Melvin MASSEAUX

Melvin MASSEAUX

Suite à la condamnation de l’animateur Stéphane Plaza pour violences conjugales, son réseau immobilier traverse une tempête sans précédent. Résultat : plus de 50 % des agences ont quitté la franchise en moins d’un an. Analyse d’un effondrement brutal et de ses conséquences pour la profession.

 

Une hémorragie sans précédent dans le réseau

En 2022, Stéphane Plaza Immobilier comptait fièrement plus de 670 agences franchisées sur tout le territoire français. En juillet 2025, ce nombre a fondu à 323 agences, soit une perte de plus de la moitié de son réseau. Une partie des franchisés (environ 88 agences) ont choisi de migrer vers une nouvelle bannière proposée par la maison mère : “Sixième Avenue”, créée dans l’urgence pour sauver les meubles.

Cette fuite massive est directement liée à la condamnation de Stéphane Plaza pour des faits de violences sur son ex-compagne. Le verdict, très médiatisé, a eu des conséquences immédiates sur la perception de la marque auprès du grand public, mais aussi auprès des banques et partenaires professionnels.

 

Un nom devenu un handicap commercial

L’image de Stéphane Plaza, autrefois associée à la bienveillance, la proximité et l’humour, est aujourd’hui synonyme de controverse. Des franchisés ont rapporté que des clients annulaient des rendez-vous “en raison du nom sur la vitrine”, que des vitrines ont été vandalisées à la peinture rouge, ou encore que des refus de prêts bancaires leur étaient opposés du fait de leur appartenance à la franchise.

En interne, c’est la désillusion. Certains agents évoquent la perte de dizaines de milliers d’euros de mandats à cause du discrédit jeté sur la marque. “J’ai perdu la moitié de mon chiffre d’affaires depuis février”, déclare un franchisé anonyme.

 

Un plan B nommé “Sixième Avenue”

Pour tenter de contenir la fuite des agences, la direction du réseau a lancé Sixième Avenue, une nouvelle enseigne immobilière, juridiquement distincte, mais gérée par les mêmes actionnaires que Plaza Immobilier (dont M6 détient 51 %). Ce rebranding rapide est destiné à permettre aux franchisés de tourner la page tout en conservant leur réseau d’appui, leurs outils internes et leur accompagnement commercial.

Ce choix s’apparente à une opération de sauvetage pour les franchisés qui refusent d’être assimilés à la polémique, tout en conservant un soutien logistique solide.

 

Quelles leçons pour les professionnels de l’immobilier ?

Cette affaire met en lumière plusieurs points cruciaux pour les agences immobilières :

. Une franchise est aussi forte que son image de marque. Quand celle-ci est ternie, même de manière indirecte, les conséquences peuvent être lourdes.

. L’indépendance peut parfois protéger. Certains professionnels soulignent l’intérêt de ne pas être trop liés à un visage public ou à une personnalité.

. La communication de crise est indispensable. Dans cette affaire, le manque de prise de parole officielle rapide a amplifié la crise.

. Les franchisés doivent exiger des garanties dans leurs contrats : pouvoir de sortie anticipée, flexibilité en cas de crise d’image, etc.

 

 

 

Quel avenir pour le réseau ?

Même si “Stéphane Plaza Immobilier” conserve encore une présence sur le marché, la perte de confiance est profonde. Les mois à venir seront décisifs pour la survie de l’enseigne. Sa capacité à rétablir son image, à accompagner ses franchisés et à regagner la confiance du public sera scrutée de près.

Pour les autres réseaux, cette affaire constitue un cas d’école sur l’importance de la gestion d’image, du choix des ambassadeurs et de la solidité des fondements contractuels entre franchiseurs et franchisés.




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SAFTI affiche une performance historique avec une croissance de +31 % au premier semestre 2025 : 100 M€ de chiffre d’affaires, 12 450 ventes et plus de 50 000 mandats signés. Un succès qui confirme le poids croissant du réseau sur le marché des mandataires.

 
Une progression sans équivalent

Au-delà du chiffre d’affaires, ce sont 12 450 actes de vente qui ont été signés durant le semestre — soit une progression nette comparée aux 9 480 transactions réalisées sur la même période en 2024. Le nombre de mandats a également connu un bel essor, avec +12 % (plus de 50 000 mandats passés).

 
Un modèle digital & humain qui fait la différence

La réussite de SAFTI s’appuie sur deux piliers solides :

. Un modèle sans agences physiques, soutenu par 5 800 conseillers indépendants, permet de réduire les coûts et d’afficher des commissions attractives.

. Une stratégie tech avancée, axée sur l’usage de l’IA (pour la rédaction des annonces, retouche de photos) et une plateforme digitale performante

En parallèle, le réseau affiche un taux de recommandation exceptionnel (93 %) et a réalisé 150 000 heures de formation en 2024, misant sur l’excellence de ses conseillers.

 

Un contexte marché favorable

SAFTI capitalise également sur un marché en reprise, dopé par :

. Une baisse des taux, désormais autour de 3,1 – 3,2 %, qui redonne aux primo-accédants 8 à 13 % de pouvoir d’achat

. Une légère modération des prix (-5 % en moyenne), qui aide à relancer les opérations

Perspectives : viser les 6 000 conseillers et 6 % de parts de marché

Fort de ses résultats, SAFTI se fixe des objectifs ambitieux :

. Atteindre les 6 000 mandataires d’ici fin 2025 (contre 5 800 actuellement)

. Passer de 3 % à 6 % de parts de marché sur le segment de l’intermédiation immobilière.

 


 

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À partir du 1ᵉʳ janvier 2026, une réforme du Diagnostic de Performance Énergétique (DPE) entrera en vigueur, modifiant profondément le calcul du coefficient d’énergie primaire de l’électricité. Entre opportunités et vigilance, découvrez ce que cela change pour les agents, diagnostiqueurs, notaires et gestionnaires.

 

Nouveau coefficient : une correction technique majeure

Le décret à venir réduit le coefficient d’énergie primaire de l’électricité de 2,3 à 1,9, afin d’ajuster l’indicateur au mix énergétique français, majoritairement nucléaire.Conséquence immédiate : environ 850 000 logements chauffés à l’électricité pourraient sortir des classes énergétiques F ou G.

Vente : un nouveau levier de valorisation

Cette réforme est une excellente nouvelle pour les vendeurs concernés : un DPE amélioré signifie moins d’étiquettes « passoire thermique », plus d’attractivité sur le marché et une valeur préservée. Mais attention : certaines mises en vente pourraient être reportées vers 2026, dans l’attente d’un meilleur classement.

 

Un DPE plus cohérent avec la réalité du marché

Depuis sa réforme de 2021, le DPE était critiqué pour sa sévérité envers les logements chauffés à l’électricité. La révision du coefficient permet enfin d’aligner l’étiquette énergétique sur la réalité des consommations, sans pénaliser les biens bien isolés mais électrifiés. C’est un signal positif envoyé aux propriétaires et aux futurs acheteurs.

Vers un nouveau regard sur les biens électriques

Cette évolution pourrait changer la perception du marché envers l’électricité, souvent jugée trop coûteuse et polluante. À l’heure où les systèmes de chauffage se modernisent (pompes à chaleur, radiateurs à inertie connectés…), la réforme du DPE réhabilite ce mode d’énergie et offre de nouvelles perspectives aux agents immobiliers pour valoriser ces biens.

 

Conséquences pour les pros de l’immobilier

. Diagnostic plus fiable : les résultats reflètent mieux la réalité énergétique.

. Tracasseries juridiques allégées : moins de passoires à justifier.

. Communication essentielle : informez vos clients, actualisez vos outils.

. Cadence ajustée : anticiper la reprise des mandats en 2026.




 

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Entre l’évolution constante de la législation, la pression administrative et les attentes de clients toujours plus exigeants, la rédaction de contrats immobiliers est devenue une étape aussi stratégique que risquée pour les agences. En 2025, impossible de se contenter d’un ancien modèle Word bricolé en interne.

Un contrat, plusieurs enjeux : juridiques, commerciaux et opérationnels

Rédiger un contrat immobilier (mandat, compromis, bail…) ne se résume pas à remplir des cases. C’est un acte juridique engageant, qui doit respecter une multitude de dispositions légales : loi ALUR, loi Climat, diagnostics, mentions obligatoires, clauses spécifiques selon le type de bien ou la situation des parties, etc.

Mais au-delà du droit, il y a aussi la réalité terrain : une clause imprécise ou oubliée peut fragiliser une vente ou déclencher un litige. Sans compter l’impact sur l’image de l’agence : un contrat approximatif peut entamer la confiance du client dès la première signature.

 

Les risques les plus fréquents (et leurs conséquences)

Voici quelques erreurs encore trop fréquentes dans les contrats immobiliers en agence :

. Des informations obsolètes ou inexactes (diagnostics, délais, conditions suspensives…)

. Des modèles non mis à jour avec les dernières obligations légales

. Des oublis de signatures ou de pièces annexes

. Des délais de production trop longs, entraînant des pertes de mandats

Chaque erreur peut coûter cher : perte de mandat, procédure judiciaire, responsabilité civile, réputation ternie… Un risque évitable, mais bien réel.

 

Quelles obligations en 2025 pour rester conforme ?

En 2025, les agences doivent notamment :

. Fournir tous les documents obligatoires dès la signature du mandat ou de la promesse (DPE, ERP, diagnostics, pièces d'identité…)

. Mentionner les éléments liés au DPE, notamment les passoires thermiques

. Respecter les mentions légales obligatoires liées à la loi Hoguet et à la loi Climat

. Assurer une conservation numérique sécurisée des documents signés

. Offrir une signature électronique conforme et traçable juridiquement

Et si vous passiez à une solution pensée pour votre métier ?

C’est ici qu’intervient Sinimo.
Pensé pour les agences immobilières, Sinimo vous permet de générer des contrats conformes, à jour, et personnalisables en quelques clics. Grâce à une interface simple, un remplissage intelligent et des modèles régulièrement mis à jour par des juristes, vous gagnez du temps tout en sécurisant vos process.

Avec Sinimo, vous pouvez :

. Générer automatiquement mandats, compromis, baux ou états des lieux

. Envoyer les documents en signature électronique sans sortir de l’interface

. Accéder à une bibliothèque de modèles juridiques actualisés

. Gérer plusieurs biens et clients en parallèle sans vous perdre dans les dossiers





 

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Pour beaucoup d’agents immobiliers, la prospection est un passage obligé… mais souvent relégué au second plan. Entre les visites, les suivis vendeurs, les négociations et les obligations administratives, trouver du temps (et de l’énergie) pour prospecter chaque jour relève du défi.

 

La prospection n’a pas besoin d’être quotidienne… mais elle doit être planifiée

La première erreur des agents est souvent de vouloir tout faire “quand ils ont le temps”. Le problème, c’est que ce temps libre est rare. Une prospection efficace ne repose pas sur une disponibilité permanente, mais sur une organisation intelligente : bloquer des créneaux fixes chaque semaine, répartir les cibles (vendeurs, bailleurs, anciens clients, etc.), et se fixer des objectifs atteignables (ex : 3 contacts qualifiés par jour).

 

Automatiser l’amont pour se concentrer sur la relation

La partie la plus chronophage de la prospection, ce n’est pas le contact humain, mais la recherche des bonnes opportunités. Aujourd’hui, il est possible d’automatiser cette étape grâce à des outils de pige performants qui repèrent, trient et qualifient les annonces de particuliers ou les changements sur les plateformes. Résultat : l’agent ne passe plus 1h à éplucher les sites, mais reçoit directement les bons leads à traiter.

 

Travailler la régularité, pas l’intensité

Ce n’est pas en faisant une “grosse session” de 4h tous les 15 jours que l’on crée un vrai pipeline de prospects. À l’inverse, 15 minutes bien utilisées chaque jour, avec les bons outils, suffisent à maintenir un rythme proactif. En gardant un œil quotidien sur son portefeuille de prospects et en planifiant des relances régulières, on évite les périodes creuses… et le stress de la fin de mois.

 

Pige Online : une prospection réactive pour agents occupés

C’est précisément pour répondre à ces enjeux que Pige Online a été conçu. Destiné exclusivement aux professionnels de l’immobilier, ce service vous permet de gagner du temps sans sacrifier la qualité de votre prospection. Chaque jour, vous recevez une sélection d’annonces pertinentes à contacter, sans avoir à éplucher les plateformes vous-même.

Concrètement, Pige Online vous permet de :

. Être alerté quand un nouveau bien vient d'être publié sur votre secteur

. Filtrer par secteur géographique, type de bien, ou motifs cachés de vente

. Gagner un temps précieux en automatisant la veille

. Vous concentrer uniquement sur la prise de contact et la conversion

. Suivre vos résultats et organiser votre prospection de manière structurée

Notre promesse : vous libérer de la pige manuelle pour que vous puissiez vous consacrer à ce que vous faites le mieux… vendre et accompagner vos clients.

 
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Le moment du rendu de logement est souvent le plus délicat de la gestion locative. Lorsque le locataire conteste l’état des lieux de sortie, le professionnel se retrouve à la croisée de deux impératifs : défendre les intérêts de son client bailleur, tout en respectant le cadre légal.

 

Anticiper le conflit : tout se joue… à l’entrée

Un état des lieux d’entrée complet, clair, précis et signé reste la meilleure arme contre les contestations futures. Trop souvent, les désaccords naissent de documents peu détaillés ou ambigus. En tant que professionnel, il est indispensable :

. D'inclure des photos datées,

. De faire figurer chaque pièce et équipement avec soin,

. Et d’établir l’état initial de propreté sans approximation.

Astuce pro : faire valider chaque ligne à la signature (et pas juste à la fin) peut réduire les risques de contestation.

Contre-analyse du locataire : comment réagir sans se décrédibiliser ?

Face à un locataire qui remet en cause l’état des lieux de sortie, la pire réponse est l’improvisation. Voici les bons réflexes :

. Reprendre l’état des lieux d’entrée pour démontrer l’évolution réelle.

. Appuyer l’analyse par des photos comparatives.

. Si besoin, proposer une contre-visite amiable pour désamorcer les tensions.

Rappel juridique : l’article 1731 du Code civil considère que, sans contestation justifiée, le bien est présumé rendu en bon état si l’état des lieux de sortie est contradictoire.


L’arbitrage du conciliateur ou du juge : quand faut-il y recourir ?

Si la contestation persiste, deux recours sont envisageables :

. La conciliation via la commission départementale de conciliation, gratuite et souvent efficace.

. La saisie du juge des contentieux de la protection, plus longue, mais parfois nécessaire en cas de dégradation manifeste ou désaccord sur les réparations locatives.

Dans tous les cas, un état des lieux numérique, horodaté et enrichi de preuves, renforcera votre position.

 

Startloc : pour des états des lieux béton, même en cas de litige

Quand une contestation surgit, chaque détail compte : horodatage, précision des dégradations, qualité des photos, envoi des documents… Or, ces étapes critiques sont souvent sources d’erreurs en version papier.

Avec Startloc, vous passez à un niveau supérieur de sécurité et de fiabilité :

. Chaque état des lieux est structuré pas à pas,

. Les photos sont datées et légendées automatiquement,

. Un PDF horodaté est généré en fin de visite,

. Et tout est archivé en ligne pour être réutilisable en cas de désaccord.


En choisissant Startloc, vous sécurisez vos états des lieux, vos honoraires, et la relation avec vos clients.
L’application devient un vrai bouclier juridique, tout en fluidifiant vos opérations au quotidien.


 


 

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La FNAIM, dans son dernier point de conjoncture, met en garde : si les premiers signes de rebond sont encourageants, le marché immobilier reste frêle. Malgré une hausse de 2,5 % des transactions dans l’ancien, passer du rebond à une reprise durable nécessite des conditions précises.


Les indicateurs témoignent d’un redémarrage… mais inégal

Selon la FNAIM, environ 892 000 transactions dans l’ancien ont été réalisées au 30 avril 2025, soit une hausse de 2,5 % en un an. La fédération anticipe près de 940 000 ventes sur l’année, soit +11 % par rapport à 2024. Toutefois, cette reprise est inégale géographiquement : les tensions sont plus fortes dans certaines zones (nord de la France), tandis que d’autres restent en retrait.


Une stabilisation des prix, mais des déséquilibres persistent

Après un plongeon de -33 % sur trois ans, les prix reculent désormais de seulement -0,6 % sur un an. Certaines grandes villes comme Lyon ou Nantes accusent encore des baisses significatives, alors que Paris et les stations touristiques tiennent mieux. Cette stabilisation timide met en avant un enjeu crucial : maintenir une tension suffisante entre offre et demande, sans pour autant provoquer de bulle.

 

Des taux d’emprunt conciliants… mais insuffisants seuls

La détente des taux (3,11 % en mai 2025 contre 4,21 % fin 2023) a redonné de l’air aux emprunteurs. Les volumes de crédit ont commencé à remonter. Mais sans un cadre politique solide (PTZ, aides à la rénovation…), ces taux seuls ne suffiront pas à ancrer une reprise durable, selon la FNAIM.

 

Le locatif et le neuf constituent les talons d’Achille

Le parc locatif est en sous-alimentation, avec une raréfaction notable de logements destinés à la location longue durée. Quant à la construction neuve, les mises en chantier s’effondrent (près de 70 ans de recul), freinant toute relance structurelle. Sans renforcement de ces deux piliers, la reprise actuelle pourrait rester superficielle.


Une reprise soumise aux décisions politiques : un cap nécessaire

La FNAIM appelle à des politiques publiques cohérentes :

. Prolongation et modernisation du PTZ,

. Aides étendues pour les bailleurs privés,

. Restauration de l'APL accession,

. Rénovation énergétique structurée,

. Allégements fiscaux sur les droits de mutation

Sans ces réformes, la reprise pourrait bénéficier aux seuls territoires déjà bien lotis, accentuant les inégalités régionales.

 


 

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Dans un marché en quête de stabilité, Century 21 frappe fort avec un record historique de 45 franchises signées en à peine quatre mois. Un signal fort qui illustre non seulement le regain d'intérêt pour le secteur, mais aussi la confiance accordée aux réseaux établis.

 

Une dynamique nationale qui ne faiblit pas

Avec 45 signatures de franchise enregistrées entre janvier et avril 2025, Century 21 confirme son statut de poids lourd du paysage immobilier français. Cette performance s’inscrit dans une dynamique amorcée depuis plusieurs années par le réseau, qui mise à la fois sur la puissance de sa marque, la formation de ses collaborateurs et l’accompagnement de proximité de ses franchisés.

Le réseau, fort de plus de 930 agences réparties sur le territoire, attire de plus en plus de professionnels en reconversion ou d’agents indépendants souhaitant rejoindre une enseigne structurée. Cette croissance traduit une volonté partagée : sécuriser son activité dans un marché parfois imprévisible.

 

Pourquoi ce succès est révélateur d’un mouvement de fond

Dans un contexte où les incertitudes économiques freinent certains porteurs de projet, la progression de Century 21 met en lumière un besoin accru de cadre, d’outils et de notoriété. Pour beaucoup de professionnels, intégrer un réseau immobilier reconnu devient un moyen de traverser les turbulences du marché avec davantage de sérénité.

De plus, l’accent mis par Century 21 sur la formation continue, la digitalisation des outils métiers et l’innovation dans l’approche client (notamment via les estimations en ligne, la pige automatique ou les actions de notoriété locale) renforce l’attractivité du modèle.

 

Ce que les agents indépendants peuvent en tirer

Si vous êtes déjà implanté ou en réflexion stratégique, cette dynamique invite à une vraie question : vaut-il mieux rester indépendant ou rejoindre un réseau ? Le modèle Century 21 démontre qu’un accompagnement structuré, des méthodes éprouvées et une image de marque forte peuvent faire la différence — surtout dans un marché où les vendeurs sont plus attentistes.

Sans forcément changer de modèle, il est intéressant de s’interroger sur certains leviers activés par les réseaux :

. Investir dans la formation continue pour vos équipes.

. Renforcer votre visibilité locale par des actions de proximité.

. Digitaliser votre prospection et vos outils de relation client.

 

Un signal positif pour l’ensemble du marché

Enfin, au-delà du seul réseau Century 21, ce record de signatures peut être interprété comme un signal de confiance dans la reprise progressive du marché immobilier. Là où certains voyaient une contraction durable, d’autres prennent position. Les porteurs de projet, les investisseurs et les vendeurs hésitants peuvent y voir une preuve que le secteur reste solide — à condition d’être bien accompagné.



 

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En 2025, plusieurs départements ont décidé d’augmenter les droits de mutation à titre onéreux (DMTO), faisant grimper les frais d’acquisition immobilière pour les acheteurs. Une hausse silencieuse mais concrète, qui impacte directement la faisabilité des projets, notamment pour les primo-accédants. En tant que professionnel de l’immobilier, il devient essentiel de comprendre les implications de cette réforme, d’en anticiper les conséquences sur vos ventes.


Qui est concerné et pourquoi cette hausse… maintenant ?

Les départements visés incluent le Morbihan, les Côtes-d’Armor, la Seine-et-Marne, le Nord, la Gironde, Paris et bien d'autres.

. Ces votes s’échelonnent d’avril à juillet 2025, selon les conseils départementaux.
. Objectif officiel : compenser la baisse des recettes immobilières dans un marché ralenti


Quel surcoût pour l’acheteur ?
Le passage de 4,5 % à 5 % se traduit par environ 500 € de frais supplémentaires par tranche de 100 000 € de prix de vente. Pour un bien à 300 000 €, cela représente donc 1 500 € de plus.
Important pour la modulation de budget à communiquer dès les premiers échanges.

 

Impacts sur les primo-accédants

Tous les acheteurs ne sont pas concernés : la loi permet aux primo-accédants—absents de la propriété principale depuis 2 ans—d’être exonérés de cette hausse. Seuls certains départements comme le Morbihan appliquent une solution dégressive pour les primo‑accédants (€4,5 % vs 5 %)


Quelles conséquences pour les professionnels de l’immobilier ?

. Anticiper les budgets des acquéreurs : intégrer dès l'estimation la hausse des DMTO évite les chocs financiers au moment de l’offre.

. Adapter ses argumentaires de vente : dans les secteurs moins tendus, le surcroît de 1 500 € peut ralentir une transaction

. Connaître les départements concernés : 84 sur 101 ont déjà appliqué la hausse début juin 2025

. Valoriser les bienfaits légaux : rappeler que même avec des frais plus élevés, la sécurité juridique reste primordiale.

 

À quels moments la hausse s’applique-t-elle ?

Contrairement à une idée reçue, ce n’est pas la date du compromis qui compte, mais la signature de l’acte authentique
. Plus-value confirmée : même si l’offre a été acceptée avant la hausse, si l’acte se signe après, l'acheteur paiera le nouveau taux.

 



 

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Vos annonces sont en ligne, mais les contacts ne suivent pas ? Vous n’êtes pas seul. Dans un marché saturé, être visible ne suffit plus : encore faut-il capter l’attention au bon moment, sur les bons canaux.

 

Des biens en ligne, mais peu de contacts : le nouveau défi des pros

La majorité des agents immobiliers publient aujourd’hui leurs biens sur plusieurs portails. Pourtant, beaucoup constatent une chute du nombre de contacts entrants. Photos soignées, prix alignés au marché… alors pourquoi ça ne clique pas ?

 

Les bons portails, au bon moment

Le réflexe de “publier partout” est devenu inefficace et coûteux. Une diffusion ciblée et optimisée vaut mieux qu’une présence dispersée. De nombreux professionnels ne mesurent même pas la performance de chaque canal : combien d’annonces vues ? Combien de clics ? Combien de demandes ? Sans ces données, impossible d’ajuster.

 

Vos annonces restent trop longtemps sans interaction

C’est un signe clair d’un problème de diffusion. Une annonce qui stagne plus de 10 jours sans contact mérite une action rapide : nouvelle accroche, repositionnement ou meilleure plateforme de diffusion. Agir vite permet de sauver un bien d’une invisibilité durable.

 

Monbien : la solution pensée pour les pros

Avec Monbien, vos annonces bénéficient d’une diffusion 100 % gratuite, illimitée, sans publicité concurrente et sur une plateforme dédiée aux professionnels.

 

Fonctionnalités clés de Monbien :

. Diffusion gratuite et illimitée de vos annonces, sans coûts cachés.

. Plateforme dédiée aux professionnels : aucun contenu intrusif, zéro publicité extérieure.

. Passerelle automatique pour publier vos annonces sans ressaisie manuelle.

. Statistiques détaillées par annonce pour suivre la performance de chaque bien.

. Fiche agence dans l’annuaire pro, pour accroître votre visibilité locale.

 

 Simple, pro, et sans frais : Monbien est la plateforme idéale pour les agences qui veulent diffuser efficacement… sans exploser leur budget.

 

 


 

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