Melvin MASSEAUX

Melvin MASSEAUX

Le 22 mai 2025, lors de l'assemblée générale annuelle de Nexity, Véronique Bédague a été reconduite pour un mandat de quatre ans en tant que présidente-directrice générale du groupe immobilier. Cette décision intervient dans un contexte marqué par une crise prolongée dans le secteur de l'immobilier neuf, affectant l'ensemble du marché français.

 

Un vote d'approbation mitigé

Le renouvellement du mandat de Mme Bédague a été approuvé à 87,92 % par les actionnaires, un taux inférieur aux 95 % généralement observés pour les autres résolutions soumises au vote. Cette approbation en demi-teinte reflète les préoccupations des actionnaires face aux performances récentes de Nexity, notamment une baisse de plus de 20 % du cours de Bourse en 2024 et une division par 4,5 depuis début 2022.

 

Une stratégie de transformation en cours

Depuis sa nomination en 2023, Véronique Bédague a initié une transformation profonde de Nexity, visant à repositionner le groupe en tant qu'opérateur urbain, territorial et multiproduits. Cette stratégie comprend la cession de certaines activités, comme la branche de services aux particuliers vendue à Bridgepoint, et des mesures de réduction des coûts, incluant un plan de départs volontaires touchant 120 postes au sein de la filiale Édouard Denis.

 

Perspectives et engagements

Malgré les défis, Mme Bédague a exprimé son engagement total à poursuivre le redressement de Nexity et à préparer le groupe à une reprise du marché. Elle a souligné l'importance de cette transformation pour répondre aux enjeux actuels du secteur immobilier et aux attentes des actionnaires.

En conclusion, la reconduction de Véronique Bédague à la tête de Nexity symbolise la volonté du groupe de maintenir le cap de sa transformation stratégique, tout en naviguant dans un environnement économique incertain.

 


 

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Face à la tension sur le marché locatif, la loi Le Meur, entrée en vigueur début 2025, vise à limiter les excès de la location meublée de courte durée. Nouvelles obligations, sanctions renforcées, impact sur les investisseurs : ce que les professionnels doivent anticiper.

 

Un encadrement plus strict pour les locations type Airbnb

Depuis plusieurs années, les locations de courte durée explosent dans les grandes villes touristiques et les centres-villes. Résultat : une raréfaction de l’offre locative classique, notamment pour les ménages modestes et les étudiants.
La loi Le Meur, votée fin 2024 et entrée en vigueur en janvier 2025, vise à rééquilibrer le marché en limitant les dérives des plateformes de type Airbnb, Abritel ou Booking.

Elle impose désormais des règles strictes pour les propriétaires bailleurs, notamment dans les zones tendues :

. Déclaration obligatoire de changement d’usage, y compris pour les résidences secondaires mises en location courte durée ;

. Autorisations préalables à renouveler tous les 3 ans dans certaines communes ;

. Plafond de nuitées renforcé dans les villes ayant signé une convention avec l’État (souvent 90 à 120 jours par an maximum).

 

Des sanctions alourdies pour les contrevenants

Pour renforcer l’efficacité de la régulation, la loi Le Meur double les sanctions en cas de non-respect des règles :

. L’amende civile passe de 50 000 € à 100 000 € en cas de changement d’usage illicite ;

. Les communes peuvent désormais procéder à la saisie des revenus locatifs perçus illégalement ;

. Une nouvelle amende forfaitaire de 5 000 € est prévue pour les bailleurs qui ne se conforment pas à l’obligation d’information sur les plateformes.

« Il ne s’agit pas d’interdire la location courte durée, mais de *l’encadrer pour ne pas étouffer le marché locatif classique. » — Christine Le Meur, députée (source : ADIL75)

 

Un impact à prévoir pour les investisseurs

Les investisseurs spécialisés dans la location saisonnière devront adapter leur stratégie. Si certaines zones (stations balnéaires, zones rurales) restent relativement libres, les grandes villes appliquent désormais un contrôle renforcé.

Pour les professionnels de l’immobilier :

. Il est indispensable de connaître le régime local applicable (RLPD, autorisation, taxe de séjour…) ;

. L’accompagnement des clients bailleurs doit inclure une veille réglementaire actualisée ;

. En zone tendue, mieux vaut proposer des solutions alternatives, comme la location meublée longue durée ou la colocation.

 

Une opportunité pour rééquilibrer l’offre locative

La loi Le Meur s’inscrit dans une volonté plus large du gouvernement de réconcilier production de logements, maintien des populations en centre-ville, et régulation du marché locatif.

Pour les professionnels, cette régulation peut aussi être vue comme une opportunité :

. Recentrer l’offre sur des biens plus durables et stables ;

. Redonner de la valeur au conseil juridique et réglementaire ;

. Favoriser des parcours locatifs mieux accompagnés.

 

 


 

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Le marché immobilier français entre dans une nouvelle phase. Si les prix dans l’ancien amorcent une stabilisation après deux années de baisse, ceux du neuf, eux, restent durablement élevés. Analyse d’une double dynamique qui redessine les opportunités pour les professionnels.

 

L’ancien : un marché qui s’équilibre (enfin)

Après une baisse moyenne de -5 à -8 % selon les régions depuis 2023, les prix des logements anciens montrent enfin des signes de stabilisation au printemps 2025. D’après les données des notaires de France, les transactions reprennent doucement, portées par :

. Une accalmie sur les taux de crédit (autour de 3,1 % sur 20 ans) ;

. Des ajustements de prix réalistes chez les vendeurs ;

. Le retour progressif des primo-accédants dans les zones périphériques.

Dans plusieurs grandes villes comme Lyon, Nantes ou Strasbourg, les prix n’augmentent plus mais ne baissent plus non plus, indiquant un palier. Pour les pros, c’est un signal fort : la phase de tension maximale est passée, et l'activité de transaction peut redémarrer.

 

Le neuf : prix sous tension, offres limitées

Côté immobilier neuf, la situation est bien différente. Les prix restent à un niveau historiquement élevé, autour de 4 700 €/m² en moyenne, selon la Fédération des promoteurs immobiliers (FPI). Cette rigidité des prix s’explique par plusieurs facteurs :

. La hausse des coûts de construction (matériaux, main-d’œuvre, normes environnementales) ;

. Le recul du nombre de permis de construire (-24 % sur un an) ;

. Une offre structurellement faible, surtout en zones tendues.

Résultat : même si la demande baisse, les promoteurs ne baissent pas leurs prix, préférant retarder ou annuler les lancements commerciaux. Ce phénomène crée une tension persistante, notamment dans les villes attractives comme Bordeaux ou Montpellier, où l’offre neuve se raréfie.

 

Un écart ancien/neuf qui redéfinit les arbitrages

Cette dichotomie crée un nouvel arbitrage pour les acquéreurs : le différentiel de prix entre l’ancien et le neuf atteint parfois 30 à 40 % dans certaines agglomérations. Cela pousse :

. Les investisseurs à se repositionner sur l'ancien, plus rentable à l'achat ;

. Les primo-accédants à reconsidérer l'achat neuf, malgré les aides type PTZ 2025 élargi ;

. Les agences à renforcer leur argumentaire conseil, en exposant clairement les avantages/inconvénients de chaque type de bien.

« Nous voyons clairement un recentrage de la demande sur l’ancien rénové, avec extérieur ou bon DPE. Le neuf devient un marché de niche pour ménages aisés ou ciblés. » – Responsable d’agence, Rennes

 

Conclusion : vers une recomposition du marché

En mai 2025, le marché immobilier français vit une recomposition discrète mais profonde. L’ancien redevient une valeur refuge et redevient actif. Le neuf, en tension, attend des signaux réglementaires ou économiques plus forts pour rebondir.

Pour les agences, mandataires et promoteurs, la clé est simple : rester agiles, mettre à jour leurs argumentaires, et aider les acquéreurs à faire les bons arbitrages… car les équilibres changent.



 

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Le réseau de mandataires immobiliers IAD France poursuit son développement dynamique en 2025, consolidant sa position de leader sur le marché français tout en accélérant son expansion à l'international.

 

Une croissance soutenue en France

Depuis sa création en 2008, IAD France a connu une croissance exponentielle, devenant le premier réseau de mandataires immobiliers en France. En 2021, le réseau comptait plus de 15 000 conseillers indépendants, un chiffre en constante augmentation grâce à un modèle économique attractif basé sur le marketing de réseau.

Ce modèle permet aux mandataires de parrainer d'autres conseillers, générant ainsi des commissions sur les ventes réalisées par leur réseau. Cette structure favorise une croissance organique rapide et une forte implication des conseillers dans le développement du réseau.


Une stratégie d'expansion internationale

Fort de son succès en France, IAD a entamé une expansion internationale ambitieuse. Le réseau est désormais présent dans plusieurs pays européens, notamment en Espagne, en Italie, en Allemagne et au Portugal. Cette stratégie vise à reproduire le modèle français à l'étranger, en adaptant les méthodes et outils aux spécificités locales.

L'objectif d'IAD est de devenir un acteur majeur de l'immobilier à l'échelle européenne, en s'appuyant sur son expertise en matière de formation, de digitalisation et de développement de réseau.


Des outils digitaux performants et une formation continue

IAD met à disposition de ses mandataires une plateforme digitale complète, incluant des outils de gestion de la relation client, de marketing, de formation et de support administratif. Cette digitalisation permet aux conseillers de travailler de manière autonome et efficace, tout en bénéficiant d'un accompagnement personnalisé.

La formation est également au cœur du modèle IAD, avec des programmes adaptés aux différents niveaux d'expérience des conseillers. Cette approche garantit un haut niveau de professionnalisme et de qualité de service pour les clients.


Perspectives pour les professionnels de l'immobilier

Pour les professionnels de l'immobilier, le modèle IAD offre une alternative intéressante aux structures traditionnelles, en permettant une plus grande autonomie et une rémunération attractive. L'expansion internationale du réseau ouvre également des opportunités pour ceux qui souhaitent développer leur activité au-delà des frontières françaises.

En 2025, IAD continue de se positionner comme un acteur innovant et dynamique du secteur immobilier, offrant aux professionnels les moyens de réussir dans un environnement en constante évolution.

 


 

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Dans un marché sous pression, Efficity propose une alternative inattendue aux agences traditionnelles : le modèle hybride "ByEfficity". Une solution pensée pour celles et ceux qui veulent rester indépendants… tout en allégeant leurs charges et en bénéficiant des outils d’un réseau de mandataires.

 

Une réponse concrète à la pression économique des agences

Avec la hausse des coûts, la baisse des volumes de transaction et la montée en puissance des réseaux de mandataires, les agences traditionnelles font face à un dilemme stratégique : comment maintenir leur rentabilité sans sacrifier leur ancrage local ni licencier ?

C’est ce constat qui a poussé Efficity à développer ByEfficity, un modèle qui permet à des agences immobilières physiques de s’appuyer sur les services du réseau tout en gardant leur marque, leur vitrine et leur équipe.

 

Un modèle “agence + réseau” qui combine le meilleur des deux mondes

Le fonctionnement est simple : l’agence rejoint Efficity en devenant une agence “ByEfficity”, et peut ainsi accéder à l’ensemble des outils et services du réseau, notamment :

. L'accès à l'infrastructure technique (CRM)

. L'outil d'estimation en ligne,

. Les supports marketing digitaux,

. La formation continue,

. L'expertise du pôle juridique, administratif,

 

« Ce que nous proposons, c’est une forme de “coopérative moderne” : chacun reste chez soi, mais bénéficie de toute l’architecture d’un réseau national. » – Christophe du Pontavice, Président d’Efficity

L’économie est significative : jusqu’à 70 % de charges fixes en moins, selon les cas, notamment en externalisant certains postes de structure.

 

Une souplesse qui attire de plus en plus d’agences

Contrairement à une franchise classique ou à une transformation totale en réseau de mandataires, ByEfficity n’impose ni changement de statut, ni effacement d’identité.

L’agence garde son nom et ajoute simplement la mention “ByEfficity” à son enseigne. Elle conserve sa relation de proximité avec ses clients, tout en accédant à une infrastructure digne des grands groupes.

Le modèle attire aussi bien des agences indépendantes que des anciennes franchises souhaitant gagner en liberté économique. En mai 2025, une trentaine d’agences ont déjà rejoint la formule, et le rythme d’adhésion s’accélère.

 

Un positionnement stratégique dans un marché en recomposition

Avec une pression toujours plus forte sur les marges, le besoin d’automatisation, et la transformation numérique du secteur, les modèles hybrides gagnent du terrain.

ByEfficity s’inscrit dans une tendance de fond : celle des agents et agences qui veulent moins de charges, plus d’agilité, et des outils puissants, sans renier leur identité ni leur zone de chalandise.

Ce n’est peut-être pas la fin des agences traditionnelles, mais une évolution vers des structures plus légères, interconnectées et centrées sur l’efficacité commerciale.

 

 


 

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À l’heure où la digitalisation transforme les pratiques professionnelles, l’état des lieux papier persiste dans certaines agences. Pourtant, cette méthode traditionnelle comporte des risques non négligeables pour les professionnels de l’immobilier. Décryptage des dangers associés et des solutions pour sécuriser vos processus.

 

Les limites du format papier

L’état des lieux papier, bien que familier, présente plusieurs inconvénients majeurs :

. Erreurs de saisie : Les écritures manuscrites peuvent être illisibles ou sujettes à des erreurs, rendant le document difficilement exploitable en cas de litige.

. Perte de documents : Le risque de perte ou de détérioration des états des lieux papier est réel, surtout lors de déménagements ou de changements de personnel.

. Absence de photos : Intégrer des photos dans un état des lieux papier est complexe, limitant la précision des constats et augmentant les risques de contestation.

. Archivage complexe : Le stockage physique des documents nécessite de l’espace et une organisation rigoureuse, avec des risques de non-conformité au RGPD.

 

Conséquences juridiques et opérationnelles

Ces limitations peuvent entraîner des conséquences sérieuses :

. Litiges accrus : Un état des lieux incomplet ou imprécis peut être contesté, mettant en péril la restitution du dépôt de garantie et la relation client.

. Perte de temps : La gestion manuelle des documents ralentit les processus, impactant la productivité des équipes.

. Non-conformité réglementaire : Le non-respect des obligations légales en matière de conservation et de protection des données peut entraîner des sanctions.

 

Startloc : la solution numérique pour des états des lieux sécurisés

Face à ces enjeux, l’application Startloc offre une alternative moderne et fiable pour la réalisation des états des lieux :

États des lieux illimités : Réalisez autant d’états des lieux que nécessaire, sans surcoût.

Photos illimitées : Intégrez des photos directement dans le document, avec la possibilité d’annoter ou de dessiner sur les images pour plus de précision.

Signature électronique sécurisée : Faites signer les documents sur tablette ou mobile, avec envoi automatique du PDF sécurisé aux parties prenantes.

Comparatif entrée/sortie : Générez automatiquement un tableau comparatif conforme à la loi ALUR, facilitant l’identification des dégradations.

Chiffrage des travaux : Estimez et chiffrez les réparations nécessaires directement depuis l’application.

Sauvegarde et synchronisation : Toutes les données sont sauvegardées sur des serveurs sécurisés et synchronisées sur vos appareils.

Avec plus de 11 000 utilisateurs et près de 800 000 états des lieux réalisés, Startloc s’impose comme la référence des professionnels de l’immobilier.

 

Déjà adopté par plus de 11 000 pros de l’immobilier en France

Agents immobiliers, administrateurs de biens, gestionnaires locatifs… ils sont déjà plus de 11 000 professionnels à avoir choisi Startloc pour simplifier et sécuriser leurs états des lieux.
Avec près de 800 000 constats réalisés, l’application fait aujourd’hui référence dans le secteur. Pourquoi ? Parce qu’elle est fiable, rapide, intuitive, et pensée pour répondre aux vrais besoins du terrain.
Des indépendants aux grands réseaux, tous disent la même chose : ils ne reviendraient pas en arrière.

 


 

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Une erreur dans un contrat peut coûter cher. Pour les professionnels de l’immobilier, la solidité juridique d’un mandat, d’un compromis ou d’un bail repose sur des clauses bien rédigées et parfaitement adaptées. Voici les éléments clés à ne jamais oublier pour sécuriser vos transactions… et un outil qui peut tout changer dans votre quotidien.

 

Les clauses essentielles qui protègent

Chaque type de contrat (mandat de vente, compromis, bail…) contient des clauses fondamentales qui encadrent les droits et obligations des parties. Pourtant, certaines sont encore trop souvent négligées ou mal formulées. En voici quelques-unes qu’un professionnel ne peut pas se permettre d’oublier :

. La clause d’exclusivité dans un mandat de vente : sans elle, impossible de garantir une commission en cas de vente par un autre canal.

. La clause suspensive d’obtention de prêt dans un compromis : elle protège l’acheteur et encadre les délais, mais mal rédigée, elle peut aussi retarder la transaction.

. Les clauses d’état du bien et de diagnostics : notamment dans les baux ou les compromis, ces éléments conditionnent la validité du contrat.

. La clause de reconduction tacite : à manier avec prudence, car elle peut entraîner des litiges si elle est implicite ou absente.

Un oubli ou une approximation dans l’une de ces clauses peut entraîner l’annulation d’une vente, un contentieux ou un défaut de paiement de la commission. Et dans un marché tendu, personne ne peut se le permettre.

 

Adapter chaque clause à chaque situation

Le métier d’agent ou de mandataire, c’est aussi savoir contextualiser chaque clause. Un bail pour un logement meublé ne contiendra pas les mêmes mentions qu’un bail nu. Un mandat simple n’a pas la même portée qu’un mandat exclusif. Pourtant, dans la pression du quotidien, il est facile d’utiliser un ancien modèle ou de faire un copier-coller.

C’est ici que la rigueur contractuelle devient un avantage concurrentiel. Le professionnel qui sécurise ses écrits est celui que les clients rappellent.

 

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L'application Sinimo est conçue pour aider les professionnels de l’immobilier à gérer tous leurs documents juridiques sans stress ni risque d’erreur. En quelques clics, vous générez :

. Mandats (simples, exclusifs, semi-exclusifs)

. Compromis de vente

. Baux (meublés, nus, saisonniers)

. Courriers juridiques et documents SRU

Chaque document est juridiquement à jour, adaptable à chaque situation, et signable électroniquement.

 

Un gain de temps et de sérénité pour les pros exigeants

Fini les modèles Word désorganisés ou les doutes sur la légalité d’une clause. Avec Sinimo :

. Vos contrats sont centralisés dans un espace sécurisé

. Vous travaillez sur PC, mobile ou tablette

. Vos collaborateurs peuvent accéder aux bons modèles à tout moment

. Vous gagnez du temps à chaque nouvelle transaction, sans rogner sur la sécurité

Plus de 3 500 agences et mandataires utilisent déjà Sinimo pour travailler plus vite, plus proprement, et plus sereinement.

 


 

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En 2025, les professionnels de l'immobilier font face à une concurrence accrue et à des vendeurs de plus en plus sollicités. Dans ce contexte, décrocher un mandat devient un véritable défi. Découvrez les raisons de cette évolution et les stratégies à adopter pour rester compétitif.

 

Un marché en pleine mutation

Le marché immobilier connaît des transformations significatives. La baisse des taux d'intérêt et l'amélioration des conditions de financement ont relancé l'intérêt des acquéreurs, rendant le marché plus attractif. Cependant, cette dynamique s'accompagne d'une concurrence féroce entre les professionnels pour obtenir des mandats.

 

Des vendeurs mieux informés et plus exigeants

Les vendeurs d'aujourd'hui sont mieux informés grâce à l'accès facile aux données du marché et aux outils d'estimation en ligne. Cette connaissance accrue les rend plus exigeants et moins enclins à confier leur bien sans garanties solides. Ils recherchent des professionnels capables de leur offrir une réelle valeur ajoutée et une stratégie de vente efficace.

 

Les méthodes traditionnelles montrent leurs limites

Les techniques de prospection classiques, telles que le porte-à-porte ou les appels à froid, sont de moins en moins efficaces. Elles sont souvent perçues comme intrusives et ne répondent plus aux attentes des vendeurs modernes. Il est donc essentiel de repenser sa stratégie de prospection pour s'adapter à ces nouvelles réalités.

 

Marketing Immobilier : une solution efficace pour rentrer plus de mandats

Marketing Immobilier est une solution de prospection immobilière par SMS, conçue pour aider les professionnels à générer des mandats sans prospection intrusive. Voici ses principales fonctionnalités :

1. Envoi automatisé de SMS personnalisés

Le service envoie automatiquement des messages personnalisés aux propriétaires de biens immobiliers dans votre secteur, en votre nom. Ces messages sont conçus pour susciter l'intérêt et inciter les propriétaires à vous contacter directement.

2. Exclusivité territoriale

Marketing Immobilier offre une exclusivité par secteur géographique, garantissant qu'un seul professionnel utilise le service dans une zone donnée. Cela évite la concurrence directe et maximise l'efficacité de la prospection.

3. Rapports mensuels détaillés

Chaque mois, vous recevez un rapport complet sur les performances de vos campagnes : nombre de messages envoyés, taux de réponse, appels reçus, etc. Ces données vous aident à évaluer l'efficacité de votre prospection et à ajuster votre stratégie si nécessaire.

 

Ils nous font déjà confiance

Depuis plus de 10 ans, Marketing Immobilier accompagne les professionnels de l'immobilier dans leur prospection, avec une approche innovante et respectueuse des prospects. Plus de 3 500 clients ont déjà fait confiance à notre solution pour générer des mandats de manière efficace et discrète. Notre engagement : vous fournir un service fiable, transparent et conforme aux réglementations, pour que vous puissiez vous concentrer sur votre cœur de métier en toute sérénité.

 

 


 

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Plusieurs départements ont décidé d’augmenter les droits de mutation à titre onéreux (DMTO), communément appelés « frais de notaire ». Un changement discret, mais aux conséquences bien réelles pour les acheteurs, les vendeurs et les professionnels de l’immobilier.

 

Une hausse discrète, mais significative

Depuis le 1er avril 2025, certains départements ont relevé le taux des droits de mutation, qui représentent la plus grande partie des "frais de notaire" payés par l’acquéreur lors d’un achat immobilier.
Le taux maximum autorisé est passé de 4,5 % à 5 %, et plusieurs collectivités, dont le Rhône, la Seine-Saint-Denis ou encore le Var, ont choisi d’appliquer cette hausse.

Sur un bien à 250 000 €, cela représente environ 1 250 € supplémentaires à sortir pour l’acquéreur.

 

Un pouvoir d’achat encore plus affaibli

Dans un contexte où les taux de crédit restent relativement élevés (autour de 3,3 % sur 20 ans), cette hausse vient alourdir le coût total d’une acquisition, notamment pour les primo-accédants et les ménages modestes.
Conséquences directes :

. report ou abandon de certains projets, faute d’apport suffisant ;

. réduction du budget consacré au bien lui-même, poussant vers des surfaces plus petites ou des zones moins chères.

« À 5 000 € près, beaucoup de dossiers ne passent plus. Ces frais supplémentaires font parfois toute la différence. », – Responsable d’agence, Lyon

 

Des vendeurs contraints d’ajuster leur prix

Pour compenser cette charge accrue côté acheteur, certains vendeurs sont amenés à revoir leur prix à la baisse, surtout dans les zones où la demande est déjà tendue ou peu dynamique.
Cela crée une pression indirecte sur les prix du marché, notamment pour les biens de milieu de gamme.

 

Un impact variable selon les territoires

Tous les départements n’ont pas appliqué cette hausse. Dans les zones où elle est en vigueur, les acteurs locaux constatent une forme de “gel” des projets en attente de renégociation ou de financement complémentaire.

Dans les zones épargnées, cela peut créer un effet d’aubaine temporaire, renforçant l’attractivité de certaines communes limitrophes.

 

Le rôle des professionnels : expliquer, anticiper, rassurer

Les agents immobiliers doivent aujourd’hui intégrer cette nouvelle donne dans leur argumentaire :

. Aider les acheteurs à anticiper le coût total de leur projet ;

. Orienter vers des biens compatibles avec leur nouveau budget ;

. Informer les vendeurs de l’impact potentiel sur la négociation.

Les professionnels peuvent aussi collaborer plus étroitement avec les notaires et les courtiers, pour accompagner les clients dans l’optimisation de leur financement.

 

 


 

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Bonne nouvelle pour les acheteurs ! Après des mois de turbulences, les taux de crédit immobilier se stabilisent au printemps 2025. Une accalmie qui redonne du souffle au marché et pourrait inciter de nombreux emprunteurs à passer à l’action.

 

Un marché du crédit qui se calme après la tempête

Après une envolée brutale des taux en 2023 et 2024, provoquée par l’inflation et les politiques monétaires restrictives, les emprunteurs retrouvent enfin un peu d’oxygène.
Depuis plusieurs semaines, les taux moyens se stabilisent : autour de 3,15 % sur 10 ans, 3,35 % sur 20 ans et 3,45 % sur 25 ans (sources : monchasseurimmo, Pretto).

Cette pause dans la hausse permet à de nombreux candidats à l’achat de retrouver une visibilité sur leur capacité d’emprunt. Pour les professionnels de l’immobilier, c’est un signal encourageant : les projets reviennent sur la table.

 

Une fenêtre d’opportunité pour les acquéreurs

Dans un contexte où les prix de l'immobilier ancien se sont légèrement ajustés (-2,1 % sur un an selon les notaires), cette stabilité des taux crée une conjoncture favorable :

. Les ménages qui avaient mis leur projet en pause en 2024 peuvent revenir avec un plan de financement plus réaliste.

. Les primo-accédants, souvent les plus sensibles aux taux, reprennent confiance.

. Les renégociations de crédit redeviennent envisageables sur certaines durées longues

« La stabilisation des taux, même à un niveau relativement élevé, change la donne psychologique : on n’achète pas dans une spirale haussière, on achète dans un moment de visibilité. » – Analyste Crédit Habitat, avril 2025

 

Une demande encore prudente mais en progression

Les professionnels observent une reprise progressive des demandes de financement, notamment dans les grandes métropoles et les villes moyennes attractives.
Les acquéreurs restent attentifs, exigeants, et attendent des biens bien positionnés. Mais la peur du blocage se dissipe.

« On sent un frémissement clair sur les demandes de simulation de prêt. Les acheteurs testent, comparent, et surtout, ils reviennent en agence. » – Responsable de réseau national, mai 2025

 

Ce que doivent anticiper les pros de l’immobilier

Pour les agences et mandataires, ce retour à la stabilité doit être capitalisé dès maintenant :

. Mettez à jour vos outils de simulation avec les nouveaux taux en vigueur.

. Reprenez contact avec vos leads en pause : certains sont prêts à réactiver leur projet.

. Travaillez vos argumentaires autour de la valeur d’un achat maintenant, avant une éventuelle remontée future.

. Coopérez étroitement avec vos partenaires courtiers pour fluidifier les dossiers de financement.

 

 


 

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