Melvin MASSEAUX

Melvin MASSEAUX

Un arrêté publié début septembre 2025 a redessiné la carte du zonage ABC, qui classe les communes selon la tension de leur marché immobilier. Cette révision n’est pas anodine : elle conditionne l’éligibilité au Prêt à Taux Zéro (PTZ), les dispositifs d’investissement locatif ou encore les plafonds de loyers. Pour les professionnels de l’immobilier, c’est un paramètre essentiel à intégrer dès maintenant dans leurs conseils aux clients.

 

Le principe du zonage ABC

Le zonage ABC classe les communes françaises selon le degré de tension du marché immobilier :

  • Zone A et B1 : zones tendues, où la demande excède largement l’offre (grandes métropoles, littoral attractif, etc.).

  • Zone B2 et C : marchés plus détendus, avec un équilibre ou un excédent d’offre.

Ce classement n’a rien d’anecdotique. Il conditionne l’accès à plusieurs dispositifs, en particulier le PTZ, les plafonds du Pinel (dans les zones encore éligibles), ou encore les règles encadrant les loyers.

 

Ce que change la révision 2025

La mise à jour du zonage, entrée en vigueur en septembre 2025, entraîne des changements pour plusieurs centaines de communes. Certaines, en forte croissance démographique ou sous pression locative, basculent en zone tendue (B1 ou A). D’autres, au contraire, rétrogradent vers des zones plus détendues.

. Accès au PTZ : un primo-accédant situé dans une commune nouvellement classée en zone tendue pourra bénéficier de conditions plus favorables pour financer son achat. À l’inverse, ceux qui passent en zone “moins tendue” risquent de perdre cet avantage.

. Investissement locatif : les plafonds de loyers et de ressources évoluent en fonction de la zone, ce qui peut modifier la rentabilité des projets locatifs.

. Marché local : la reclassification agit comme un signal : une commune qui passe en zone tendue peut voir la demande s’accroître, les prix se maintenir voire repartir à la hausse.

 

Impacts pour les professionnels de l’immobilier

Pour les agents, courtiers, notaires et conseillers en gestion de patrimoine, cette évolution implique :

  • de mettre à jour leurs simulations financières intégrant le PTZ,

  • d’adapter leur argumentaire auprès des primo-accédants comme des investisseurs,

  • de communiquer rapidement auprès de leurs clients sur les opportunités ou, au contraire, les pertes d’avantages liés à la bascule de leur commune.

La maîtrise de ces changements peut devenir un facteur de différenciation, notamment face à des acheteurs qui découvriraient tardivement la perte de leur éligibilité au PTZ.

 

 


 

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Après des mois de ralentissement, le marché immobilier français montre des signes de redressement en 2025. Toutefois, bien que les ventes repartent, le rythme reste en deçà des attentes. Pour les professionnels, ce constat appelle une analyse des leviers à actionner et des obstacles à lever dès maintenant.

 

Un bilan 2025 contrasté

La dynamique amorcée depuis l’an dernier trouve un écho positif : les transactions dépasseraient symboliquement les 900 000 ventes, avec une perspective autour de 925 000 pour l’année, soit une progression d’environ 8,2 % par rapport à 2024.

Mais ce redémarrage reste plus timide que prévu. Le printemps, souvent porteur de rebonds, a été moins actif qu’habituellement, ce qui modère les espoirs d’atteindre un million de transactions.

 

Prix et loyers : de la stabilité en mutation

Côté prix, la tendance baissière semble avoir été inversée : l’Indice des Prix de l’Immobilier (IPI) affiche une hausse modérée de +0,8 % sur un an à l’échelle nationale ; les grandes métropoles connaissent pour la plupart un retour de la hausse.

Concernant le locatif, la hausse des loyers continue, mais à un rythme nettement ralenti — +1,5 % sur un an, contre +4,2 % l’année précédente. Dans les grandes villes, cette progression est même divisée par cinq par rapport à celle d’il y a un an.

 

Freins persistants à la reprise

Malgré les signaux encourageants, plusieurs facteurs limitent la vigueur de la reprise. Les taux d’emprunt espérés sous la barre de 3 % sur 20 ans n’ont pas été atteints : ils restent autour de 3,25 % pour cette rentrée. Autre frein : les secundo-accédants qui souhaitent revendre se retrouvent souvent pénalisés, certains cédant à perte dans des zones où les prix sont toujours en retrait par rapport à leurs pics.

 

Perspectives pour 2026 : redressement modéré mais réel

À l’approche de 2026, les professionnels sondés estiment que la reprise devrait se poursuivre, mais de manière progressive. Les incertitudes politiques, les contraintes économiques (pouvoir d’achat, inflation) et le manque de visibilité sur la politique du logement demeurent des sujets de vigilance.

 

 


 

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À compter du 1er septembre 2025, chaque Diagnostic de Performance Énergétique (DPE) devra comporter un QR code officiel. Cette mesure, annoncée par Valérie Létard, ministre du Logement, vise à renforcer la fiabilité des diagnostics, lutter contre les fraudes et restaurer la confiance dans un secteur souvent pointé du doigt. Pour les professionnels, c’est un changement réglementaire à anticiper dès maintenant.

 

Le dispositif : qu’est-ce qui change ?

Le 1er septembre 2025, une nouvelle obligation entre en vigueur : chaque DPE devra inclure un QR code officiel, permettant à tout utilisateur (propriétaire, locataire, professionnel) de scanner ce code pour vérifier que le diagnostic est bien enregistré auprès de l’ADEME et que ses données sont conformes.

Cette mesure s’inscrit dans le plan de fiabilisation du DPE lancé en mars dernier, dont l’objectif est de renforcer la crédibilité de l’outil.

 

Pourquoi ce changement maintenant ?

. Lutte contre la fraude : des diagnostics douteux ou mal réalisés circulent, ce qui érode la confiance des clients et nuit à la réputation des acteurs sérieux. Le QR code permet une vérification rapide et fiable.

. Transparence renforcée : les acquéreurs ou locataires pourront obtenir une information immédiate et vérifiable, ce qui doit faciliter les transactions ou la location.

. Pression réglementaire accrue : parallèlement, d’autres mesures entrent ou vont entrer en vigueur :

. Suspension possible pour les diagnostiqueurs réalisant plus de 1 000 DPE par an à compter d’octobre 2025.

. Révision du mode de calcul du DPE dès le 1er janvier 2026, avec reclassification de nombreux logements, notamment ceux chauffés à l’électricité.

 

Impacts pour les professionnels de l’immobilier

 

L’arrivée du QR code dans le DPE n’est pas une simple formalité. Un diagnostic sans QR code officiel, ou mal enregistré, pourrait être contesté et donc invalidé lors d’une transaction ou d’une location, exposant les professionnels à un risque de non-conformité. Cette nouvelle obligation entraîne aussi une charge administrative supplémentaire : les agences devront s’assurer que leurs diagnostiqueurs sont à jour, que les logiciels intègrent correctement le QR code et que les données soient bien transmises à l’ADEME.

Au-delà de l’aspect technique, cette évolution impacte également la communication et l’organisation interne. Le QR code devient un véritable gage de fiabilité à mettre en avant dans les annonces et supports de vente.

 


 

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La chute du Gouvernement Bayrou replonge le marché immobilier dans l’incertitude. Alors que des mesures fiscales et réglementaires devaient soutenir investisseurs, bailleurs et ménages, cette instabilité politique ravive les inquiétudes : taux d’emprunt, confiance des ménages, projets législatifs et visibilité à long terme.

 

La chute du Gouvernement Bayrou : rappel des faits

Le 8 septembre 2025, François Bayrou n’a pas obtenu le vote de confiance de l’Assemblée nationale (364 voix contre, 194 pour), entraînant automatiquement la démission de son gouvernement. Quelques jours plus tôt, des avancées importantes avaient été annoncées dans le domaine du logement, dont la création d’un statut fiscal pour les bailleurs privés. Valérie Létard, ministre du Logement, avait engagé des actions concrètes afin de relancer ce secteur souvent critiqué pour son instabilité réglementaire.

 

Une forte dose d’incertitude pour les acteurs du logement

. Politique : la composition du nouveau gouvernement (avec Sébastien Lecornu nommé Premier ministre) reste floue, notamment pour le portefeuille du Logement. Le maintien ou non de Valérie Létard dans ce rôle est scruté comme un indicateur de continuité ou de rupture.

. Économique : l’instabilité gouvernementale est souvent perçue comme un facteur de risque supplémentaire dans un contexte où les taux d’emprunt, la confiance des investisseurs et des ménages sont déjà fragilisés.

. Législatif & fiscal : plusieurs mesures prévues dans le projet de loi de finances 2026 — statut fiscal des bailleurs privés, etc. — pourraient être retardées ou modifiées selon les arbitrages du nouveau gouvernement.

 

Réactions des professionnels : entre vigilance et inquiétude

Les organisations représentatives du secteur immobilier ne cachent pas leur préoccupation :

. L’UNIS : besoin urgent de stabilité pour les entreprises et les projets des particuliers.

. La FNAIM : le marché n’est pas « à l’arrêt », mais l’incertitude pèse déjà sur la confiance des acheteurs.

. Le secteur du bâtiment : demande des règles du jeu claires, dénonçant le changement trop fréquent de ministres, normes et réglementations.

 

 

Ce à quoi il faudra rester attentif

. Composition ministérielle : le maintien ou non des têtes fortes du logement, ou l’arrivée de nouveaux acteurs aux positions plus ou moins favorables au secteur.

. Projet de loi de finances 2026 : son calendrier, ses mesures, et leur mise en œuvre effective.

. Décisions des agences de notation : une éventuelle dégradation de la note de la France pourrait peser lourdement sur les coûts de financement.

. Orientations de la BCE et politique monétaire : les taux directeurs, les mesures de soutien ou de resserrement, possible impact immédiat sur les crédits immobiliers.

. Réactions des professionnels via les fédérations et syndicats : volonté de peser dans les débats pour stabiliser le cadre juridique et fiscal, en faveur d’une plus grande prévisibilité.

 

 

 


 

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Souvent considéré comme une simple formalité, l’état des lieux est en réalité un document juridique essentiel. En cas de litige avec un locataire — dégradations, retenue sur le dépôt de garantie, conflit sur l’usure normale — tout repose sur la qualité de ce document. Et quand il est mal rempli ou incomplet, c’est votre parole contre la sienne… parfois jusqu’au tribunal.

 

Quand un oubli peut faire perdre un procès

Un robinet abîmé, un mur tâché, une moquette usée : autant de petits détails qui prennent une dimension juridique quand le locataire conteste des retenues sur sa caution. Les juges se basent quasi exclusivement sur la comparaison entre l’état des lieux d’entrée et celui de sortie. Si l’un des deux est incomplet, non signé, non daté ou approximatif… la balance penchera presque toujours en faveur du locataire.

 

Exemple réel : Un propriétaire avait retenu 420 € pour des trous dans un mur. L’état des lieux d’entrée mentionnait "murs corrects", sans autre précision. Le juge a estimé cette mention insuffisante : remboursement total de la retenue + 350 € de dommages pour le locataire.

 

Les 3 erreurs qui vous exposent à un contentieux

1. Mentions vagues ou non contradictoires : “Bon état” ne veut rien dire sans précision.

2. Absence de signature ou d’exemplaire remis au locataire : l’état des lieux peut être invalidé.

3. Pas de photos ou de justificatifs : vous perdez toute preuve en cas de contestation.

Un état des lieux mal fait ne protège ni le bailleur, ni le professionnel en gestion. Et c’est souvent l’agence qui doit se justifier si elle a été mandatée.

 

Se protéger efficacement… grâce aux bons outils

Face à ces risques, la rigueur et la traçabilité sont vos meilleurs alliés. C’est pourquoi de plus en plus de professionnels optent pour une solution numérique comme Startloc.

 

Startloc : l’app qui vous protège autant que vos biens

Startloc est une application 100 % pensée pour les pros de l’immobilier, qui permet de réaliser des états des lieux complets, conformes et infalsifiables directement depuis votre smartphone ou tablette.

Ses atouts :

. ✅ Des modèles personnalisables et clairs pour chaque bien

. ✅ Insertion facile de photos horodatées et géolocalisées

. ✅ Signature électronique par les deux parties, sur place

. ✅ Archivage automatique, en PDF, avec envoi au locataire

. ✅ Sécurité juridique renforcée en cas de contestation

 

 

En quelques minutes, vous avez un état des lieux propre, complet et juridiquement solide, que vous soyez agent, gestionnaire ou propriétaire bailleur.

 

 


 

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À l’heure où les grands portails font flamber les coûts de diffusion, une question se pose : est-il encore possible de publier ses annonces gratuitement sans sacrifier leur visibilité ? Face à la saturation du marché et à la pression financière, de plus en plus de professionnels se tournent vers des alternatives.

 

Diffuser gratuitement ses annonces : mythe ou vraie opportunité en 2025 ?

La diffusion d’annonces immobilières est l’un des postes de dépense les plus lourds pour les agences, notamment pour les indépendants ou les petites structures. Entre les abonnements mensuels aux grands portails, les options de remontée et les services supplémentaires, la facture grimpe vite… sans garantie de performance.
Mais en 2025, une tendance se confirme : de plus en plus de professionnels cherchent à réduire leurs coûts de diffusion sans sacrifier leur visibilité. Alors, diffuser gratuitement ses annonces est-ce un mythe ou une vraie alternative ?

Spoiler : c’est aujourd’hui une opportunité bien réelle, à condition de faire les bons choix.

 

Des coûts de diffusion qui pèsent de plus en plus lourd

Les grands portails immobiliers sont devenus incontournables… mais aussi très coûteux. Pour les agences, les abonnements dépassent souvent plusieurs centaines d’euros par mois, auxquels s’ajoutent :

. Des options pour booster la visibilité (remontée en tête de liste, mise en avant, etc.),

. Des frais cachés pour accéder aux leads ou aux contacts vendeurs,

. Des conditions contractuelles parfois rigides, avec des engagements sur 12 mois.

Résultat : certaines agences dépensent jusqu’à 1 000 € par mois uniquement pour diffuser leurs annonces, sans toujours obtenir le retour sur investissement espéré.

 

Monbien : une vraie alternative gratuite pour les pros

Parmi ces alternatives, Monbien.fr se distingue par sa simplicité et sa promesse forte :

permettre aux professionnels de diffuser gratuitement leurs annonces immobilières.

Sans frais, sans abonnement, sans engagement.

Conçu pour les pros de terrain qui veulent reprendre le contrôle de leur diffusion, Monbien offre :

. ✅ Un dépôt d’annonce gratuit, illimité et rapide, sans condition cachée

. ✅ Un portail clair, accessible aux acheteurs, sans publicité intrusive

. ✅ Une mise en avant équitable de toutes les agences, qu’elles soient petites ou grandes

. ✅ Une plateforme dédiée uniquement aux professionnels, pour garantir la qualité des annonces

 


 

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Et si vous pouviez rentrer des mandats sans démarcher à tout-va ? Dans un marché immobilier où les vendeurs sont de plus en plus sollicités, les méthodes de prospection classiques montrent leurs limites. Pourtant, certaines agences réussissent à capter naturellement l’attention des propriétaires… sans les harceler.

 

Comment capter naturellement des mandats sans courir après ?

Dans un marché immobilier ultra-concurrentiel, la prospection traditionnelle — appels à froid, boîtage massif, relances chronophages — montre ses limites. Les propriétaires sont sursollicités, méfiants, parfois même agacés par les approches commerciales trop directes. Alors, comment continuer à rentrer des mandats efficacement, sans avoir l’impression de « courir après » les vendeurs ?

 

Positionnez-vous comme référence locale

Les vendeurs font naturellement appel à un professionnel en qui ils ont confiance. Or cette confiance se construit bien avant le premier contact. Voici comment :

. Publiez régulièrement des contenus utiles sur vos réseaux sociaux (actualités marché, conseils vendeurs, erreurs à éviter…).

. Créez une newsletter locale à destination des propriétaires (prix moyens dans leur quartier, délais de vente…).

. Intervenez sur des groupes Facebook ou forums immobiliers locaux, en répondant aux questions avec pédagogie.

. Rédigez des guides ou e-books gratuits ("Comment bien estimer son bien", "5 pièges à éviter lors d’une vente", etc.)

En devenant une source d’information fiable, vous deviendrez aussi un réflexe naturel lorsqu’un projet de vente se concrétise.

 

Soyez trouvable au bon moment

Les vendeurs ne vous chercheront pas pendant des mois. Quand leur décision est prise, ils veulent trouver rapidement quelqu’un de compétent et disponible.

Voici les canaux essentiels à maîtriser :

. Fiche Google Business à jour : horaires, numéro de téléphone cliquable, avis clients.

. Avis Google et Facebook : demandez systématiquement à vos clients satisfaits de laisser un avis.

. Référencement local (SEO) : une simple page "vendre mon appartement à [VILLE]" bien optimisée peut vous rapporter plusieurs leads qualifiés par mois.

. Annuaire des professionnels (SeLoger, Bien’ici, MeilleursAgents...) : assurez-vous que votre profil est soigné, complet et orienté vendeur.

Soyez visible là où les vendeurs vous cherchent. Pas l’inverse.

 

Marketing immobilier : la solution pour générer des mandats sans prospection

Marketing Immobilier est un service de prospection externalisée par SMS, conçu exclusivement pour les professionnels de l’immobilier. Grâce à un système de veille ultra-ciblé, il repère automatiquement les particuliers qui publient une annonce de vente dans votre secteur, et leur envoie deux messages personnalisés en votre nom pour déclencher un premier contact.

Voici ce que vous obtenez concrètement avec le service :

. ✅ Vous recevez en moyenne 3 à 5 appels de vendeurs intéressés chaque mois.

. ✅ Si vous êtes réactif et efficace, cela représente 2 à 4 mandats de plus par mois.

. ✅ Dès qu’un vendeur vous appelle, vous recevez une alerte SMS instantanée pour ne manquer aucune opportunité.

. ✅Chaque mois, vous recevez un rapport détaillé des annonces contactées, des réponses reçues et des performances obtenues.

 

Simple, efficace, local et exclusif, Marketing Immobilier vous permet de développer votre portefeuille sans démarchage direct ni perte de temps.

 

 


 

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À partir d’octobre 2025, les diagnostiqueurs immobiliers devront se conformer à une nouvelle règle stricte : pas plus de 1 000 DPE par an, sous peine de suspension automatique. L’objectif ? Lutter contre les dérives, renforcer la fiabilité des diagnostics et restaurer la confiance des professionnels comme des particuliers.

 

Un seuil strict pour restaurer la confiance

Un arrêté publié au Journal officiel du 1er août 2025 fixe le nouveau seuil : tout diagnostiqueur réalisant plus de 1 000 DPE (logements individuels ou appartements) sur une période glissante de 12 mois sera automatiquement suspendu, sauf justification recevable. L’objectif : garantir que chaque visite soit bien réelle et lutter contre les dérives liées aux fraudes ou DPE bâclés.

 

Renforcement du dispositif de contrôle

Ce nouveau seuil s’ajoute à un arsenal réglementaire déjà renforcé : certification plus drastique, contrôle des organismes par le COFRAC tous les 10 mois (au lieu de 15), QR code obligatoire sur les diagnostics liés à l’Ademe, et outils d’alerte automatisée pour signaler les anomalies (par ex. volume journaliers excessifs).

 

 

Au-delà du contrôle : une vraie opportunité pour le marché

Au-delà de la contrainte, cette mesure vise à élever la professionnalisation du diagnostic, restaurer sa crédibilité, et enfin rendre le DPE réellement utile à l’achat, à la rénovation, à la location ou à la vente. Il s'agit aussi d'éviter que des pratiques irrégulières ne faussent la confiance des clients, ou pénalisent inutilement la valeur des biens.

 


 

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Contrairement aux idées reçues, l’été n’est pas une période creuse dans l’immobilier… mais une véritable opportunité à saisir pour les acheteurs avertis.  Pour les professionnels, c’est le moment idéal pour accompagner efficacement leurs clients et capter de nouveaux mandats.

 

Une fenêtre stratégique rare pour les acheteurs… mais surtout pour les agents

Contrairement aux idées reçues, l’été 2025 ne rime pas avec une pause pour le marché immobilier, bien au contraire : pour ceux qui savent anticiper, juillet-août s’impose comme une vraie fenêtre stratégique à exploiter

Le facteur clé ? La demande se relâche naturellement pendant les vacances, le marché se déploie alors à l’avantage des acquéreurs réactifs. Faible pression concurrentielle, disponibilité des vendeurs souhaitant éviter la rentrée, capacité de négociation amplifiée… voilà le constat dressé par CAFPI.

À cela s’ajoutent des taux de crédit stables et en légère baisse, avec certains profils hautement solvables obtenant des taux sous les 3 % sur 15 à 20 ans. Ce contexte permet aux acheteurs de sécuriser un financement avantageux, juste au moment où le marché reprend de la vigueur.

 

L’été, la saison des vendeurs fatigués : une carte à jouer pour les pros

Certains biens sont présents sur les plateformes depuis le printemps, sans avoir trouvé preneur. Le vendeur, lassé ou pressé par la rentrée, devient souvent plus flexible sur son prix ou ses conditions. Pour un agent bien positionné, ces mandats en sommeil peuvent rapidement se transformer en ventes concrètes. En valorisant des offres restées sous le radar et en jouant la carte du "dernier coup avant septembre", vous maximisez vos chances de conclure.

 

Des aides qui renforcent l’attractivité estivale du marché

Outre ce climat favorable, plusieurs dispositifs publics renforcent le pouvoir d’achat des primo-accédants ou des investisseurs. Le Prêt à Taux Zéro (PTZ), notamment, a été élargi en 2025, améliorant significativement les conditions de financement. Il devient ainsi possible de concrétiser un projet avec moins d’apport, dans des délais maîtrisés.

 

 

 


 

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C’est une première depuis plus de 10 ans : les honoraires d’agence pour la mise en location vont enfin être revalorisés. À partir de janvier 2026, les plafonds réglementaires évolueront en fonction de l’indice IRL. Une avancée discrète, mais lourde de sens pour les professionnels, après des années de blocage.

 

Contexte — Une hausse attendue depuis 2014

Depuis l’introduction de la loi ALUR, les honoraires de location à la charge des locataires étaient plafonnés, sans révision, entre 8 et 12 €/m² pour les prestations traditionnelles (bail, visites, dossier), plus 3 €/m² pour l’état des lieux. Cette stabilité de plus de dix ans n’était pas conforme à la loi qui autorisait une révision annuelle — ce qui franchit un cap significatif.

 

Nouvelle réglementation — Indexation inédite à partir de 2026

Un arrêté ministériel datant du 17 juillet 2025 acte une revalorisation automatique des plafonds à compter du 1er janvier 2026, indexée à l’évolution de l’Indice de Référence des Loyers (IRL) mesurée entre le 3ᵉ trimestre 2024 et le 3ᵉ trimestre 2025. Avec une progression modeste de l’IRL (environ +1,04 %), l'augmentation devrait rester contenue.

 

Regards professionnels — Un soulagement pour les agences…

Face à une conjoncture tendue — baisse des transactions, défaillances d’agences, hausse des coûts (digitalisation, formation, réglementation) — cette revalorisation est une véritable bouffée d’air pour les syndicats professionnels (SNPI, FNAIM, Unis) qui réclamaient ce changement depuis longtemps.

"Cela fait des années qu'on travaille avec des barèmes figés, totalement déconnectés de la réalité économique. Cette revalorisation, même modeste, envoie un signal clair : notre travail de terrain est enfin reconnu et actualisé."

 

Pourquoi ce n’était pas automatique — un blocage juridique clé

Une précédente saisine menait en décembre 2024 à un refus du Conseil d’État, estimant que si les plafonds étaient « révisables », cela ne signifiait pas qu’ils devaient obligatoirement l’être. La décision prise en 2025 reprend donc une prérogative légale restée ignorée jusqu’alors.

 

 

 


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