Melvin MASSEAUX

Melvin MASSEAUX

Depuis le 1ᵉʳ octobre 2025, le gouvernement a durci le cadre autour du Diagnostic de Performance Énergétique (DPE). Objectif : fiabiliser les annonces, responsabiliser les professionnels, et accélérer la rénovation du parc immobilier français. Les contrevenants s’exposent désormais à des amendes pouvant atteindre 15 000 €.

 

Un DPE désormais incontournable

Le DPE n’est plus une simple formalité : il devient une pièce maîtresse de toute transaction immobilière.
Que ce soit pour la vente, la location ou même la publicité d’un bien, l’affichage de la classe énergétique est obligatoire et vérifiable.
Chaque annonce doit mentionner :

. La classe énergie (de A à G),

. La classe climat,

. Et la consommation annuelle estimée en kWh et en euros.

Les contrôles se multiplient, notamment sur les plateformes de diffusion, afin de sanctionner les publications non conformes ou trompeuses.

 

Des sanctions dissuasives

Le décret du 1ᵉʳ octobre prévoit des amendes administratives allant jusqu’à 15 000 € pour les professionnels diffusant une annonce sans DPE ou comportant des données volontairement erronées.
Les agences et mandataires sont tenus de vérifier la validité du diagnostic avant toute diffusion — un simple “oubli” ne sera plus excusable.

Exemple : une annonce sans mention DPE sur un bien ancien est passible d’une amende dès le premier constat par la DGCCRF.

 

Vers un parc plus vert et plus transparent

Cette évolution s’inscrit dans une stratégie globale : la lutte contre les passoires thermiques et l’objectif de neutralité carbone à horizon 2050.
Les logements classés G seront progressivement interdits à la location d’ici 2028, et les propriétaires sont encouragés à rénover dès maintenant pour éviter une dévalorisation de leur bien.

Les agences, elles, doivent adapter leurs process :

. Mise à jour automatique des annonces sur les portails,

. Vérification des diagnostics à la prise de mandat,

. Accompagnement des propriétaires dans leurs démarches énergétiques.

 

À retenir pour les professionnels

. Le DPE est désormais obligatoire et contrôlé pour toute annonce immobilière.

. Les sanctions peuvent aller jusqu’à 15 000 €.

. La conformité énergétique devient un argument commercial majeur.

. Accompagner vos clients dans la mise en conformité, c’est aussi protéger votre agence.

 


 

Diffusez votre article juste ici

Contactez l'équipe Flash Immo au 03 89 55 69 02

 

Dans un contexte où les vendeurs sont de plus en plus sollicités, la prospection agressive montre ses limites. Pour se démarquer durablement, les professionnels doivent désormais miser sur une approche plus fine : écoute, posture de conseil, et relation de confiance.

 

1. Capter l’attention sans paraître insistant

Les vendeurs reçoivent des dizaines de messages dès qu’ils publient une annonce. Certains sont ignorés, d’autres supprimés sans même être lus. Pourquoi ? Parce que la plupart des approches sont trop directes, trop génériques, ou donnent une impression de “copier-coller”.

Ce qui fonctionne en 2025 :

. Un message personnalisé et contextualisé : “Bonjour M. Durand, j’ai vu votre bien rue des Acacias…”

. Un ton humain et non intrusif

. Une proposition de valeur claire mais sans pression : estimation offerte, conseil neutre, comparaison marché…

La première impression doit être : 

“Cette personne me parle à moi, pas à 200 autres”.

 

2. Inspirer confiance avant même de parler mandat

Le vendeur ne veut pas vous confier son bien : il veut d’abord savoir si vous êtes digne de le représenter. Plutôt que de parler de votre taux de succès ou de votre base acquéreurs, commencez par :

. Comprendre son projet : pourquoi il vend, depuis quand, à quel horizon.

. Poser les bonnes questions, sans jugement.

. Apporter un éclairage immédiat sur la réalité du marché local ou les délais constatés.

C’est cette posture de professionnel conseil qui enclenche la bascule : la personne cesse de vous voir comme un commercial et commence à vous considérer comme un allié.

 

3. Être présent au bon moment (pas tout le temps)

La clé n’est pas d’insister — c’est d’être visible au bon moment dans le parcours de réflexion du particulier. Certains vendeurs veulent signer dès la première semaine, d’autres prennent un mois pour y réfléchir.

D’où l’intérêt de mettre en place un système de prospection intelligent : une prise de contact douce au départ, puis une relance discrète, mais régulière. Pas pour vendre. Pour rester dans le paysage mental du prospect.

 

Marketing Immobilier : la prospection SMS pensée pour inspirer la confiance

Pour accompagner cette évolution des méthodes de prospection, le service Marketing Immobilier a été conçu spécifiquement pour les pros de l'immobilier souhaitant créer du lien plutôt que forcer la main.

 

Le principe est simple :
. À chaque fois qu’un particulier publie une annonce dans votre secteur (vente ou location), deux SMS personnalisés lui sont envoyés automatiquement.
. Le message est à votre nom, rédigé avec soin pour inspirer la confiance et inciter à l’échange.
. L’envoi est discret, mesuré, sans insistance, avec un ton respectueux de l’interlocuteur.

 

Objectif : décrocher plus de rendez-vous vendeurs, sans user votre image, ni perdre de temps en prospection chronophage.

Et surtout : ce service est exclusif à un professionnel par secteur, pour garantir son efficacité et éviter toute saturation locale.

 


 Diffusez votre article juste ici

Contactez l'équipe Flash Immo au 03 89 55 69 02

 

Face à l’envolée des coûts de diffusion sur les grands portails, de plus en plus d’agents immobiliers cherchent des solutions pour rester visibles… sans se ruiner. Entre stratégies alternatives, canaux gratuits et nouvelles plateformes, comment publier efficacement ses annonces sans plomber son budget marketing ? Cet article fait le point sur les vraies options disponibles.

 

Les portails payants : une domination… qui coûte cher

Depuis plus d’une décennie, les grands portails immobiliers (SeLoger, Leboncoin, Bien’ici…) occupent le haut du podium en matière de visibilité. Rien d’étonnant : ce sont souvent les premiers réflexes des acheteurs.
Mais cette domination a un prix : entre abonnements mensuels, options de mise en avant, multi-diffusion, les coûts s’envolent facilement à plusieurs centaines, voire milliers d’euros par mois pour les agences.

À cela s’ajoute une pression constante sur le retour sur investissement :

. Plus de concurrence pour chaque annonce,

. Moins de visibilité organique sans option payante,

. Et une dépendance à des algorithmes de classement parfois flous.

 

Réseaux sociaux, site d’agence, Google… quelles alternatives ?

Pour sortir de cette dépendance, de nombreux professionnels explorent d’autres canaux :

. Pages Facebook ou Instagram, pour les contacts locaux,

. Google Business Profile, pour le référencement naturel local,

. Portails propres aux réseaux ou franchises, en complément des grands agrégateurs,

. Sites d’agence optimisés SEO, qui permettent de générer du trafic en direct (mais demandent du temps et un bon travail éditorial).

Mais soyons honnêtes : ces canaux demandent du temps, des compétences techniques, et une régularité que peu d’agents peuvent maintenir seuls sur la durée.

 

Monbien : la solution gratuite pour diffuser toutes vos annonces

Dans un secteur où chaque diffusion d’annonce se paie au prix fort, Monbien apporte une bouffée d’air frais aux professionnels. Ce portail immobilier 100 % gratuit a été conçu pour redonner aux agences et mandataires la maîtrise de leur visibilité, sans frais, sans engagement et sans compromis sur la performance.

 

Concrètement, Monbien vous permet de :

. Publier toutes vos annonces sans limite et sans débourser un centime.

. Mettre à jour automatiquement votre portefeuille grâce à des passerelles simples d’utilisation.

. Gagner en visibilité locale grâce à un référencement optimisé sur les moteurs de recherche.

. Recevoir directement les contacts acheteurs ou locataires, sans commission ni intermédiaire.

. Valoriser votre image professionnelle, sur une plateforme exclusivement dédiée aux acteurs de l’immobilier.

 

 

Avec Monbien, vous conservez 100 % de vos prospects, vous réduisez drastiquement vos coûts de diffusion et vous donnez à vos annonces la visibilité qu’elles méritent.

 

 


 

Diffusez votre article juste ici

Contactez l'équipe Flash Immo au 03 89 55 69 02

 

Après des trimestres difficiles, le marché immobilier ancien affiche une reprise encourageante au troisième trimestre 2025. Volumes de ventes en hausse, prix qui remontent… mais cette embellie s’accompagne de signes de fragilité. Entre disparités régionales, pression sur les taux et offre encore restreinte, les professionnels doivent naviguer avec prudence.

 

Une reprise structurelle, pas seulement conjoncturelle

Le réseau Century 21 relève une hausse de +8,1 % pour les appartements et +10,1 % pour les maisons sur un an pour le T3 2025. De son côté, Laforêt fait état d’une progression de +16 % du volume de ses transactions sur la même période.

Ces chiffres témoignent d’un regain d’activité confirmé, porté par un double mouvement :

. Les taux de crédit sont redevenus plus « normaux » (autour de 3,08 % sur 20 ans). 

. Les vendeurs semblent accepter davantage de décalages de prix pour conclure.

 

Prix en hausse, mais mesurée et sélective

Sur un an, les prix des appartements s’établissent en hausse de +4,3 %, ceux des maisons à +2,7 %. Le prix moyen tous biens confondus atteints 3 405 €/m². Cependant, cette progression n’est pas homogène : Paris par exemple affiche une hausse de +6,5 %, tandis que certaines villes moyennes comme Dijon ou Biarritz enregistrent des baisses imputables à des déséquilibres locaux.

 

Demande forte, offre limitée : un défi structurel

La demande continue de progresser : selon Laforêt, les projets d’achat augmentent de +20 % sur un an, avec une orientation nettement plus forte vers les appartements que les maisons. Mais le hic : l’offre peine à suivre. Le stock de biens disponibles ne progresse que modérément (+10 % sur 12 mois), et reste insuffisant face à la montée des acheteurs actifs.

 

Délais de vente à la hausse : une alerte à ne pas sous-estimer

Autre facteur à surveiller : les délais de vente s’allongent. En T3 2025, il faut en moyenne 95 jours pour vendre un appartement, et 102 jours pour une maison, soit une progression de 5 jours en un an. Ce phénomène traduit une plus grande sélectivité du marché, où les biens mal positionnés ou énergétiquement défaillants peinent à trouver preneur.

 

Risques et incertitudes à garder à l’œil

À côté des signaux positifs, plusieurs points de vigilance subsistent :

. Une tension sur les taux d’intérêt qui pourrait freiner la demande

. Des inégalités territoriales fortes entre zones urbaines et rurales

. Une offre neuve toujours trop faible pour relâcher la pression sur l’ancien

. L'inflation, les coûts de construction et la réglementation pouvant peser sur les projets

Comme le rappelle Charles Marinakis, président de Century 21 : 

« Seul point de vigilance : il ne faudrait pas que la hausse des prix soit trop forte et durable ».

 

 


 

Diffusez votre article juste ici

Contactez l'équipe Flash Immo au 03 89 55 69 02

Dans le récent remaniement ministériel orchestré par Sébastien Lecornu, Vincent Jeanbrun a été nommé ministre de la Ville et du Logement à compter du 12 octobre 2025. Une nomination qui intervient alors que le secteur immobilier est confronté à de nombreux défis : logement social, rénovation urbaine, crise des copropriétés… Quels enjeux pour les professionnels ? Retour sur un choix politique fort.

 

Un profil politique en ascension

Vincent Jeanbrun, âgé de 41 ans, est député du Val‑de‑Marne depuis 2024 et ancien maire de L’Haÿ‑les-Roses. Il a également occupé des responsabilités régionales et départementales.
Sa nomination au sein du gouvernement Lecornu II confirme son virage vers des fonctions nationales stratégiques.

 

Un poste à enjeux multiples

Le nouveau ministère combine deux volets essentiels pour l’immobilier professionnel :

. La ville, c’est-à-dire les quartiers prioritaires, la cohésion sociale, la politique urbaine.

. Le logement, qui couvre la production de logements neufs, la rénovation énergétique, la régulation locative, l’accès au logement pour tous.

Dans un contexte où les normes environnementales, les coûts de construction et les attentes des collectivités sont en pleine mutation, ce ministère sera au centre des débats.

 

Défi immédiat : répondre aux attentes des professionnels

Pour les acteurs de l’immobilier— promoteurs, agences, bailleurs — cette nomination suscite plusieurs interrogations :

. Quelle politique de soutien au logement social sera poursuivie ou renforcée ?

. Comment seront coordonnées les efforts de rénovation énergétique, notamment via les dispositifs comme MaPrimeRénov’ ?

. Quelle place pour la densification urbaine, la mixité ou l’équilibre territorial ?

. Comment le ministére entend-il simplifier les processus administratifs (permis de construire, normes) en tension ?

Jeanbrun hérite d’un portefeuille délicat, dans un contexte de crise du logement et de rigidités structurelles.

 

Réactions & anticipations

Le passage de témoin n’est pas sans controverse. Certains observateurs soulignent qu’Éric Woerth, qui assurait le ministère du logement de façon intérimaire, laisse une charge lourde. D’autres saluent l’arrivée d’un homme jeune et techniquement aguerri, capable de porter une vision renouvelée pour le logement. La composition du gouvernement confirme la volonté de Lecornu de donner une place accrue aux Républicains, malgré les tensions internes.

 

 


 

Diffusez votre article juste ici

Contactez l'équipe Flash Immo au 03 89 55 69 02

 

Après une panne massive et une semaine de bug, la plateforme MaPrimeRénov’ est à nouveau opérationnelle depuis le 7 octobre 2025. Cependant, la réouverture s’accompagne d’un lot de mauvaises nouvelles : des milliers de dossiers seront instruits en 2026, faute de budget disponible cette année. Pour les professionnels de la rénovation et de l’immobilier, cet aléa administratif compromet des projets, teste la patience des ménages… et oblige à repenser la planification des interventions.

 

Une réouverture sous pression, un trafic multiplié

 

Après plus d'une semaine d'arrêt complet, le portail monprojet.anah.gouv.fr est enfin de retour. Mais la reprise a tourné à la surcharge : 150 000 connexions enregistrées en deux heures, contre une moyenne de 15 000 habituellement. Résultat : l’expérience utilisateur s’est à nouveau dégradée, entre ralentissements, bugs d’accès et délais de dépôt rallongés.Un effet domino : des dossiers repoussés à 2026

« On s’attendait à une reprise progressive, mais pas à un tel engorgement. Nos équipes ont dû repousser plusieurs rendez-vous techniques »,  déclare Camille Thomas, présidente du réseau Rénomar.

 

Une réalité budgétaire : 2025 est déjà plein

Le bug informatique a mis en lumière un point beaucoup plus structurel : le budget alloué pour MaPrimeRénov’ 2025 est déjà consommé. L’Agence nationale de l’habitat (Anah) avait prévu de financer environ 62 000 rénovations performantes. Or, plus de 71 800 dossiers ont été validés, et près de 30 000 supplémentaires sont en attente de financement.

Ces projets seront bel et bien instruits… mais reportés sur l’enveloppe 2026. Cela pose de nombreuses questions sur les délais de réalisation des travaux, les devis déjà signés, et les conséquences pour les artisans et entreprises du bâtiment.

 

Des répercussions pour les professionnels

Pour les artisans, c’est un casse-tête : faut-il engager les chantiers sans avoir l’assurance d’un financement immédiat ? Et pour les agents immobiliers, la rénovation devient à nouveau une variable incertaine dans les compromis et les délais de vente. Les logements classés F ou G risquent de rester plus longtemps sur le marché si les acheteurs ne peuvent pas budgéter sereinement leurs travaux.

« Le problème, c’est que les aides sont là, mais pas au bon moment. Cela fige des projets, cela décale des ventes, cela ralentit des locations »,  explique Laurent Nataf, président de Homélior.

 

Des règles plus strictes et un ciblage renforcé

Autre information importante : les nouvelles conditions d’éligibilité sont plus restrictives. Désormais, seuls les bouquets de travaux visant un saut énergétique significatif seront aidés. Les rénovations “par geste unique” (isoler les combles, changer une chaudière seule…) sont de plus en plus exclues du dispositif.

Cette orientation, bien qu’écologique, complique l’accès pour les ménages modestes et les petits propriétaires bailleurs, qui peinent à financer des rénovations globales coûteuses.

 

Une incertitude persistante pour 2026

Le budget 2026 de MaPrimeRénov’, voté dans le cadre du projet de loi de finances, devrait permettre de reprendre les dossiers gelés… mais il faudra répartir les fonds entre anciens et nouveaux projets. Si la demande reste aussi forte, de nouveaux délais d’attente sont à craindre, notamment au 1er trimestre 2026.

Côté entreprises, certains réseaux de rénovation appellent à la création d’un système plus lisible et prévisible, à l’image des Certificats d’Économie d’Énergie (CEE), avec une visibilité pluriannuelle.

 

 


 

Diffusez votre article juste ici

Contactez l'équipe Flash Immo au 03 89 55 69 02

 

À un mois du salon RENT 2025, l’effervescence monte parmi les professionnels de l’immobilier. Les 5 et 6 novembre prochains, Paris Expo Porte de Versailles accueillera deux jours d’innovation, d’affaires et d’inspiration, où l’intelligence artificielle et l’humain seront au cœur des débats. Le salon promet d’aller au-delà des gadgets technologiques pour poser les fondations du métier immobilier de demain.

 

L’IA n’est plus le futur, elle est le présent

« L’an dernier, on voyait l’intelligence artificielle arriver à grande vitesse. Cette année, elle est partout ! », Stéphane Scarella, directeur du salon RENT

 

Sous la baseline évocatrice “IA, meilleure amie ou meilleure ennemie ?”, le salon invite les acteurs du secteur à intégrer l’IA dans tous les secteurs : transaction, gestion locative, marketing, CRM, relation client… L’idée : faire de la technologie un allié — mais sans remplacer l’expertise humaine.

 

L’humain dans la boucle : innovation avec sens

Malgré l’omniprésence technologique, RENT 2025 s’attache à replacer l’humain au cœur de l’équation. Le Gala de Solidarité de la Proptech, relancé cette année, symbolise cette ambition de faire converger innovation et valeurs humaines. 

L’enjeu est clair : la technologie pour servir la relation, et non la remplacer.

 

Promoteurs, redynamisation & impulsions nouvelles

Pour cette édition, les promoteurs reviennent sur le devant de la scène, porteurs d’innovations dépassant le simple bâtiment technologique. « Ils reviennent aujourd’hui prêts à présenter des innovations qui dépassent la seule technologie », explique Scarella. En parallèle, l’espace HR Connect fait son apparition : un hub dédié au recrutement, aux outils RH, au matching de talents et à l’emploi dans l’immobilier. C’est aussi une réponse directe aux besoins d’équipes renforcées dans un secteur en pleine mutation.

 

De Paris à l’international : RENT 2025 en expansion

RENT ne se cantonne plus à la capitale : après des éditions déjà organisées à Madrid et Lausanne, le salon renforce sa dimension internationale. À Paris, ce sont 12 000 visiteurs et plus de 400 exposants attendus. « Nos exposants repartent avec le carnet de commandes rempli, des outils concrets et une énergie renouvelée », indique le directeur.

 

Ce cosmopolitisme permet aux participants d’élargir leurs perspectives et de capter les technologies ou pratiques émergentes hors de leurs frontières.

 

 


 

Diffusez votre article juste ici

Contactez l'équipe Flash Immo au 03 89 55 69 02

Un décret passé inaperçu… mais décisif

Publié au Journal officiel le 21 août 2025, le décret n° 2025-831 modifie en profondeur le Registre national d’immatriculation des copropriétés (RNIC). Ce texte, pris en application des articles L. 711-2 et L. 711-3 du Code de la construction, complète les obligations de déclaration déjà existantes pour les syndics et copropriétés.
Objectif : rendre le parc immobilier collectif plus transparent et mieux suivi, notamment dans la perspective de la rénovation énergétique.

 

Ce que le décret impose

Désormais, chaque copropriété devra renseigner des rubriques plus détaillées, parmi lesquelles :

. La description technique du bâti (nombre de bâtiments, chauffage, ventilation, DPE collectif, etc.) ;

. L'état du plan pluriannuel de travaux (PPT) ;

. Les informations financières et juridiques (fonds de travaux, procédures, nature du syndic).

Ces données devront être tenues à jour et cohérentes avec les décisions d’assemblée générale et les diagnostics techniques.

 

Ce que cela change pour les agences immobilières

Même si les syndics sont en première ligne, les agences et mandataires sont directement concernées.

1. Plus de vérifications avant la vente

Les agents devront croiser les informations du RNIC avec celles du syndic avant de prendre un mandat ou de signer un compromis.
Une erreur ou un oubli dans le registre (travaux, litige, procédure) pourrait désormais engager leur responsabilité pour défaut d’information.

2. Clauses et mandats à adapter

Les modèles de mandat devront préciser la responsabilité du vendeur concernant la sincérité des données inscrites au registre, ainsi que les délais de mise à jour éventuelle.

3. Un nouvel outil d’aide à l’évaluation

Le RNIC devient une source d’informations stratégique : les agents pourront s’en servir pour ajuster les prix selon l’état du bâti, les travaux à venir ou la gestion de la copropriété.

4. Une opportunité pour se différencier

Les agences qui sauront exploiter le registre pourront se présenter comme expertes de la conformité et de la transparence, un argument de confiance fort pour les acheteurs et vendeurs.

 

Les risques à anticiper

Ce renforcement du RNIC n’est pas sans contraintes :

  • charge administrative accrue pour la collecte et la vérification des données ;

  • risque d’erreurs si les copropriétés ne mettent pas à jour leur dossier ;

  • disparités entre syndics professionnels et bénévoles, parfois mal informés.

Pour éviter les litiges, les agences doivent intégrer dès maintenant un processus interne de contrôle des données copropriétaires et former leurs équipes à la lecture du registre.

 

 

En conclusion

Le décret n° 2025-831 marque une nouvelle étape vers une immobilier plus transparent et plus encadré.
Pour les agences immobilières, il s’agit moins d’une contrainte que d’une opportunité : celle d’affirmer un rôle de tiers de confiance dans un marché où la conformité et la fiabilité deviennent des critères essentiels.

 

 

 


 

Diffusez votre article juste ici

Contactez l'équipe Flash Immo au 03 89 55 69 02

 

En 2025, le CRM (Customer Relationship Management) est devenu un outil central pour les agences immobilières. Mais face à la multiplication des offres, comment choisir la solution la plus adaptée ? Le bon CRM doit avant tout répondre aux besoins spécifiques de l’agence, tout en offrant de la flexibilité pour accompagner son développement.

 

1. Identifier ses besoins réels

Toutes les agences n’ont pas les mêmes attentes. Un indépendant cherchera avant tout un outil simple pour gérer ses mandats et ses contacts, tandis qu’un réseau multi-sites aura besoin de fonctionnalités avancées pour collaborer à distance et suivre la performance de ses équipes. Avant de comparer les logiciels, il est donc essentiel de définir clairement ses priorités : suivi client, prospection, reporting, automatisation, etc.

 

2. Vérifier la simplicité d’utilisation

Un CRM n’a de valeur que s’il est utilisé. L’interface doit être intuitive, rapide à prendre en main et adaptée aux profils variés des utilisateurs : négociateurs, assistants administratifs, managers. Un logiciel trop complexe risque de décourager les équipes et de rester sous-exploité.

 

3. Miser sur la mobilité

Le travail en agence ne se limite plus au bureau. En 2025, les agents passent une grande partie de leur temps en déplacement. Le CRM choisi doit donc être pleinement utilisable sur smartphone et tablette, avec une synchronisation en temps réel des données.

 

4. Évaluer la richesse fonctionnelle

Un bon CRM ne se limite pas au suivi des prospects : il doit accompagner l’ensemble du cycle immobilier, de la pige à la signature. Parmi les fonctionnalités clés à rechercher :

. Gestion centralisée des contacts, clients et mandats

. Multi-diffusion des annonces sur les portails immobiliers

. Automatisation des tâches et rappels

. Génération de documents et contrats conformes

. Signature électronique intégrée

. Tableaux de bord et reporting détaillé

. Intégration d’IA pour assister les agents

 

5. Penser à l’évolutivité et à l’intégration

Le logiciel choisi doit pouvoir évoluer avec l’agence. Un bon CRM doit s’intégrer facilement avec d’autres outils (portails, site internet, messagerie, outils marketing) et proposer des mises à jour régulières pour rester conforme aux évolutions légales et technologiques.

 

Une solution qui réunit toutes les fonctionnalités clés

Parmi les solutions disponibles sur le marché français, REALTY illustre cette nouvelle génération de CRM immobilier. Conçu pour répondre aux besoins des agences indépendantes comme des réseaux, il centralise l’ensemble des outils nécessaires dans une seule interface intuitive.

 

REALTY intègre notamment :

. Un CRM complet pour contacts, prospects et mandats

. Une pige immobilière intégrée pour capter de nouveaux leads

. La multi-diffusion des annonces sur les principaux portails

. La génération automatique de contrats et documents juridiques

. Une signature électronique sécurisée et conforme

. Un site web d’agence inclus et personnalisable

. Des tableaux de bord détaillés pour piloter l’activité

. Des automatisations et outils d’IA pour gagner du temps

 

En combinant ces fonctionnalités, REALTY offre aux agences un environnement complet et évolutif, parfaitement adapté aux enjeux de 2025.

 

 


 

Découvrez l'application sur www.realty.fr
Fixez votre démonstration ici

 

Dans un secteur où la concurrence s’intensifie et où les clients attendent toujours plus de réactivité, les agences immobilières doivent repenser leur organisation. En 2025, le CRM s’impose comme un allié stratégique : il centralise les données, automatise les tâches répétitives et facilite le suivi des mandats comme des prospects. Plus qu’un outil technique, il devient un véritable levier de performance pour les professionnels de l’immobilier.

 

Un suivi client plus efficace

Le CRM centralise toutes les interactions avec les prospects et clients. Fini les carnets de notes éparpillés ou les fichiers Excel interminables : chaque contact, chaque mandat et chaque échange est enregistré dans une seule interface. Cela permet à l’agent d’assurer un suivi personnalisé, d’éviter les oublis et d’augmenter la satisfaction client.

 

Un gain de temps considérable

En 2025, les agences qui réussissent sont celles qui optimisent leur temps. Grâce à l’automatisation (relances, rappels, diffusion d’annonces), le CRM permet de se libérer des tâches chronophages. Les négociateurs peuvent ainsi se concentrer sur ce qui compte vraiment : la relation humaine et la signature de nouveaux mandats.

 

Une meilleure vision stratégique

Avec ses tableaux de bord et ses statistiques, un CRM offre une vue d’ensemble sur l’activité de l’agence : nombre de prospects entrants, mandats en cours, taux de transformation, performances des commerciaux. Ces données facilitent la prise de décision et permettent d’ajuster les actions commerciales en temps réel.

 

Une collaboration renforcée

Dans les réseaux multi-sites comme dans les petites agences, le CRM fluidifie le travail en équipe. Chaque collaborateur accède aux mêmes informations en temps réel, ce qui évite les doublons et les malentendus. Résultat : une meilleure coordination et une efficacité accrue.

 

Un outil pour gagner du temps au quotidien

Les agents immobiliers jonglent entre prospection, visites, rédaction de contrats et suivi des clients. Un CRM permet d’automatiser une grande partie de ces tâches répétitives afin de libérer du temps pour ce qui compte le plus : la relation client.

 

Un CRM immobilier adapté aux enjeux de 2025

Les agences immobilières ont aujourd’hui besoin d’outils qui centralisent leurs missions et fluidifient leur organisation. Un CRM moderne ne se limite plus au suivi des prospects : il doit accompagner chaque étape, de la prise de mandat à la signature finale.

À titre d’exemple, REALTY intègre :

. Un CRM complet pour suivre contacts, clients et mandats

. La multi-diffusion des annonces sur les portails immobiliers

. La génération automatisée de contrats et documents

. Une signature électronique sécurisée et conforme

. Des tableaux de bord clairs pour piloter l’activité

. Un site web d’agence inclus, prêt à l’emploi

. Des centaines d’automatisations pour simplifier les tâches répétitives

. Un accès 100 % mobile pour gérer son agence depuis smartphone ou tablette

 

 

 


 

Découvrez l'application sur www.realty.fr
Fixez votre démonstration ici