Melvin MASSEAUX

Melvin MASSEAUX

Le DPE (Diagnostic de Performance Énergétique) est au cœur des préoccupations des professionnels de l'immobilier. Face aux critiques sur la fiabilité de ces évaluations, l'État a décidé de prendre des mesures drastiques pour garantir des diagnostics plus transparents et fiables. Découvrez les changements qui vont transformer la manière dont vous gérez les DPE.

 

Les contrôles renforcés pour des DPE plus fiables

Les agences immobilières et les diagnostiqueurs immobiliers ont toujours été au cœur du processus de vente et de location des biens. Cependant, des erreurs dans les DPE peuvent entraîner des pertes financières pour les propriétaires et fausser les décisions d’achat ou de location.
Pour résoudre ce problème, l’État a décidé de mettre en place des contrôles renforcés sur la qualité des diagnostics. Des audits réguliers seront désormais réalisés sur les DPE émis, afin de vérifier leur exactitude et leur conformité aux normes en vigueur.

Professionnels de l’immobilier, ces contrôles garantissent la fiabilité des DPE, et vous permettent de rassurer vos clients sur la qualité des informations fournies, ce qui renforce la confiance dans vos transactions.

 

Transparence accrue sur les critères des DPE

Un autre point essentiel de cette réforme est la transparence accrue. Depuis l’entrée en vigueur de ces nouvelles mesures, il sera désormais plus facile pour les professionnels et les clients de comprendre comment est calculé le DPE d’un bien.
Les critères de calcul seront détaillés, et les résultats des DPE seront plus accessibles et lisibles pour tous les acteurs du secteur immobilier, des diagnostiqueurs aux propriétaires en passant par les acheteurs potentiels.

Cette transparence vous permettra de mieux expliquer les résultats d’un DPE à vos clients et d’éviter des malentendus ou des disputes concernant les évaluations de la performance énergétique.

 

Sanctions renforcées contre les pratiques incorrectes

Les mauvaises pratiques dans la réalisation des DPE, telles que la fausse déclaration ou l’omission d’informations cruciales, auront désormais des conséquences plus graves. L’État a mis en place des sanctions renforcées, allant des amendes aux sanctions pénales en cas de récidive.

Cela permet d’assurer une meilleure conformité des diagnostics, mais aussi de protéger les professionnels de l’immobilier qui respectent les normes et veulent garantir des transactions sécurisées et transparentes. Ces sanctions dissuaderont également les pratiques frauduleuses et donneront un gros coup de pouce à la fiabilité du marché immobilier.

 

Impact sur le marché immobilier et les professionnels

Ces nouvelles mesures de l’État permettront de renforcer la confiance dans le marché immobilier, en assurant des diagnostics plus précis et fiables. Les propriétaires et acheteurs pourront prendre des décisions éclairées sans se soucier des erreurs liées au DPE.
Cela favorisera également une meilleure performance énergétique des bâtiments, en incitant à la rénovation des biens les moins performants, et en améliorant ainsi la valeur des biens immobiliers.

Pour les agences immobilières, cette réglementation sera un avantage concurrentiel, en vous permettant de proposer des services de qualité et en garantissant la fiabilité des informations fournies.

 

 


 

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Mandats, baux, compromis… En 2025, les obligations légales ont changé, et un contrat mal rédigé peut vite devenir un vrai risque pour les pros de l’immobilier. Êtes-vous sûr que vos documents sont bien à jour ? Voici ce que vous devez vérifier.

 

Des contrats toujours plus encadrés

Les professionnels de l’immobilier le savent : les exigences légales évoluent sans cesse. Loi Climat, évolution du DPE, mentions obligatoires renforcées, ajustements sur les honoraires… En 2025, la rédaction d’un bail, d’un mandat ou d’un compromis n’a plus rien de simple ni de figé.

Un oubli, une clause mal formulée, une version dépassée d’un modèle de contrat… et c’est le risque d’un litige, d’une perte de commission ou d’un contrat caduc.

 

Des erreurs fréquentes… mais évitables

Voici les points de friction que l’on retrouve encore trop souvent dans les contrats immobiliers :

. Mentions obligatoires manquantes (DPE, honoraires, diagnostics)

. Mauvais modèles de baux (colocation, meublé, résidence principale, etc.)

. Mandats de vente mal formulés, contestables par le vendeur

. Conditions suspensives mal adaptées aux profils d’acheteurs

. Signatures incomplètes ou horodatages non conformes

En clair : même les pros expérimentés peuvent faire des erreurs lorsqu’ils jonglent entre plusieurs modèles, plusieurs types de clients, et une pression constante sur les délais.

 

Sinimo : l’outil conçu pour créer des contrats immobiliers clairs et à jour

Pour accompagner les professionnels dans ce contexte de plus en plus exigeant, l’application Sinimo propose une solution simple, rapide et 100 % conforme pour générer tous vos contrats immobiliers :

 

Mandats, baux, compromis, états des lieux, courriers : tout est centralisé, à jour, personnalisable.
. Les documents sont juridiquement solides, toujours alignés avec les dernières lois en vigueur (dont les obligations 2025).
. Signature électronique intégrée, en présentiel ou à distance.
. Accessible partout, sur ordinateur, tablette ou mobile.
. Et en bonus : plus de 2 500 agences utilisent déjà Sinimo au quotidien.

 


 

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La concurrence est rude, les vendeurs se font rares et les anciennes méthodes de prospection ne suffisent plus. En 2025, rentrer des mandats exige de nouvelles stratégies, plus ciblées, plus intelligentes. Découvrez ce que font les pros qui réussissent

 

Un marché sous tension… et une prospection à réinventer

Le marché immobilier de 2025 est clair : moins de ventes, plus de concurrence. Avec un stock de mandats qui fond comme neige au soleil dans certaines zones, les professionnels n’ont plus le luxe d’attendre que les propriétaires viennent à eux.
Mais la prospection “à l’ancienne” (porte-à-porte, appels massifs, distribution de flyers...) montre ses limites : chronophage, énergivore, et de moins en moins efficace.

Dans ce contexte, il devient urgent de repenser sa stratégie pour rester visible, crédible et surtout… attractif.

 

Ce qui ne fonctionne plus (et qu’on voit encore trop souvent)

En 2025, les vendeurs sont plus informés, plus sollicités, plus méfiants. Résultat :

. Les appels à froid non ciblés sont souvent vus comme intrusifs.

. Les annonces classiques sont noyées dans la masse.

. Les messages génériques ne créent plus aucun engagement.

Et surtout, les particuliers ne veulent pas “être prospectés”... ils veulent être accompagnés au bon moment.

  

La clé : créer du lien avant même le premier appel

Aujourd’hui, ce qui fait la différence, ce n’est plus “qui appelle le plus”, mais qui crée la meilleure relation en amont.
Les vendeurs ne rappellent plus parce qu’on leur a laissé une carte…
Ils rappellent parce qu’on a su capter leur attention, éveiller leur intérêt, et leur donner une bonne raison d’avoir confiance.

C’est exactement cette logique qui anime les méthodes de prospection nouvelle génération.

 

Marketing Immobilier : la solution qui génère des rendez-vous vendeurs qualifiés

Pour les pros qui veulent prospecter plus efficacement et intelligemment, le service Marketing Immobilier propose une approche sur-mesure, sans prospection sauvage ni perte de temps.

Comment ça fonctionne ?

. Deux messages personnalisés sont envoyés sur le mobile des particuliers qui vendent ou louent leur bien.

. Le message est écrit à votre nom et adapté à votre secteur.

. L’envoi est automatique et discret, pour rester top of mind au bon moment.

. Le but : générer des appels entrants et décrocher plus de rendez-vous vendeurs, chaque mois.

 

Ce système est réservé à un seul professionnel par secteur, pour garantir l’exclusivité et l’efficacité.

En 2025, la meilleure prospection, c’est celle qu’on n’a pas besoin de répéter tous les jours.
Avec Marketing Immobilier, vous gardez votre énergie pour ce que vous faites de mieux : rentrer, négocier, vendre.

 


 

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L’état des lieux papier a longtemps été la norme dans la location. Mais en 2025, il devient une vraie prise de risque pour les professionnels : erreurs, litiges, pertes de documents… À l’heure de la digitalisation, rester sur du manuel, c’est fragiliser son activité. Décryptage d’un virage incontournable

 

Un document juridique sous-estimé

L’état des lieux, ce document que certains considèrent encore comme une simple formalité, est en réalité un élément juridique essentiel dans toute location. C’est lui qui fixe les bases de la relation entre propriétaire et locataire. En cas de litige, il devient LA pièce maîtresse. Et pourtant… beaucoup de professionnels continuent à le gérer sur papier, à la va-vite, entre deux rendez-vous.

 

Le papier, un risque à tous les niveaux

À l’heure où la profession se digitalise, rester sur un état des lieux papier, c’est s’exposer à des erreurs évitables. Voici pourquoi :

. Pertes ou altération du document : un papier froissé, taché, égaré ou mal scanné, et c’est une preuve juridique qui disparaît.

. Illisibilité et ambiguïté : les mentions manuscrites floues ou discutables sont monnaie courante… et souvent contestées par les locataires.

. Absence de photos jointes : sans illustration visuelle précise, impossible de prouver l’état exact du bien.

. Temps perdu : rédiger à la main, scanner, archiver, envoyer… chaque étape prend du temps inutilement.

. Risque juridique accru : un état des lieux incomplet ou contestable, c’est une perte de temps au tribunal… et parfois des dédommagements à verser.

 

Des agences sanctionnées pour des états des lieux “légers”

Les litiges liés à l’état des lieux ne cessent d’augmenter. L’Anil recense chaque année plusieurs milliers de cas, dont une majorité repose sur des documents mal rédigés, incomplets ou difficilement exploitables.

Or, ce sont les professionnels (agence ou gestionnaire) qui sont tenus pour responsables en cas de mauvaise gestion du document. Un état des lieux mal fait peut aujourd’hui remettre en cause le dépôt de garantie, la responsabilité du bailleur ou même la confiance du client.

 

Startloc, l’alternative fiable et moderne

Pour tous les professionnels de l'immobilier, Startloc propose une solution pensée pour gagner du temps, sécuriser les documents et améliorer la relation client.
Disponible sur mobile, tablette et ordinateur, Startloc permet de :

. Réaliser des états des lieux illimités, avec photos intégrées.

. Générer un PDF complet et conforme à la législation.

. Signer directement sur écran, sans impression ni scan.

. Archiver tous vos dossiers dans un espace sécurisé, accessible à tout moment.

Être 100 % autonome, même sans connexion.

Cerise sur le gâteau : Startloc est gratuite pendant 48h, sans engagement. L’occasion parfaite pour tester une vraie solution métier sans changer vos habitudes.

 

 


 

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En 2025, l’investissement locatif n’a plus le vent en poupe. Entre rentabilités en baisse, fiscalité moins avantageuse et réglementation toujours plus contraignante, de nombreux investisseurs immobiliers revoient leurs projets. Pourtant, certaines stratégies permettent encore de tirer son épingle du jeu.

 

Une rentabilité en déclin

La rentabilité brute des investissements locatifs a connu une érosion significative ces dernières années. Plusieurs facteurs contribuent à cette tendance :

. Hausse des prix d'achat : malgré une légère stabilisation, les prix de l'immobilier restent élevés dans de nombreuses zones tendues.

. Charges accrues : les propriétaires doivent faire face à des charges de copropriété, des taxes foncières et des coûts d'entretien en augmentation.

. Encadrement des loyers : dans certaines grandes villes, les loyers sont plafonnés, limitant ainsi les revenus locatifs potentiels.

Selon les données disponibles, la rentabilité nette moyenne des investissements locatifs en France est désormais inférieure à 3 %, un seuil jugé peu attractif par de nombreux investisseurs.

 

Un cadre réglementaire plus strict

Les réglementations encadrant le marché locatif se sont renforcées, impactant directement les propriétaires bailleurs :

. Diagnostic de Performance Énergétique (DPE) : les logements classés F ou G sont progressivement interdits à la location, obligeant les propriétaires à réaliser des travaux de rénovation énergétique coûteux.

. Encadrement des loyers : dans certaines zones, les loyers sont strictement encadrés, limitant la capacité des propriétaires à ajuster les loyers en fonction du marché.

. Normes de décence : les critères de décence des logements ont été renforcés, imposant des exigences supplémentaires aux bailleurs.

 

Ces mesures, bien que visant à améliorer la qualité du parc locatif, représentent des contraintes supplémentaires pour les investisseurs.

 

Une fiscalité moins avantageuse

La fiscalité applicable aux revenus locatifs a également évolué, réduisant les avantages pour les investisseurs :

. Fin du dispositif Pinel : ce mécanisme de défiscalisation, qui permettait de bénéficier de réductions d'impôt en contrepartie d'un engagement locatif, a pris fin fin 2024.Wikipédia, l'encyclopédie libre

. Imposition des revenus locatifs : les revenus issus de la location sont soumis à l'impôt sur le revenu, avec des prélèvements sociaux, ce qui peut significativement réduire la rentabilité nette.

. Taxe sur les logements vacants : dans certaines communes, une taxe est appliquée aux logements inoccupés, incitant les propriétaires à louer rapidement leurs biens.

Ces évolutions fiscales incitent certains investisseurs à reconsidérer leurs stratégies d'investissement.

 

Quelles perspectives pour les investisseurs ?

Malgré ces défis, des opportunités subsistent pour les investisseurs avisés :

. Investir dans des zones en développement : certaines villes moyennes offrent des perspectives de valorisation intéressantes, avec des prix d'achat plus accessibles et une demande locative soutenue.

. Opter pour la location meublée : ce type de location peut offrir une rentabilité supérieure et des régimes fiscaux plus avantageux, notamment sous le statut de Loueur en Meublé Non Professionnel (LMNP).

. Réaliser des travaux de rénovation énergétique : en améliorant la performance énergétique des logements, les propriétaires peuvent non seulement se conformer aux nouvelles réglementations, mais aussi valoriser leur bien et justifier des loyers plus élevés.

 

Il est essentiel pour les investisseurs de s'entourer de professionnels compétents (agents immobiliers, notaires, conseillers en gestion de patrimoine) pour optimiser leurs placements et naviguer dans ce contexte complexe.

 


 

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Une décision judiciaire récente marque un tournant dans la responsabilité des acteurs de la vente immobilière en cas de Diagnostic de Performance Énergétique (DPE) erroné. Les vendeurs et diagnostiqueurs peuvent désormais être tenus responsables, offrant aux acheteurs la possibilité de réclamer des indemnisations pour perte de chance.

 

Le DPE : un document désormais opposable

Depuis le 1er juillet 2021, le DPE est devenu opposable, conférant une valeur juridique aux informations qu'il contient. Cette évolution législative implique que toute erreur dans le DPE peut engager la responsabilité de son auteur, généralement le diagnostiqueur, mais également du vendeur si la faute est avérée.

 

Jurisprudence : une responsabilité partagée

Dans une affaire récente, la Cour d'appel de Paris a condamné un diagnostiqueur pour avoir fourni un DPE erroné, estimant que l'acheteur avait subi une perte de chance de négocier un prix plus avantageux. Le vendeur a également été tenu responsable pour ne pas avoir vérifié l'exactitude du diagnostic fourni.

 

Indemnisation : calcul et implications

L'indemnisation accordée à l'acheteur a été calculée en fonction de la différence entre le prix payé et la valeur réelle du bien, compte tenu de sa performance énergétique réelle. Cette approche vise à compenser la perte de chance de l'acheteur de négocier un prix plus bas ou de renoncer à l'achat.

 

Impacts pour les professionnels de l'immobilier

Cette jurisprudence souligne l'importance pour les professionnels de l'immobilier de s'assurer de la fiabilité des DPE fournis lors des transactions. Les agents immobiliers, notaires et autres intervenants doivent être vigilants et conseiller leurs clients sur les risques liés à un DPE erroné.

 

Recommandations pour les professionnels

. Vérification des DPE : Assurez-vous que les DPE fournis sont réalisés par des diagnostiqueurs certifiés et à jour.

. Conseil aux clients : Informez vos clients des implications d'un DPE erroné et des recours possibles.

. Documentation : Conservez une trace écrite de toutes les vérifications et conseils donnés concernant le DPE.​

. Formation continue : Tenez-vous informé des évolutions législatives et jurisprudentielles concernant le DPE.

 


 

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Le réseau de mandataires immobiliers SAFTI a lancé une nouvelle campagne publicitaire en mars 2025, marquant les esprits par son ton décalé et provocateur. Conçue avec l'agence Buzzman, cette initiative vise à attirer de nouveaux conseillers en mettant en avant les avantages distinctifs du modèle SAFTI.

 

Une campagne qui bouscule les codes traditionnels

La campagne se distingue par des slogans percutants tels que "Une agence immo sans vitrine ? Et pourquoi pas 100 % de commission tant qu'on y est !" affichés stratégiquement en face d'agences immobilières traditionnelles. Cette approche audacieuse vise à interpeller les professionnels de l'immobilier sur les avantages du modèle SAFTI, notamment une rémunération plus attractive et une plus grande liberté d'organisation. Gabriel Pacheco, président et cofondateur de SAFTI, explique : "Nous avons choisi de jouer une nouvelle fois la carte de l’humour pour ouvrir les yeux aux professionnels de l’immobilier sur le niveau de rémunération qu’ils peuvent percevoir chez SAFTI"

 

Un modèle économique attractif

SAFTI propose à ses mandataires une commission minimale de 70 %, pouvant atteindre 100 % au-delà de 150 000 € de chiffre d'affaires annuel. Ce modèle sans agence physique permet de réduire les coûts fixes et d'offrir une rémunération plus avantageuse aux conseillers. En 2024, la commission annuelle moyenne s'est élevée à 70 000 €, et près de 600 conseillers ont dépassé les 100 000 € de commissions

 

Une stratégie de communication multicanale

La campagne a été déployée à grande échelle, avec plus de 6 000 panneaux publicitaires à travers la France et une forte présence sur les réseaux sociaux. Le slogan "Vendez la maison des autres depuis la vôtre" met en avant la flexibilité offerte par le modèle SAFTI, permettant aux conseillers de travailler depuis leur domicile tout en bénéficiant d'outils digitaux performants.

 

Une croissance soutenue malgré un contexte difficile

Malgré un marché immobilier en ralentissement, SAFTI affiche une croissance remarquable. Depuis le début de l'année 2025, le réseau enregistre une augmentation de 40 % de son chiffre d'affaires. Cette dynamique est soutenue par une stratégie de communication efficace et un modèle économique attractif pour les professionnels en quête de liberté et de rémunération avantageuse.​

 

 


 

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Le 1er avril 2025 marque l'entrée en vigueur de plusieurs mesures significatives dans le secteur immobilier français. Ces changements, issus de la loi de finances 2025, visent à dynamiser le marché, faciliter l'accession à la propriété et encourager la rénovation énergétique. Voici un tour d'horizon des principales évolutions à connaître.

 

Élargissement du Prêt à Taux Zéro (PTZ)

Le PTZ, dispositif phare pour les primo-accédants, connaît une extension notable :

Éligibilité étendue : désormais accessible pour l'achat de logements neufs, y compris les maisons individuelles, sur l'ensemble du territoire français, sans distinction de zones géographiques.

Plafonds de revenus relevés : plus de ménages peuvent désormais bénéficier du PTZ, avec des montants pouvant atteindre jusqu'à 100 000 euros pour un couple avec un enfant en zone rurale.

Quotités variables : le pourcentage du prix du bien financé par le PTZ varie selon les revenus et le type de logement, allant jusqu'à 50% pour les appartements neufs des ménages les plus modestes.

Cette réforme vise à relancer la construction de logements neufs et à faciliter l'accession à la propriété, notamment dans les zones rurales.​

 

Augmentation des droits de mutation à titre onéreux (DMTO)

Les départements ont désormais la possibilité d'augmenter les DMTO, composant les frais de notaire, de 4,5% à 5% du prix de vente. Cette mesure, facultative, est déjà appliquée dans plusieurs départements, notamment Paris, la Haute-Garonne et la Loire-Atlantique. Elle représente un coût supplémentaire pour les acquéreurs, estimé à 1 500 euros pour un bien de 300 000 euros.

Toutefois, les primo-accédants sont exemptés de cette hausse pour l'achat de logements neufs inférieurs à 250 000 euros, à condition de conserver le bien pendant au moins cinq ans.

 

Exonération des droits de mutation pour les donations familiales​

Une nouvelle mesure permet aux parents, grands-parents et arrière-grands-parents de transmettre jusqu'à 100 000 euros chacun, dans la limite de 300 000 euros par bénéficiaire, sans droits de mutation, pour l'achat ou la construction d'une résidence principale, ou pour des travaux de rénovation énergétique. Le logement doit être conservé pendant au moins cinq ans. Cette exonération est valable jusqu'au 31 décembre 2026.

 

Prolongation du dispositif Loc'Avantages

Initialement prévu pour s'arrêter fin 2024, le dispositif Loc'Avantages est prolongé jusqu'au 31 décembre 2027. Il offre aux propriétaires bailleurs une réduction d'impôt en contrepartie de la location de leur bien à des loyers inférieurs au marché, à des locataires aux revenus modestes, sous réserve de la signature d'une convention avec l'Agence nationale de l'habitat

Cette prolongation vise à encourager la mise en location de logements abordables et à soutenir le marché locatif, tout en incitant à la rénovation énergétique des biens.​

 

 


 

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Le 9 avril 2025, la Commission des finances du Sénat a officiellement demandé l'abandon de la réforme visant à abaisser le seuil de franchise en base de TVA à 25 000 €, une mesure qui aurait impacté de nombreux micro-entrepreneurs, notamment dans le secteur immobilier. Cette décision fait suite à une mobilisation massive des professionnels concernés et à une série d'auditions menées par la commission.

 

Une réforme contestée dès son annonce

Introduite dans la loi de finances pour 2025, la réforme prévoyait de réduire le seuil de chiffre d'affaires annuel en deçà duquel les micro-entrepreneurs sont exonérés de TVA, le faisant passer de 37 500 € à 25 000 € pour les prestations de services. Cette mesure visait à augmenter les recettes fiscales de l'État, mais elle a rapidement suscité une vive opposition.

La Fédération Nationale des Auto-Entrepreneurs (FNAE) a lancé une pétition demandant la suppression de cette disposition, recueillant plus de 100 000 signatures en quelques jours. Face à cette mobilisation, le gouvernement a suspendu l'entrée en vigueur de la réforme, initialement prévue pour le 1er mars, la reportant au 1er juin 2025.

 

Le Sénat plaide pour un abandon pur et simple

La Commission des finances du Sénat, présidée par Claude Raynal, a mené une mission "flash" pour évaluer les implications de la réforme. Les auditions ont révélé que la mesure avait été introduite sans concertation adéquate avec les parties prenantes et sans préparation suffisante. La commission a conclu que les conditions d'acceptabilité et de mise en œuvre de la réforme n'étaient pas réunies, plaidant ainsi pour son abandon total.

 

Jean-François Husson, rapporteur général de la commission, a déclaré :

 "Alors qu'une telle mesure affecterait 200 000 entreprises dans de nombreux secteurs d'activité, elle n'avait été ni correctement préparée par les administrations, ni concertée avec les acteurs concernés, ni anticipée par ceux qui devaient la mettre en œuvre."​

 

Impacts pour les mandataires immobiliers

Pour les mandataires immobiliers en micro-entreprise, l'abaissement du seuil de TVA aurait entraîné des obligations administratives supplémentaires, telles que l'obtention d'un numéro de TVA, la modification des factures pour inclure la TVA, et la réalisation de déclarations périodiques. Bien que la TVA collectée puisse être déduite des dépenses professionnelles, la complexité administrative aurait été accrue.

De plus, cette réforme aurait pu créer des distorsions de concurrence entre les mandataires soumis à la TVA et ceux qui ne l'étaient pas, en fonction de leur chiffre d'affaires. L'abandon de la réforme permet donc de maintenir un environnement plus équitable pour les professionnels du secteur.

 

Une vigilance toujours de mise

Bien que le Sénat ait demandé l'abandon de la réforme, le gouvernement pourrait chercher à réintroduire des mesures similaires dans d'autres projets législatifs. Il est donc essentiel pour les mandataires immobiliers et les agences de rester informés des évolutions réglementaires et de se préparer à d'éventuels changements futurs.

 

 


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Entre mandats à faire signer, baux à archiver et compromis à envoyer dans l’urgence, la paperasse peut rapidement ralentir l’activité d’un agent immobilier. La dématérialisation apparaît alors comme un levier puissant pour gagner en efficacité. Mais par où commencer sans se tromper ?

 

Les premières étapes pour digitaliser sereinement vos documents

Avant de se lancer tête baissée dans un changement de process, il est essentiel de poser les bonnes bases. Dématérialiser, ce n’est pas simplement passer du papier au PDF : c’est repenser votre manière de créer, faire signer, stocker et retrouver vos documents. L’objectif n’est pas de bouleverser vos habitudes du jour au lendemain, mais d’intégrer des outils simples et efficaces qui vous feront gagner du temps sans sacrifier la rigueur juridique ni la relation client.

 

Identifier les documents à digitaliser en priorité

Le plus simple est de débuter par les documents que vous utilisez au quotidien et qui nécessitent une signature : mandats de vente, mandats de location, baux, états des lieux, compromis, avenants…

Ce sont des documents à fort volume, répétitifs, souvent standardisés : ils sont donc parfaits pour une automatisation sans perte de qualité. Commencer par eux permet de voir rapidement les bénéfices de la dématérialisation.

 

Assurer la conformité juridique et la traçabilité

Dématérialiser ne veut pas dire faire une signature sur Word ou envoyer un PDF par mail. Pour que vos documents soient légalement valides, vous devez utiliser une solution avec :

. Une signature électronique certifiée (conforme eIDAS)

. Une horodatation des actions

. Une traçabilité complète (historique, IP, consentements)

. Une sécurisation des données stockées

Cela vous protège vous… et vos clients. Et cela renforce également votre image de professionnel rigoureux et à jour.

 

Et si vos contrats s’automatisaient (et se signaient) en quelques clics ?

C’est exactement ce que propose Sinimo, une application pensée spécifiquement pour les professionnels de l’immobilier. Avec Sinimo, vous pouvez générer en quelques minutes tous vos contrats types (mandats, baux, compromis…), préremplis, personnalisés, et prêts à être signés électroniquement.

Fini les allers-retours interminables ou les erreurs de saisie : vous centralisez, vous contrôlez, vous signez… et vous gagnez du temps.

 

Sinimo : une solution complète pour digitaliser vos contrats immobiliers

✔️ Contrats personnalisables selon vos besoins
✔️ Signature électronique intégrée et conforme aux normes en vigueur
✔️ Archivage sécurisé et traçabilité complète
✔️ Interface simple, rapide, accessible depuis n’importe quel appareil

En bref, Sinimo vous aide à passer d’un process manuel et contraignant à une gestion fluide, moderne et 100 % pro.

 

 


 

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