore d’ici la fin de l’année sans augmenter ses tarifs ! A titre de comparaison certains logiciels de pige immobiliere sont proposés à presque 80€ HT / mois pour beaucoup moins de fonctionnalités…Que vous souscriviez à un abonnement annuel (199 euros HT / an) ou mensuel (19,90€ HT / mois), Pige Online reste en effet l’offre la moins chère du marché.

Seul bémol, ce logiciel de pige ne propose pas d’essai gratuit mais au vu du tarif mensuel plutôt bas et sans engagement le risque n’est pas bien élevé ! L’équipe commerciale du logiciel propose néanmoins des démos gratuites pour visualiser l’interface et comprendre le fonctionnement de ce nouvel outil. Plus d’infos si vous le souhaitez…ICI !

La signature électronique est aujourd’hui utilisée pour un grand nombre de documents et avec la crise du coronavirus, celle-ci a connu un réel essor. Avec l’impulsion du gouvernement et sa volonté de faire émerger un nouveau modèle de société qui allie progrès économique, écologique et humain, la signature électronique pourrait-elle bien devenir obligatoire ?

A l’heure actuelle, la signature électronique n’est pas obligatoire pour la contractualisation des documents immobiliers bien qu’elle soit vivement conseillée, y compris pour des raisons sanitaires. 

Celle-ci génère en effet des avantages pour toutes les parties : 

Signature électronique, pourquoi l’utiliser en tant qu’agent immobilier ?

Si la signature électronique a connu une telle montée en puissance, cela n’est pas sans raison.

La signature peut réellement vous éviter de nombreux déplacements inutiles.. Un aller-retour pour imprimer un contrat, le faire signer puis le scanner, un autre aller-retour à la poste pour envoyer un recommandé. Encore un aller-retour pour une signature après avoir constaté une erreur de saisie ou une écriture illisible sur le même contrat...Vous avez forcément déjà vécu l’une de ses situations..

Une vraie perte de temps, qui peut pourtant être évité grâce à la signature électronique.

Sans compter les pleins d’essence, les cartouches d’encre, l’imprimante à entretenir, les frais postaux...!

Avec Sinimo, un outil tout en 1 pour créer et faire signer électroniquement tous types de contrats, vous avez la possibilité de créer en moins de deux minutes un contrat (mandat, bail, offre d’achat, promesse de vente...) lors d’un rendez-vous client puis de le faire signer en instantané sur une tablette, un téléphone ou même un ordinateur. 

Vous ne remettez plus à plus tard la signature de vos contrats et battez le fer tant qu’il est chaud ! 

Un tel outil peut également vous permettre de faire signer à distance un contrat sans avoir à vous déplacer ou sans avoir à envoyer ledit contrat par courrier, et attendre des jours et des jours son retour. Meme une notification SRU peut faire l’objet d’une signature électronique pour un coût de 1,20 par personne seulement avec l’application Sinimo. (bien moins cher qu’un courrier recommandé classique tout en préservant une vraie garantie juridique). 

La signature électronique c’est une réelle opportunité pour gagner en efficacité et en temps. Avec un outil comme celui que nous venons de citer (SINIMO) vous pouvez même gagner des heures sur l’archivage de vos documents puisque chaque signature et chaque contrat sont enregistrés sur des serveurs sécurisés (près de 10 ans par CDC Arkhinéo) Un archivage plus facile et vraiment plus fiable puisqu'il s'agit d'une filiale de la Caisse des Dépôts et Consignations ! 

Signature électronique, Quels avantages pour les clients particuliers ?

Pour vos clients, aussi, les avantages sont considérables ! 

Parapher 300 pages cela n’a rien d’exaltant. Avec la signature électronique, cette contrainte bien connue est tout simplement effacée.

On considère en effet que le client doit parcourir l’intégralité du document et ses annexes avant de pouvoir le signer électroniquement, la paraphe est alors inutile et le gain de temps certain. Rien que cet argument pourra faire faire pencher la balance en faveur de la signature électronique, sans même avoir à citer l’argument de l’empreinte carbone !

Enfin, les déplacements inutiles et l’attente sont agaçants que l’on soit professionnel ou client. En leur proposant de signer un contrat par voie électronique, vous leur permettez de signer rapidement leurs documents sans aucune contrainte horaire et sans avoir à se déplacer en agence. Ils ont parfois eux aussi des agendas assez chargés et apprécieront forcément votre réactivité et qualité de service.

Signature électronique, A t-on le choix ?

Aujourd’hui vos clients ont encore le choix et peuvent refuser de signer électroniquement un document, les deux parties devant toujours s’entendre sur le contenu du document à signer et sa forme. 

En cas d'hésitation, c’est donc à vous de les convaincre en leur présentant les différents avantages d’une signature électronique par rapport à une signature manuscrite. Et bien sûr en leur expliquant que les deux procédés : signature électronique ou manuscrite ont la même valeur légale (art 1366 du Code civil) !

A terme, la signature électronique devrait s’imposer pour peut-être un jour devenir obligatoire (le 100 % numérique est plus qu’envisagé tant les avantages sont nombreux !), alors anticipez les changements de loi, préparez vos clients et équipez-vous ! Le logiciel Sinimo est idéal si vous souhaitez pouvoir créer tous types de contrats immobiliers et les signer électroniquement en face à face ou à distance. 

 

 

2020 a été une année riche en surprises. La période a démarré sous les meilleurs auspices dans le marché de l'immobilier mais le choc du confinement a bouleversé le secteur, conduisant à une baisse significative des transactions.

Au cours du déconfinement, il a connu un rebond marqué par un engouement à l'achat de biens immobiliers. Après quelques mois fructueux, le secteur entre désormais dans une phase de stabilisation. Un marché prudent et moins rentable que les années précédentes caractérise cette transition vers une nouvelle ère.

La Covid-19 : source de dégradation de la santé immobilière en France

La crise mondiale de coronavirus a tout dévasté sur son passage, y compris le secteur de l'immobilier. Elle a provoqué une perte de plus de 270 000 transactions pour 2020. À la sortie du confinement, le marché a connu un rythme effréné ponctué par 90 000 transactions immobilières durant le printemps et l'été. Quand bien même, cette explosion n'a pas réussi à combler les 180 000 restantes !

Depuis septembre 2020, la frénésie de l'achat immobilier semble se calmer. Alors qu'une deuxième vague de nouvelles infections plane, les particuliers manifestent un désintéressement grandissant au titre de propriétaire. La hausse des annonces de plans sociaux, les suppressions de postes et la menace d'un chômage partiel à long terme empêchent les potentiels investisseurs de pénétrer dans le marché de l'immobilier.

Paris, loin de son objectif des 11 000 euros du mètre carré

Au début de l'année, la capitale de France était pleine d'espoir. La croissance immobilière tendait vers un objectif : surpasser la barre des 11 000 euros du mètre carré d'ici la fin de l'année. L'influence de la Covid-19 en a voulu autrement. La crise a fait chuter la demande. Résultat : les acheteurs ne sont que 6 %* de plus par rapport aux vendeurs et le prix du mètre carré a à peine frôlé 10 540 euros.

Toutefois, cette somme peut être revue à la hausse en raison de l'inégalité de l'impact du coronavirus sur les types d'habitations. Les petites surfaces n'ont connu qu'une légère secousse de -0,1 %, tandis que les logements de grandes surfaces ont souffert d'un recul de -0,9 %. Deux facteurs expliquent cette baisse notable : la période et la crise économique. En effet, septembre est un mois stérile pour le secteur immobilier. Une baisse significative de la demande marque cette période de l'année. Avec la situation économique délicate, le marché stagne.

La demande peine à surpasser l'offre

Les séquelles de la crise se traduisent par un rapprochement entre l'offre et la demande. En septembre, Renne n'a connu qu'une hausse infime de 3 % d'acheteurs de ses logements après la crise, contre 27 % en Février 2020. Toulouse s'en sort mieux avec une croissance de 12 % des acheteurs, contre 23 % en Février. Lyon révèle une petite augmentation de 5 % de ses acheteurs.

Lille se débrouille bien avec son rapport de 12 acheteurs sur 10 vendeurs. Ce ratio résulte d'une fixation de prix du loyer assez élevé par rapport à la moyenne. Cette stratégie favorise l'optimisation des mètres carrés (2 m2) pour le locataire qui souhaiterait devenir propriétaire.

Le secteur entre dans une phase de rééquilibrage

Sept métropoles de France virent au rouge à cause d'une baisse des prix au mètre carré. Nous entrons ainsi dans une phase de réequilibrage attendue. Pas de quoi s'alarmer !

  • Lille (-0,4 %) ;
  • Paris (-0,5 %) ;
  • Bordeaux (-0.6 %) ;
  • Lyon (-0,2 %) ;
  • Toulouse (-0,3 %) ;
  • Montpellier (-0,6 %) ;
  • Nice (-0,5 %).

Cette baisse reflète la situation immobilière de ces villes qui se conjugue au bouleversement économique. Malgré cette légère dégradation, on remarque que le marché se stabilise depuis le mois de septembre, ce qui était encore une fois attendu.

Rennes, Strasbourg et Nantes peuvent se féliciter de leur stabilité. Ces grandes villes affichent +0,5 % de hausse des prix au mètre carré. Leur prouesse dérive de leur répartition démographique optimale, de la forte densité de l'emploi et de l'affaiblissement du taux de chômage.

Reims, Clermont-Ferrand et Angers, seuls survivants épargnés par la guerre sanitaire

Reims, Clermont-Ferrand et Angers constituent les trois villes à taille humaine qui ont conservé leur potentiel immobilier.

Avec un tarif de 2 255 euros / m2, Reims propose un prix d'achat cinq fois plus faible que la moyenne. Ce coût s'explique par la durée d'amortissement réduit à 3 ans et 5 mois, alors qu'elle se chiffre à 7 ans dans les autres villes. Inondée de verdures et de lumière, la commune invite les habitants à respirer un air frais.

Clermont-Ferrand annonce un prix au mètre carré de 1 896 euros, accompagné d'une durée d'amortissement de 3 ans. La ville bénéficie d'un fort pouvoir d'achat immobilier et échappe aussi à la menace d'un taux de chômage partiel.

Angers démontre un tarif de 2 456 euros/m2. Chaque année, elle maintient une hausse des prix de 7,7 %. Pour 2020, la croissance tarifaire s'est limitée à 2,5 %. Cette rentabilité découle de la hausse du pouvoir d'achat des habitants et des prix relativement faibles des logements.

*Source : Meilleuragents, Septembre 2020

 

Ces dernières années, les ventes immobilières entre particuliers ont explosé. Si les agences immobilières ont saisi l'importance d'être présentes sur les réseaux sociaux, elles sont peu nombreuses pour le moment à avoir pris le virage de l'inbound marketing immobilier. Pourquoi est-il urgent de le faire ? On vous parle de l'opportunité que représente la stratégie inbound dans le marketing immobilier.

L'inbound marketing, c'est quoi ?

Tout d'abord, commençons par rappeler les bases de l'inbound marketing. Très concrètement, il s'agit d'une méthodologie qui consiste à créer du contenu et à le partager sur le web dans le but de générer un trafic qualifié, c'est-à-dire d'atteindre des utilisateurs susceptibles d'être véritablement intéressés par ce que vous proposez.

Ce trafic peut alors être converti en leads, puis, dans le meilleur des cas, en clients fidèles ! Tout cela, rien qu'avec du bon contenu ? Oui, c'est possible !

L'inbound marketing : une idée marketing immobilier pertinente

L'inbound marketing immobilier, c'est pour qui ? Et en quoi c'est une bonne idée marketing immobilier ? Généralement, on répand l'idée selon laquelle l'inbound est une méthode créée pour le B2B. Il semble qu'en B2C, l'immobilier soit l'exception qui confirme la règle. En effet, il s'agit d'un secteur dans lequel la décision d'achat peut être lente.

Et justement, plus le cycle d'achat est lent, plus la nécessité d'accompagner les clients se fait ressentir. Si les vendeurs comme les acheteurs sont nombreux à vouloir se passer des agences immobilières, seulement 33 % des biens immobiliers se vendent sans l'expertise d'un cabinet immobilier. L'inbound marketing immobilier peut vous aider à prendre le contrepied de cet inconvénient de la digitalisation, et à construire une présence en ligne à la fois informationnelle et commerciale.

3 raisons pour lesquelles l'inbound marketing est une bonne idée marketing immobilier

L'inbound marketing immobilier repose sur un scénario très simple à comprendre : lorsqu'un utilisateur recherche des informations sur internet à propos d'un dispositif immobilier, ou tout simplement sur la démarche à entreprendre pour acheter un bien, il ne recherche pas une agence immobilière en particulier. Il est très probable qu'il ne vous connaisse pas. Pour lui, il est simplement en train de s'informer. Pour vous, c'est un prospect qualifié dont vous allez devoir capter l'attention. Et le meilleur moyen pour cela est de lui proposer un contenu informatif, non promotionnel.

Ce premier contact avec votre prospect donne lieu à d'autres avantages propres à l'inbound marketing : vous démontrez votre expertise en immobilier, améliorez votre référencement naturel, développez la confiance avec vos clients, et vous construisez une communication indépendante et gratuite. On vous en dit plus ?

Démontrer votre expertise dans le secteur immobilier

Comme de nombreux secteurs d'activités, l'immobilier est un secteur qui demande des connaissances et des compétences particulières. Vous êtes convaincu du fait que les particuliers ont besoin de professionnels de l'immobilier pour vendre ou acheter un bien mais vous ne savez pas comment faire ? La création de contenu à haute valeur ajoutée est la première étape. Et elle vous apportera des résultats à coup sûr. Bien entendu, il vous faudra faire preuve d'un peu de patience et soigner vos contenus en pensant à ce que vous pouvez apporter aux utilisateurs, en mettant de côté dans un premier temps les bénéfices commerciaux.

A terme, c'est une stratégie gagnante puisque vous vous différenciez également de vos concurrents. La production de contenus est, certes, une activité chronophage, mais aussi extrêmement prometteuse. En effet, qui de mieux placé que vous pour parler du métier que vous exercez chaque jour ?

Créer un lien de confiance avec vos prospects

C'est assez évident : si vous apportez des informations claires, fiables et bien documentées à vos prospects qualifiés, vous vous positionnez alors en expert et gagnez des points de confiance. Dans un premier temps, vous n'êtes pas là pour vendre mais bel et bien pour informer.

De plus, l'inbound marketing immobilier vous permet de récolter des données précieuses sur le profil type de vos lecteurs, autrement dit vos prospects. En effet, tous n'ont pas les mêmes attentes ni les mêmes besoins. La publication régulière de contenus vous permet de tracer le parcours des utilisateurs sur votre blog, puis sur votre site web. Sur le long terme, vous serez en mesure de proposer du contenu personnalisé à chaque groupe de prospects. Par exemple, vos futurs clients investisseurs dans le locatif ne consulteront probablement pas exactement les mêmes contenus qu'un jeune couple qui souhaite acheter sa première maison.

Mais dans tous les cas, lorsque votre nouveau client se rendra en rendez-vous dans votre cabinet pour la première fois, il y a de grandes chances pour qu'il se soit déjà construit une bonne image. Et la confiance n'est-elle pas la base de toute relation commerciale ?

Péréniser votre stratégie d'acquisition client en vous libérant des sites spécialisés

L'acquisition payante n'est pas un levier à nécessairement mettre de côté. En revanche, dans le cadre d'une méthodologie inbound marketing immobilier, elle vient plutôt en complément. Aujourd'hui, l'immobilier est très dépendant de ces canaux payants d'acquisition client. De nombreuses agences immobilières, en particulier celles qui débutent, sont inscrites sur des sites spécialisés qui leur offrent une visibilité en échange de la souscription à un forfait payant.

Pour réduire cette dépendance du marketing immobilier à des canaux extérieurs, l'inbound marketing rompt avec cette approche. L'acquisition d'audience peut être plus lente, mais elle est aussi - à coup sûr - plus pérenne et plus stable. Lorsque vous créez des contenus pour développer une stratégie d'inbound marketing immobilier, vous améliorez par la même occasion votre référencement naturel (SEO). Mieux vous êtes référencé, plus vous apparaissez dans les résultats de recherche et donc, plus vous vous rendez visibles auprès de potentiels futurs clients !