Tiffany WILLM

Tiffany WILLM

Passionnée par l'immobilier et chargée de communication depuis des années

Pendant ces 5 prochaines semaines, la société Opinion System et le célèbre coach immobilier Romain Cartier, présent sur M6 dans Recherche Appartement ou Maison ont décidé de challenger la profession immobilière !
Au programme des ateliers uniques sous la forme de vidéos en ligne, chaque mardi à 11h, accessibles gratuitement à tous les professionnels de l’immobilier sur YouTube.

Préparer l’avenir

« Durant ces semaines de confinement, nous avons décidé de faire travailler les agents immobiliers sur des choses qu’ils ne font jamais par manque de temps, les amener à revoir leurs fondamentaux et se remettre en question » explique Jean-David Lépineux, dirigeant, co-fondateur d’Opinion System et ex-consultant chez Century 21.

Problèmes conjugaux ou besoin de changement… À la fin du confinement, de nombreux français souhaiteront poursuivre ou réaliser un nouveau projet immobilier : acheter une maison avec un grand terrain pour leurs enfants, trouver un attique avec une terrasse, investir dans un bien auto-suffisant en eau et en électricité… « Les professionnels de l’immobilier devront être au taquet sur la rentrée de mandats et nous souhaitons les accompagner au mieux durant cette période ! » ajoute-t-il. « Pendant le confinement, les projets immobiliers sont toujours d’actualité et les professionnels de l’immobilier ont toujours leur rôle à jouer ».

Des outils, méthodes et exercices ludiques

Via ce rendez-vous hebdomadaire, les professionnels de l’immobilier découvriront plusieurs outils, méthodes et exercices ludiques pour être plus efficaces et surtout faire des économies sur leurs frais en communication.

Comment exploiter sa base de données d’anciens clients durant cette période de crise sanitaire ? Comment préparer son retour sur le terrain ? Dans quelles zones dénicher des mandats rentables ? Quel argumentaire privilégier pendant le confinement et quelles actions ? Ces ateliers challenges permettront de répondre à ces différentes questions et bien plus encore…

L’objectif est de proposer un coaching de haut niveau accessible à toutes les agences et à tous les agents, revoir les fondamentaux de son activité et mieux connaître son marché.

Faut-il s’inscrire ?

Pour en bénéficier, il suffit de consulter les vidéos mises en ligne sur la chaîne YouTube d’Opinion System.

Chaque mardi à 11h un nouveau challenge est proposé et une nouvelle vidéo est diffusée. Il n’y a pas d’inscription et vous avez toute la semaine pour relever le fameux challenge !

Alors soyez studieux, restez chez vous et dans quelques semaines vous serez fin prêts pour revenir sur le terrain en étant encore plus efficace. Le premier challenge est déjà en ligne ici..A vous de jouer… !

Conséquence de la stabilisation du prix immobilier et de taux d’intérêts planchers, l’ évolution du marché immobilier aurait dû rester positive en 2020, dans la lignée d’un exercice 2019 bien orienté. Mais la crise sanitaire du Covid-19, couplée au récent durcissement des conditions d’octroi des crédits habitat, plonge la profession dans l’inconnu. Dans ce contexte, quelle sera la tendance du marché immobilier en 2020 ?

Le nombre de transactions a atteint des niveaux records dans l’ancien en 2019

Avec plus d’un million de ventes enregistrées au cours de l’exercice écoulé, le marché de l’immobilier ancien a atteint des niveaux historiques en 2019. Cette évolution du marché immobilier s’explique notamment par la chute des taux d’emprunt (1,25 % en moyenne sur l’ensemble de l’année contre 1,45 % en 2018). Les emprunteurs ont, en outre, bénéficié de l’assouplissement des conditions d’octroi des crédits par les banques. Dans un contexte de forte concurrence, les établissements financiers ont fait du crédit immobilier leur produit d’appel pour séduire de nouveaux clients, notamment les primo-accédants. La production de crédits immobiliers aux particuliers a ainsi progressé de plus de 8 % en 2019 pour s’établir à plus de 186 Md€. Les prix immobiliers ont, en parallèle, continué à progresser fortement dans de nombreuses villes du pays (Paris, Lyon, Bordeaux, Nantes, etc...) qui sont confrontées à une pénurie de biens.

Quelle tendance pour le marché immobilier en 2020 ?

Avant la crise du Covid-19, les professionnels de l’immobilier tablaient sur une nouvelle hausse du marché en 2020 sous l’effet, notamment, d’un ralentissement de l’augmentation des prix dans l’ancien. Mais l’épidémie en cours et les mesures de confinement adoptées par les pouvoirs publics affectent l’ évolution du marché immobilier. Ce dernier est désormais grippé : visites « physiques » de biens immobiliers reportées, signatures d’actes de vente parfois repoussées, délais de traitement des dossiers de prêts allongés, etc... Les semaines de paralysie de l’activité impacteront fortement le volume des transactions. D’après le site MeilleursAgents.com, le nombre de ventes dans l’ancien pourrait en effet chuter de 30 % en 2020. Et l’ évolution du marché immobilier à la levée du confinement risque de provoquer des goulots d’étranglement pour les agences. Selon une étude de l'Institut de l'Épargne Immobilière et Foncière (IEIF), parue fin mars, les conséquences de la crise pourraient néanmoins différer fortement selon les segments de marché analysés. Après une forte chute, l’activité de l’immobilier commercial devrait reprendre rapidement à la levée du confinement (scénario en « V »). La reprise pourrait être beaucoup plus lente dans les secteurs impactés plus fortement par la crise (immobilier de tourisme, bureaux loués aux grandes entreprises, centres commerciaux, etc...).

Plusieurs scénarios de reprise sont envisagés

S’il reste difficile de prévoir l’ évolution du marché immobilier à la levée du confinement, plusieurs hypothèses peuvent être formulées.

En contrecarrant les projets immobiliers des Français, l’épidémie pourrait avoir aiguisé leur appétit pour la pierre. La demande en maison, appartements avec terrasse, biens autosuffisant en eau et en énergie, grands espaces pourrait bien exploser. 

Mais la production de logements neufs ayant fortement baissé, la pénurie de biens devrait encore s’amplifier et impacter la tendance du prix immobilier. La reprise pourrait donc être brutale et les agences immobilières devraient être prises d’assaut à la levée du confinement. Les professionnels de l’immobilier craignent surtout que la crise sanitaire en cours ne débouche sur une crise économique durable. Si le confinement durent trop longtemps, les conséquences économiques seront d’autant plus importantes (faillites d’entreprises, licenciements, récession, etc...) et impacteront très fortement l’ évolution du marché immobilier. La fragilisation de la situation financière des ménages pourrait, dans ce contexte, s’accompagner d’une baisse du prix immobilier. Si la chute des tarifs devrait être modérée dans les métropoles, elle pourrait être beaucoup plus forte dans le reste du pays, notamment dans les petites villes et les zones rurales en mal d’attractivité.

L’accès au crédit immobilier se durcit

Si la crise du coronavirus influe fortement sur l’ évolution du marché immobilier, les professionnels doivent, en parallèle, faire face à un durcissement des conditions d’octroi des crédits immobiliers qui impacte également la tendance du marché immobilier. Le Haut conseil de stabilité financière (HCSF) a, en effet, récemment préconisé l’adoption de nouvelles règles pour l’obtention de prêts immobiliers (durée des crédits limitée à 25 ans et strict respect du taux d’endettement de 33 %). D’après les projections du courtier Meilleurstaux.com, réalisées en partenariat avec le cabinet Asteres, plus de 200 000 ménages pourraient ainsi être exclus du crédit immobilier en 2020 (principalement des ménages modestes et des investisseurs locatifs). Les taux de refus des dossiers ont, d’ailleurs, déjà plus que doublé dans certains réseaux au cours des premiers mois de l’année.

Mais certains professionnels exigent la mise en place de mesures d’urgence face à la crise du coronavirus.

Une suspension des dispositions adoptées récemment, suite aux recommandations du HCSF, est notamment réclamée.

Lorsqu’il s’agit d’animer des reseaux sociaux immobilier, nous sommes nombreux à nous tourner mécaniquement vers la plateforme de Mark Zuckerberg. Pourtant ce choix n’est pas aussi évident et logique que vous voulez bien le croire. L’institut Médiamétrie révèle dans son dernier rapport sur l’année passée que les habitudes de navigation évoluent, surtout chez les plus jeunes. Si Mediamétrie ne dit évidemment rien des reseaux sociaux et immobilier combinés, vous pouvez néanmoins déduire un certain nombre d’idées pour toucher les futurs primo-accédants comme les primo-louants avant vos concurrents. Avec nous, découvrez comment votre utilisation des reseaux sociaux en immobilier peut être optimisé.


To mobinaute or not to mobinaute ?

Pour beaucoup de Français, le mobile fait partie intégrante de leur être. Ainsi, sur les 92% de foyers connectés couvrant 53,1 millions d’internautes mensuels, 37,4 millions utilisent leur mobile au quotidien pour surfer sur la toile et les deux tiers de ceux-là utilisent même exclusivement leur portable. Les mobinautes dans la population française sont en nette progression, avec presque 20 % supplémentaires d’utilisateurs sur ces deux dernières années. Il est plus que jamais nécessaire d’adapter vos sites et vos réseaux à l’ergonomie et à la visibilité de la plateforme mobile. Reseaux sociaux et immobilier à l’heure du mobinaute triomphant doivent s’adapter en toute urgence à ce support.


Toucher les primo-accédants et primo-louants avec un fantôme ?

Les générations y et z sont devenues des enjeux marketings cruciaux. Généralement réfractaires à la publicité, ils sont très nombreux à les bloquer et rejetteront tout naturellement une communication qui y ressemble. Alors quels reseaux sociaux en immobilier pour préparer les jeunes à leurs premières locations, puis à leur premier achat ? Reseaux sociaux et immobilier n’auront bientôt plus aucun secret pour vous... :) 


Est-il temps d'abandonner le navire Facebook ?

« Facebook ? C’est un truc de vieux ! » vous dirait sans aucun doute votre enfant ou petit-enfant. Et effectivement, les dernières statistiques de Médiamétrie vont dans ce sens.... Chez les 25-34 ans, Facebook est encore premier, mais pour combien de temps ? Quant à la génération suivante, le célèbre réseau n'est que second, presque troisième. Pour autant, il n’a pas dit son dernier mot, et reste efficace pour prospecter et toucher les plus de vingt-cinq ans, notamment avec son marketplace qui permet de diffuser ses annonces au mieux. Il n'est pas l'heure de l'abandonner, mais pour bien marier réseaux sociaux et immobilier, il est sans doute temps d’envisager autre chose...


Insta et Pinterest, qu’attendez-vous pour être branché ?

Instagram est particulièrement plébiscité par les jeunes. Il est coude à coude avec son cousin Facebook. Il aura pour but de mettre en valeur votre image via des biens haute gamme et les plus belles vues que vous pourrez offrir. Faites rêver votre public. Pinterest fait également partie des réseaux à intégrer. Vous y trouverez beaucoup d’idées d’aménagement et de déco, et surtout un public féminin ayant un fort pouvoir de décision sur le choix des couples quant à l’achat ou à la location de bien. 

Toujours pas sur Snap !?

Sans aucun doute possible, le petit fantôme est numéro un chez les jeunes. Mais attention, sur Snapchat hors de question d’y communiquer à l’ancienne pour générer des prospects.

Ici, il vous faut vous créer une image branchée, paraître sympa, vous montrer sabrant le champagne avec un acheteur ou partager la vie de votre bureau. En montrant l’immobilier sur les réseaux sociaux à la manière d’un chasseur d’appart, vous devez donner l’impression à ces primo-louants et primo-accédants que dans l’utilisation des réseaux sociaux votre agence immobilière est jeune, dynamique, connaît leurs codes et les accueillera. Filtres et vidéos éphémères doivent être utilisés avec sobriété, humour et second degré, pour que ces jeunes deviennent vos futurs clients.


Pourquoi ne pas prendre une longueur d’avance ? L’astuce de Flash IMMO.

Nombre d’articles qui vous expliquent comment animer des reseaux sociaux immobilier oublient bien souvent de faire mention de la place cruciale des plateformes vidéos. Youtube est sans aucun doute le mastodonte en la matière. Quatre Français sur dix en ont usage tous les jours. Dans les réseaux sociaux des agences immobilières, il n’est pourtant quasiment jamais représenté, ni même mentionné. Pourtant, Youtube offre, pour qui sait l’utiliser, un lieu de prospection et de communication qui permet de mettre en avant votre statut d’expert.

Prêt pour le ménage de printemps ?

Maintenant vous avez sans doute une petite idée de quel est le meilleur réseau social pour votre agence immobilière, et plus précisément quels sont les réseaux sociaux que votre agence immobilière devra occuper désormais... Reseaux sociaux et immobilier ont tout intérêt à cohabiter pour se développer. Les marchés de la location comme de l’achat sont florissants, et les jeunes qui grandissent sur les plateformes numériques vont bientôt y rentrer. Il n’est pas étonnant de voir des applications comme le marketplace de Facebook se développer pour répondre aux besoins naissant des nouvelles générations. Mais n’attendez pas de prendre la vague, surfez dessus dès aujourd’hui, pour qu’avec vous, reseaux sociaux et immobilier ne fassent plus qu’un !

La proptech est un mot clé très utilisé dans notre secteur ces dernières années, mais qu’est ce que cela représente exactement ? Les définitions sont souvent flous et peu de professionnels de l’immobilier savent réellement ce que cela signifie...

Terme collectif, la proptech (property technologie) désigne les startups qui fournissent des produits innovants, technologiques ou des modèles nouveaux pour les marchés immobiliers. Elle est à la croisée de nombreux domaines : nouveaux modes de financement et d’investissement (Fintech), nouveaux modes de conceptions et de construction (Contech), Villes et bâtiments intelligents ( Smart Real Estate), Economie collaborative...

Sébastien de Lafond, président et cofondateur de MeilleursAgents, vous donne au travers d’une vidéo-conférence diffusée lors du dernier salon RENT quelques pistes pour évoluer dans votre métier de professionnel de l’immobilier et saisir les opportunités données par cette fameuse proptech. Quelles sont réellement les attentes des particuliers ? Le public et les agents partagent-ils une même vision de la #Proptech?

Dans cette vidéo inédite, Sébastien deLafond nous éclaire également sur les menaces induites par ces nouveaux acteurs : les agences immobilieres hybrides low cost, les Ibuyers, etc....

Profitez de ce temps de confinement pour en apprendre plus sur les nouvelles tendances et être encore plus performant ? Bon visionnage !

Vous êtes agent immobilier et vous vous demandez quoi faire en cette période de confinement ? Alors si vous avez déjà terminé de jouer à Fifa, Fortnite, Call of Duty et avez déjà fait le tour de Ventes privées et Amazon, voici quelques idées de choses utiles à faire pour faire un peu de business.

Relance des estimations

Relancez tout votre fichier « estimation » des 12 derniers mois ! Profitez que tous les vendeurs ou presque soient disponibles…Vous avez déjà travaillé gratuitement et fourni votre rapport d’estimation, il est temps de gagner un peu d’argent non ? Bien entendu vous ferez le point par téléphone ou visioconférence, mais voilà le bon moment pour préparer la mise en vente de leur bien immobilier. Vous connaissez déjà le bien pour l’avoir visité…la seule chose à faire est de reprendre contact, négocier un bon prix de départ et pourquoi pas déjà faire un mandat à distance. L’application SINIMO® par exemple, permet de générer et faire signer n’importe quel contrat immobilier à distance pour seulement 29 € par mois, qu’attendez-vous pour souscrire ?

Faire le point avec les vendeurs et prendre des avenants

Faites le point avec tous vos vendeurs actuels c’est-à-dire ceux que vous avez déjà en mandat. Il est peut-être temps de leur faire entendre le prix du marché et surtout leur faire comprendre qu’en cette période difficile, être trop gourmand signifie rester LONGTEMPS sur le marché.
La crise sanitaire ne durera que quelques semaines et l’agent immobilier qui tirera son épingle du chapeau est celui qui aura un stock de mandats au prix du marché lorsque les restrictions tomberont ! Là aussi une application comme SINIMO® peut vous être fort utile, car vous pouvez générer et faire signer n’importe quel avenant à distance, depuis votre PC, Mac, tablette ou smartphone. (29 € par mois seulement.. pensez-y, on n’a pas trouvé moins cher ailleurs)

Travaillez votre référencement immobilier

Saviez-vous qu’avec un bon référencement (gratuit tant qu’à faire) vous pourriez obtenir plus de vendeurs et d’acquéreurs chaque mois, en dépensant beaucoup moins d’argent. Comment faire ? Partez déjà du principe que chaque chose que vous écrivez sur internet doit être unique, donc bannissez à jamais le copier-coller.

Le site d’annonces immobilières 100% français Monbien.fr vous offre par exemple une page dédiée à votre agence ou à vous si vous êtes agent mandataire. Créez un compte gratuit sur monbien.fr à cette adresse : www.monbien.fr/professionnel ou connectez-vous si vous disposez déjà d’un compte, ensuite allez dans « mon profil » et là, saisissez un texte de présentation UNIQUE.

Dans ce texte, adressez-vous aux internautes qui seraient susceptibles de vendre ou d’acheter un bien : pourquoi devraient ils passer par vous ? Parlez de votre expérience, des quartiers que vous travaillez et connaissez par coeur, de votre histoire et surtout, n’oubliez pas d’y insérer quelques mots clés comme « immobilier + le nom de votre ville », etc. Pour votre information, le site Monbien.fr vous permet également de diffuser gratuitement toutes vos annonces, alors profitez-en vite, vous avez du temps devant vous et un clic suffit pour diffuser toutes ses annonces…

Formez-vous et passez aux états des lieux sur tablette

Vous gérez une petite, une moyenne ou une grande agence ? Peu importe…le problème est toujours le même, vous n’avez jamais le temps ni l’argent pour découvrir de nouveaux outils. Pour les états des lieux, il existe par exemple « STARTLOC », une application géniale qui permet de faire très facilement des états des lieux sur tablettes ou PC, avec un max de photos, hyper intuitive, envoi de l’EDL par mail à toutes les parties d’un simple clic, signature électronique sécurisée... Mais la force de cette application réside également dans son tarif qui défie toute concurrence, seulement 199 € l’année états des lieux illimités, assistance et sauvegardes incluses (là aussi on n’a pas trouvé moins cher). Si vous avez une tablette sous la main, rendez-vous dans Google Play ou dans l’Appstore et cherchez STARTLOC, ensuite vous pourrez essayer une version démo gratuitement car finalement, rien ne vaut un bon essai avant de s’engager, non ?

Prenez des rendez-vous mandat pour fin avril

Vous croyez quoi, que vous allez dormir pendant les 30 jours qui viennent ? Pas du tout, il va falloir se secouer les puces, car après la crise sanitaire (hé oui cela va arriver) il faudra faire le plein de mandats et surtout prendre des mandats de qualité, des vendeurs avec de vrais projets, et si possible avec des urgences ! Alors qu’est-ce qui vous empêche de prendre des rendez-vous maintenant ?

Nous avons sélectionné 3 idées pour vous afin de vous aider à faire le plein de mandats et être prêt quand la reprise se fera sentir :

1) Marketing Immobilier SMS : ils ont déjà séduit plus de 2 500 agents immobiliers avec leur outil inédit d’envoi de messages ciblés auprès des vendeurs ou bailleurs de votre zone. Pour faire simple, vous n’avez rien à faire… Ils relèvent les annonces sur les codes postaux qui vous intéressent et ensuite ils envoient automatiquement des messages à tous les particuliers qui vendent un bien immobilier, comme si c’est vous qui écriviez. De ce fait, les vendeurs vous rappellent et vous n’avez plus qu’à fixer votre rendez-vous vers fin avril pour être tranquille. Ce système génial ne coûte que 79 € par mois, vous imaginez ? Ce n’est même pas le prix d’un mailing !

2) Pige Online : L’idée est la même, faites de la pige immobilière ! Contactez-tous les vendeurs, soyez juste moins agressifs et parlez avec eux de leur projet. Dites-vous bien qu’ils ne reçoivent pas beaucoup d’appels en ce moment, et qu’ils ont peut-être besoin d’un allié dans cette période difficile. Nous avons sélectionné le logiciel Pige Online car (oui c’est encore le moins cher) il est accessible sur Pc, Mac, Tablette et Smartphone et ne coûte que 29 € par mois.

3) Janonce.com : Vous voulez faire parler de vous ? Vous voulez être L’AGENT qu’on entend dans cette période de crise (mais sans vous ruiner) ? Alors connectez-vous sur janonce.com, sélectionnez la zone qui vous intéresse et les types de prospects que vous souhaitez toucher (propriétaires immobiliers, investisseurs, etc.) puis sélectionnez un modèle ou écrivez votre message. Le site janonce.com le diffusera par SMS à tous les contacts sélectionnés sur votre zone pour seulement 0,08 € par SMS envoyé (tout inclus).

Relancez votre fichier acquéreur

Maintenant que vous avez travaillé votre stock de mandats, vos estimations, que vous avez fait le plein de rendez-vous pour la sortie de crise, faites également le point avec vos acquéreurs potentiels :)

Rappelez donc tous les acheteurs que vous avez rencontré depuis 12 mois ! Bien sûr certains auront trouvé, mais n’oubliez jamais que derrière un acheteur se trouve souvent un vendeur ! « Alors certes vous avez trouvé le bien de vos rêves et je vous en félicite, mais nous pouvons peut-être évoquer ensemble la mise en vente de votre bien actuel ? »

En résumé :

Agent immobilier, cette crise vous avez 2 manières de l’aborder : la première serait de vous morfondre dans votre coin et vous lamenter sur votre perte de chiffre d’affaires, la seconde est de vous préparer énergiquement à la sortie de crise. Bien entendu c’est bien la deuxième qui nous intéresse...

Nous vous invitons à suivre ces quelques conseils, et nous imaginons bien qu’il en existe encore beaucoup d’autres. N’attendez pas, cette période passera très vite et si vous mettez en application chacun de ces conseils, alors vous ferez un carton au mois de mai et la crise ne sera pour vous qu’une vieille histoire sans lendemain.

Cette situation de pandémie nous contraint tous à limiter nos déplacements et à exercer notre activité professionnelle si possible depuis notre domicile. Pour les agents immobiliers cela signifie plus de temps, car moins de déplacements, plus aucune visite de biens physiques ni prospection terrain. Du temps...pour soigner ses annonces et augmenter sa visibilité ! Voici donc quelques astuces qui pourront vous être utile si vous souhaitez booster votre communication. Ce temps, habituellement, vous ne l’avez pas ! Alors autant en profiter et l’utiliser au mieux pour revenir sur le terrain avec encore plus de mandats :)

La géolocalisation, un indispensable

Les visites sont impossibles pour le moment...clients et négociateurs étant confinés. La géolocalisation de vos biens a donc une importance capitale, l’emplacement étant le critère n°1 pour la plupart des français. Bien que les visites soient reportées à une date encore indéfinie, vos prospects ont du temps pour consulter vos annonces et faire une première sélection, il faut donc leur fournir un maximum d’informations dont la localisation du bien ! Les sites proposant un système de carte avec géolocalisation ultra rapide seront donc très consultés. Selon le directeur de Monbien.fr “la géolocalisation des biens peut être précise ou indiquer uniquement le quartier dans lequel se situe le bien au choix de l’annonceur”. Dans tous les cas, elle est très appréciée des internautes qui peuvent ainsi vérifier que l’emplacement n’est pas trop éloigné de leur lieu de travail, d’un club de sport favori ou d’une école. Les lignes de transport ont également une importance capitale dans certaines villes.

Quels atouts ?

Pour que votre annonce soit percutante, elle doit mettre en avant les différents atouts de votre bien en mandat à travers un titre accrocheur et un descriptif détaillé. Les biens proposant des terrasses, balcons ou jardin arboré seront à mettre en avant, surtout durant cette période de confinement où des prises de conscience pourraient avoir lieu !

Renseignez un maximum d’informations pour être présents dans les résultats de recherche : type de chauffage, résultats DPE, présence d’un garage, d’une piscine... Aujourd’hui, les internautes personnalisent au maximum leur recherche en renseignant tous les critères clés ! “Les annonces détaillées sont davantage mises en avant “ explique le directeur de Monbien.fr

L’importance des photos

Les photos ont une importance capitale dans une annonce et en particulier la première photo ! “ Les internautes y passent plus de 20 secondes et la première impression est capitale” explique le développeur du site.

Si les photos en votre possession ne vous conviennent pas, n’hésitez pas à contacter vos vendeurs pour leur demander de nouvelles photos...Vous maintiendrez ainsi le contact et pourrez leur expliquer que votre activité continue et que vous veillez à leur assurer une communication des plus efficaces pour leur bien même en cette période !

Budgétiser votre communication

Le marché des petites annonces immobilières a longtemps été dominé par un faible nombre d’acteurs. Profitant d’une position de monopole, ces géants ( que vous connaissez bien) ont pratiqué ( et pratiquent toujours ) des tarifs exorbitants pour booster la visibilité des annonces et même simplement référencer les annonces de professionnels....Or en 2020, les professionnels de l’immobilier ont désormais le choix...De nouveaux acteurs sont apparus et ont changé les règles, proposant ainsi aux professionnels de l’immobilier une diffusion gratuite de tous leurs biens et plus de visibilité. Grâce à de multiples innovations et à un référencement grandissant, Monbien.fr, l’un de ses nouveaux acteurs convint ainsi chaque jour des milliers d’internautes à la recherche d’un bien. Si vous n’en avez pas encore attendu parler, il est peut-être temps de vous y intéresser :)

Pour augmenter la visibilité de ses annonces et les faire apparaître en tête de liste chaque jour, ce portail propose une formule toutes options ( Réception prioritaire des demandes d'estimation , insertion dans les alertes email, + de 15 photos...) à seulement 19, 90€ HT / mois, un tarif imbattable, bien loin de ceux pratiqués par les ténors du marché. En cette période de confinement, profitez-en pour faire le point sur la diffusion de vos annonces et revoir votre budget communication ! Vous passez peut-être depuis des mois à coté de nombreux contacts sans vraiment le savoir ! Un simple clic suffit pour diffuser toutes vos annonces...( Vive la technologie et les nombreuses passerelles mises en place par le site !).

Le confinement est de mise... il est même désormais obligatoire pour tous les français et la plupart des professionnels dont la profession immobilière ! Pendant ce temps de confinement, il vous faudra donc occuper votre temps et anticiper les mois à venir ! Une telle épidémie aura des conséquences sur plusieurs mois même après le pic attendu et un retour à la normale.  

Voici donc quelques idées pour mettre ce temps à profit et ressortir de cette crise en étant plus efficace dans votre activité d’agent immobilier.. 

Valorisez vos biens en mandat et communiquez efficacement  

Pendant les semaines à venir, vous allez pouvoir vous concentrer davantage sur vos biens en mandat, revoir les photos, les textes, phrases d’accroche et peut être revoir votre stratégie de communication ! Certains sites proposent une diffusion gratuite aux professionnels de l’immobilier, c’est le moment d’en profiter et d’activer des passerelles avec vos logiciels immobiliers.  

Pour ceux qui auraient déjà opté pour un outil de visites virtuelles, c’est le moment de le faire savoir à vos clients !  

Changez votre façon d’exercer dans l’immobilier 

Avec la crise sanitaire que nous traversons, on ne peut que se rendre des avantages apportés par nos outils numériques. Pour pouvoir faire face à ce type de crise. Il est temps de sauter le pas et de généraliser enfin la signature électronique ! 

De nos jours, un professionnel de l’immobilier bien équipé n’a plus besoin de se déplacer pour faire signer un mandat, un compromis de vente ou une offre. Toutes ces actions peuvent parfaitement être gérées à distance, en toute sécurité. Le logiciel Sinimo, dernier venu sur le marché permet ainsi de créer, éditer et signer tous types de contrats immobiliers à distance ou en face à face. ( mais c’est bien le mode “ à distance” qui nous intéressera particulièrement ces prochaines semaines). Si vous n’êtes pas encore équipé, il est encore temps... Moderniser vos pratiques vous permettra de gagner en efficacité et de faire à cette situation exceptionnelle.

De tels outils sont vraiment faciles à mettre en place et parfaitement accessibles financièrement. Vous pourrez ainsi poursuivre votre activité et proposer une vraie solution à vos clients, qui ont encore et toujours besoin de vendre, acheter, louer un bien immobilier au plus vite. Un tel outil pourrait même vous permettre de réaliser des économies...Selon le directeur de Sinimo que nous avons interrogé, l’économie moyenne est de 5000€ par an pour une agence immobilière. Hé oui, plus d’encre, plus de papier, moins de déplacements, le calcul peut être vraiment intéressant non ?  

Formez-vous ! 

Pourquoi ne pas profiter de ces jours de confinement pour vous former et vous positionner comme un véritable expert dans votre domaine ? En tant qu’agent immobilier, vous n’avez peut être pas encore suivi toutes les heures de formation nécessaire au renouvellement de votre carte professionnelle ? Pour rappel, 14 heures de formation par an ou 42 heures sur 3 ans sont exigées par la CCI pour renouveler votre titre et de nombreuses formations en ligne existent. Profitez-en pour apprendre de nouvelles choses et peut être même en savoir plus sur les outils que vous utilisez au quotidien (applications d’état des lieux, logiciels métier, etc..) 

S'informer sur votre secteur et son évolution

Enfin...les articles de www.flash-immo.fr resteront encore et toujours de belles occasions pour occuper quelques minutes de vos journées et apprendre de nouvelles choses sur votre secteur et son évolution :)  

Le groupe parlementaire de Jean-Luc Mélenchon, s'est focalisé sur les taxes immobilières, en effectuant une proposition de loi il y a quelques jours pour le logement. Cette futur loi vise à encadrer les loyers ainsi qu’interdire les expulsions sans relogement mais surtout à favoriser la mise en place d’une taxe pour les propriétaires.

Des tensions ravivées.

Mickaël Nogal était à l’origine d’une loi, qui était censée apaiser les différentes tensions perpétuelles entre les propriétaires et locataires, mais au vu des différents débats parlementaires, il semble que l’on se dirige vers un nouveau clivage entre les deux parties.
La raison, une nouvelle proposition de loi qui a été signée par l’ensemble du groupe parlementaire de la France insoumise, qui a d’ailleurs été débattu le mercredi 4 mars, à la commission des affaires économiques de l’Assemblée nationale.
La proposition de loi se tourne vers le droit au logement, et sera examinée le 26 mars en séance officielle.
La crainte première, repose sur la taxe pour les propriétaires, déjà mécontent du régime fiscal très lourd que leur impose l’état.

Des protections supplémentaires au locataire.

Partant de ce principe, la taxe propriétaire repose sur une couverture protectrice beaucoup plus prononcée, concernant les locataires.
Le principe est simple, utiliser une taxe qui permettra de couvrir les locataires, qui verront leurs droits davantage renforcés.

Composée de ses neuf articles, la proposition de loi signée Jean-Luc Mélenchon précise qu’il sera désormais interdit d’expulser un locataire, si celui-ci ne bénéficie pas de conditions de relogement.

Ce n’est pas la première proposition de loi similaire allant dans ce sens, Éric Piolle le maire de Grenoble, avait tenté de faire passer un arrêté municipal dans ce sens, qui avait été suspendu par la justice.

Mais la taxe sur les propriétaires ne s’arrête pas là, elle propose également un encadrement des loyers sur l’ensemble du territoire, en autorisant le pouvoir étendu des communes, jouant sur le permis de louer, afin de lutter contre les logements insalubres.

La proposition de Jean-Luc Mélenchon, prévoit également la création de nouveaux observatoires locaux, mise en place par les collectivités territoriales et financés par une augmentation de la dotation globale de fonctionnement.

L’impact sur les revenus locatifs.

La taxe propriétaire, engendrera une hausse estimée entre 2 et 2,5 % sur les revenus locatifs, cette taxe propriétaire est donc tout sauf anodine, contenu de la situation économique déjà difficile.
Si la mise en place d’une telle procédure se répercute sur les revenus locatifs, c’est qu’il s’agit de financer la création de logements sociaux, qui devrait passer de 25 à 30 % dans toutes les villes.
La caution de solidarité devrait tout simplement disparaître, en basant la nouvelle réforme, sur la garantie universelle des loyers, qui avait été définitivement supprimée par le gouvernement d’Emmanuel Valls.

La souscription à une assurance publique deviendrait obligatoire, assurant une indemnisation pour les propriétaires, en cas de non-paiement des loyers de la part du locataire.

Partant de ce principe, une taxe propriétaire devrait être mise en place pour assurer la bonne répartition des finances.

Des taxes supplémentaires.

Autre projet de loi proposée par Jean-Luc Mélenchon, la mise en place d’une taxe sur les différents achats immobiliers, lorsqu’ils sont supérieurs à une somme d’un million d’euros.

Que l’investissement immobilier concerne une location, une résidence secondaire ou bien une résidence principale, une tranche de 1 % d’imposition sera appliquée par tranche d’un million d’euros, pouvant atteindre 10 % au maximum. Cela concernerait les achats entre 1 et 10 millions d’euros, avec une taxe propriétaire supplémentaire qui n’est pas non plus négligeable, sur le coût total d’une opération immobilière.

Un juste compromis à trouver.

Pour éviter que la taxe propriétaire ne soit trop handicapante pour les personnes concernées, il est important de continuer la concertation entre propriétaires et locataires, en essayant de trouver une conciliation entre les deux parties.
Certes le rapport des Français au logement a toujours été source de discussions, créant des clivages entre les deux parties et même si la hausse des prix peut être interprétée comme un signe de bonne santé, cela ne masque pas les différents problèmes de logement récurrents, notamment sur les conditions d’insalubrité.

Même si la proposition proposée par Jean-Luc Mélenchon sera favorablement accueillie par les locataires, elle risque de mettre en place une politique du logement beaucoup plus compliquée, concernant les différents investissements locatifs à cause de la taxe propriétaire.

Pour le moment, il ne s’agit que d’une proposition de loi qui sera débattue au cours d’une séance officielle le 26 mars, il faudra donc suivre attentivement les débats pour voir si la loi prévoyant une taxe propriétaire, sera suivie ou non.

La récente réforme du diagnostic de performance énergétique rendra dès le 1er janvier 2021 ce diagnostic opposable, comme tous les autres diagnostics immobiliers. Le point sur cette nouvelle mesure, très attendue qui impactera le secteur de l’immobilier.

Diagnostic DPE, Que signifie le terme “opposable” ?

Un diagnostic “opposable” est un diagnostic pouvant faire l’objet d’une contestation et ouvrant droit à une indemnisation en cas d’erreur. Cette nouvelle mesure concerne ainsi autant les professionnels de l’immobilier que les particuliers, qui sont très peu à le savoir. Les informer fera donc partie de votre devoir de professionnel de l’immobilier.

Jusqu’aujourd’hui, le diagnostic de performance énergétique (diagnostic DPE) n’avait qu’une valeur informative c’est à dire qu’en cas d’erreur, le bailleur ou le vendeur ne pouvait pas être poursuivi. L’article 79 de la loi Elan de novembre 2018, vient ici enfin changer la donne.

Une fiabilité aléatoire des Diagnostic DPE ?

Il semble aujourd’hui que la fiabilité du Diagnostic DPE ne soit pas optimale. Ce diagnostic permettant d’informer le futur acquéreur ou locataire d’un bien sur les dépenses théoriques du logement souhaités serait parfois différent selon la méthode utilisée par le diagnostiqueur. Une nécessaire unification des méthodes de calcul a donc déjà été engagée et devrait se poursuivre cette année pour éviter de trop nombreux contentieux.. Seule la méthode conventionnelle se basant sur les caractéristiques du bâtiment sera prise en compte, la méthode des factures étant trop imprécise pour les DPE.

Informer les futurs locataires / acquéreurs

L’une des priorités de cette année sera également de rendre davantage visible les fameux résultats de ce nouveau diagnostic DPE au travers des annonces immobilières de vente et location.

Objectif : informer les particuliers souhaitant louer ou acquérir un bien. Un objectif bien compris par Monbien.fr, site d’annonces immobilières innovant qui propose même un tri des annonces et un affichage en fonction du classement énergétique du bien. A la demande des internautes, cette fonctionnalité sera bientôt incontournable et devrait inciter plus d’un propriétaire à améliorer ses résultats DPE pour gagner en visibilité. Les annonces disposant d’une note excellente, bonne ou moyenne au diagnostic énergétique sont en effet mises en avant sur ce site d’annonce gratuit et illimité pour les professionnels de l’immobilier et les particuliers. Plus d’infos ici...

Le coronavirus est un agent pathogène dangereux causant une maladie nommée COVID-19. Ce virus jusqu’ici inconnu de la médecine moderne est apparu pour la première fois en Chine en décembre 2019.
Hélas, sa propagation rapide deviendra la source d’une lourde inquiétude pour les citoyens lambda, mais également les responsables politiques et les marchés financiers.

En France, tous les secteurs sont touchés par les retombées du coronavirus et l’immobilier en fait partie !
L’épidémie a et aura de nombreuses conséquences néfastes auxquelles il faudra faire face. Néanmoins, pour mieux les anticiper, il est nécessaire de les connaître.
Quelles sont-elles ?

État des lieux du pays

Sur le sol français, la situation actuelle est très préoccupante. Le coronavirus est à l’origine de l’une des plus grandes crises sanitaires de notre époque. À ce jour, les autorités envisagent de passer au stade 3 de vigilance. Plus de contrôles, plus de rigueur, moins de mouvements et de libertés. Le seuil critique est atteint.

Le coronavirus, détecté pour la première fois dans la ville chinoise de Wuhan, s’est promptement propagé à travers le globe terrestre. La pandémie ne cesse de prendre de l’ampleur. Au moment présent, la France recense plus de 1400 infections et 30 décès.
Personne n’est à l’abri, et les dirigeants politiques ne sont pas épargnés. Des députés, de hauts responsables en fonction et même un ministre ont été contaminés.
De nombreux événements de grande envergure tels que des festivals, des concerts et des foires ont été annulés à cause du risque élevé de propagation.
Les rencontres sportives ne sont pas exclues. Certains tournois ont été reportés à des dates ultérieures. Quant aux compétitions internationales, elles se tiendront à huis clos.

Les conséquences sont directes : les chiffres dégringolent en continu, les manques à gagner sont colossaux.
Les pertes augmentent, balayant toutes les prévisions monétaires.

Les prédictions françaises sont particulièrement inquiétantes : le ministre de l’Économie annonce un recul de 0,5 % sur le taux de croissance. Les restrictions des mouvements et des échanges commerciaux accentuent grandement le phénomène.

Le principal problème consécutif à cette épidémie est la durée.C’est le flou total, on ignore combien de temps ces règles préventives dureront.
Le monde du travail est durement affecté par ce virus. Certains salariés commencent à exercer leur droit de retrait, d’autres privilégient l’emploi à distance.
Pour ceux qui n’ont aucune alternative, ils se résignent à abandonner leur poste. Et sans rémunération régulière, bonjour la précarité !

Le secteur de l’immobilier ne constitue pas la principale source d’affolement, certes, mais il n’est pas totalement épargné. Néanmoins, les conséquences ne sont pas si importantes. Les bonnes nouvelles sont rares au milieu de ce chaos sanitaire.


Les conséquences de l’épidémie sur le secteur immobilier

L’immobilier français est entièrement autonome. La main d’œuvre et les ressources matérielles sont produites localement. Seule la première va être impactée durablement ; le confinement des individus infectés ou à risque lors des quarantaines va réduire le personnel disponible.
Les chantiers seront retardés dans tous les pays. On dénombre plus de 500 000 employés du bâtiment en France.

Étant amputé d’une part importante de sa richesse, que va-t-il se passer ?
Nous découvrirons l'impact sur le secteur au fur et à mesure :

Le ralentissement du fonctionnement des services de délivrance des permis de bâtir

- Certaines activités de l’immobilier sont concernées : l’aménagement, la production, la construction.

La perte en efficacité des acteurs du milieu

- Les délais de traitement des dossiers vont se rallonger. Les notaires, les banquiers, les courtiers, les géomètres et autres experts, restreints par les déplacements et les règles de confinement ne pourront pas travailler dans des conditions optimales.

À titre d'exemple, certaines activités requièrent une présence physique, ce qui sera impossible à remplacer même si l’on opte pour du télétravail.

Dans les milieux professionnels sensibles, les accès à des données confidentielles sont limités à cause des risques de cybersécurité.

En somme, tous les chantiers en cours ou prévus marqueront un temps d’arrêt jusqu'à ce que la situation sanitaire s’améliore.

 

Qu’en sera-t-il de la demande en logement ?

C’est une question qu’il faut se poser. Le coronavirus va-t-il compliquer ou faciliter l’accès au logement ?
La perception d’un danger est une chose. Toutefois, la réaction obtenue n’est pas toujours celle escomptée.
Les effets du COVID-19 sont ressentis chez tous les Français, directement ou indirectement.
On sait tous quelles sont les premières victimes d’une catastrophe de cette envergure : les lieux publics, les restaurants, les musées, les magasins, les cinémas et les commerces de proximité. Ils subissent de plein fouet la crise sanitaire.

Lorsque l'on se trouve dans une situation d’urgence, la peur de l’avenir et le manque de confiance peuvent se manifester.
L’envie d’investir et d’acquérir du matériel durable s'estompe.
Inconsciemment, tout est fait pour favoriser la mobilité des biens et des personnes à tout moment. S’en suivent alors de profondes mutations sociales : le chômage, les instabilités politiques, les grèves.
Un cercle vicieux s’installe. La société déjà marquée par des changements involontaires s’enlise encore plus.

À contrario, l’acquisition d’un domicile échappe à la logique de l‘instinct de conservation. Lors de graves crises sécuritaires qu’a connu le pays ces dernières années (les attentats terroristes par exemple), l’achat et la vente des maisons se sont poursuivis sans ambages. Aucun ralentissement du secteur n’a été observé.

Le domicile est le lieu ultime de préservation des individus. C’est un refuge, un havre de paix au milieu de la tempête.
L’être humain peut tout perdre, mais il aura toujours besoin d’un toit accueillant pour passer ses nuits.
L’acquisition d’une maison en temps de troubles est une exception marquante.
En faisant face à l’incertitude du lendemain causée par le coronavirus, les Français en profitent pour se fixer à un point et ce, pour des exigences sécuritaire et de reproduction.
Il faut aussi souligner que ce n’est nullement une particularité propre à la France. Le secteur immobilier peut dormir sur ses deux oreilles, les affaires se portent et se porteront bien, malgré la situation critique.

En conclusion, le coronavirus n’aura qu’un impact minime sur les achats ou les ventes de biens immobiliers. C’est assez paradoxal, car tous les domaines économiques sont négativement touchés. Les banques, les assurances, le divertissement, le sport, le commerce… rien n’est épargné.
Les vendeurs, les acquéreurs, les acteurs et les professionnels de la sphère peuvent baisser la garde. Le coronavirus et ses nombreuses conséquences n’ont aucune prise sur ce milieu connaissant un dynamisme exceptionnel depuis quelques années.

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