Melvin MASSEAUX

Melvin MASSEAUX

Dans un marché immobilier de plus en plus concurrentiel, chaque détail compte pour convaincre un propriétaire ou fidéliser un locataire. L’état des lieux, souvent perçu comme une simple formalité administrative, peut en réalité devenir un véritable argument commercial. La précision, la clarté et la fiabilité du document ne protègent pas seulement juridiquement : elles reflètent aussi le professionnalisme et la qualité de service d’une agence.

 

Un document technique… mais aussi marketing

L’état des lieux est d’abord un outil juridique destiné à protéger bailleurs et locataires en comparant l’état du logement à l’entrée et à la sortie. Mais au-delà de cet aspect légal, il constitue aussi un support de communication implicite. Un état des lieux précis, structuré et documenté rassure le client : il perçoit l’agence comme sérieuse, rigoureuse et digne de confiance. À l’inverse, un document approximatif ou incomplet peut fragiliser la relation et nuire à l’image de marque.

 

La précision comme gage de confiance

Chaque mention, chaque photo et chaque signature a son importance. En cas de contestation, le détail fait la différence entre un litige perdu et un client satisfait. Mais avant même d’arriver à ce stade, un état des lieux bien réalisé rassure le propriétaire bailleur : il sait que son bien est géré avec soin. Pour l’agence, c’est un argument commercial fort, car il démontre une gestion proactive et professionnelle.

 

De la contrainte à l’opportunité

Si de nombreux professionnels considèrent encore l’état des lieux comme une tâche chronophage, il peut pourtant se transformer en avantage concurrentiel. Présenter à un propriétaire un état des lieux détaillé, clair et incontestable, c’est montrer que l’agence se distingue par son exigence et son sérieux. C’est aussi un moyen de fidéliser les locataires, qui se sentent eux-mêmes protégés par un document transparent et précis.

 

Startloc : l’application qui digitalise vos états des lieux de A à Z

Avec Startloc, transformez vos états des lieux en un outil simple, rapide et incontestable. Depuis votre smartphone ou tablette, vous gagnez du temps et sécurisez chaque dossier grâce à des fonctionnalités pensées pour les professionnels :

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. Rapports générés automatiquement, clairs et détaillés.

. Archivage sécurisé en ligne, accessible à tout moment.

. Interface intuitive, pensée pour les agences et gestionnaires.

 

 


 

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Dans l’immobilier, un contrat mal rédigé peut avoir des conséquences lourdes : litiges, annulations, perte de confiance ou encore sanctions juridiques. Mandats, baux, compromis de vente… chaque document doit être irréprochable, tant sur le plan légal que pratique. Pour les professionnels, sécuriser la rédaction des contrats est donc un enjeu incontournable afin de protéger à la fois leurs clients et leur propre activité.

 

1. L’importance d’une rédaction sans faille

Chaque transaction repose sur des documents juridiques qui encadrent les droits et obligations des parties. Un mandat incomplet, une clause mal formulée ou un oubli de mention légale peuvent suffire à fragiliser une vente ou une location. La rigueur dans la rédaction est donc essentielle, d’autant que la réglementation évolue régulièrement.

 

2. Les erreurs les plus fréquentes

Parmi les écueils rencontrés, on retrouve souvent :

. Des mentions obligatoires manquantes (superficie loi Carrez, diagnostics obligatoires, durée du bail, etc.) ;

. Des clauses imprécises qui laissent place à l’interprétation ;

. Des modèles obsolètes qui ne tiennent pas compte des dernières évolutions légales.

  • Ces erreurs, parfois considérées comme de “simples détails”, peuvent pourtant déboucher sur des contestations ou des litiges coûteux.

 

3. Les bonnes pratiques pour sécuriser vos contrats

Pour fiabiliser la rédaction de vos contrats immobiliers, il est indispensable de s’appuyer sur des modèles toujours à jour, adaptés aux évolutions législatives. Chaque document doit ensuite être personnalisé en fonction de la situation spécifique du client, afin d’éviter les clauses trop génériques qui pourraient se retourner contre l’agence.

 

Une relecture attentive s’impose à chaque étape et, pour les points les plus sensibles, le regard d’un juriste peut apporter une sécurité supplémentaire. Enfin, le suivi rigoureux des signatures et des dates clés garantit que les engagements sont respectés et opposables en cas de litige.

 

 

Sinimo : la solution pour sécuriser vos contrats immobiliers

Pour répondre à ces enjeux, Sinimo propose une application spécialement conçue pour les agences immobilières. Avec Sinimo, vous pouvez :

. Générer en quelques minutes tous vos contrats (mandats, baux, compromis, lettres SRU, etc.) ;

. Utiliser des modèles toujours conformes aux dernières lois ;

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. Automatiser les tâches répétitives pour vous concentrer sur la relation client.

 

 

 


 

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La prospection locale reste le cœur de l’activité des professionnels de l’immobilier. Mais comment s’assurer que chaque action menée sur son secteur est réellement efficace ? En combinant méthodes traditionnelles et outils de pige modernes, les agents peuvent identifier plus vite les opportunités, cibler les bons prospects et transformer leurs actions en mandats concrets.

 

Comprendre l’importance de la prospection locale

La prospection est souvent perçue comme une activité chronophage. Pourtant, elle demeure la première source de mandats pour une agence ou un mandataire. Bien travailler son secteur, c’est s’assurer une meilleure visibilité, une relation de proximité avec les habitants, et surtout un flux régulier d’opportunités à convertir en clients vendeurs.

 

La pige comme levier stratégique

La pige immobilière permet d’identifier rapidement les nouvelles annonces de particuliers, souvent avant vos concurrents. Elle offre une vision claire de l’activité de votre secteur : qui met en vente, à quel prix, et avec quelle récurrence. En croisant ces informations avec votre connaissance locale, vous optimisez vos actions de prospection et gagnez un temps précieux.

 

Combiner actions terrain et outils digitaux

La réussite passe par un équilibre :

. Sur le terrain, boîtage, porte-à-porte et présence locale restent efficaces pour ancrer votre image.

. En ligne, les outils de pige automatisés permettent de détecter instantanément les nouvelles opportunités, sans passer des heures à surveiller manuellement les sites de petites annonces.

Cette synergie entre proximité humaine et technologie est aujourd’hui un atout concurrentiel majeur.

 

Pige Online : l’allié des professionnels de l’immobilier

Pour les professionnels qui veulent aller plus loin dans leur prospection locale, Pige Online offre une solution simple et performante. L’application centralise toutes vos opportunités et vous fait gagner un temps précieux grâce à :

. Détection automatique des nouvelles annonces de particuliers sur votre secteur.

. Alertes en temps réel pour être le premier à contacter les prospects.

. Ciblage précis par zones pour concentrer vos efforts là où la demande est la plus forte.

. Historique et suivi des annonces pour organiser vos relances efficacement.

. Interface intuitive pensée pour les agents et mandataires, accessible depuis ordinateur ou mobile.

 

 


 

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Nommée fin 2024, Valérie Létard a enclenché dès ses premiers mois à la tête du ministère du Logement un ensemble de mesures ambitieuses pour redynamiser le secteur. Simplification, lutte contre les fraudes, soutien à l’accession, transformation du parc existant… Ce bilan de neuf mois signe un engagement fort, mais soulève aussi la question de la durabilité de ces avancées.

 

Un nouveau statut pour bailleurs privés

Parmi les priorités inscrites à l’agenda du ministère, l’investissement locatif a occupé une place centrale. Valérie Létard a proposé un statut unique pour les bailleurs privés, avec des avantages fiscaux simplifiés et une meilleure sécurité juridique. L’idée : remplacer la juxtaposition de dispositifs comme le Pinel ou le Denormandie par une formule plus stable, conditionnée à la qualité énergétique des logements loués sur longue durée.

 

Fiabiliser le DPE : transparence et contrôles renforcés

Le Diagnostic de Performance Énergétique (DPE) est devenu un pilier du plan logement. Parmi les mesures mises en place : un plafond annuel de 1 000 DPE par diagnostiqueur pour limiter les abus, l’obligation d’intégrer un QR code à chaque DPE dès septembre pour en vérifier l’authenticité, et des sanctions accrues pour les diagnostiqueurs défaillants.

 

Soutien à l’accession à la propriété

Pour aider les primo-accédants et les classes moyennes face aux prix élevés, plusieurs dispositifs ont été élargis : le Prêt à Taux Zéro (PTZ) voit ses plafonds étendus, et davantage de zones deviennent éligibles. À cela s’ajoute une exonération de droits de donation jusqu’à un certain montant, à condition d’investir dans un logement – neuf ou à rénover – destiné à résidence principale, et de le conserver plusieurs années.

 

Mobiliser le parc existant et agir sur les bâtiments vacants

Consciente du potentiel des bâtiments non utilisés, la ministre a lancé un plan pour encourager leur transformation rapide en logements. Cela passe par des simplifications administratives, un soutien technique aux collectivités, et une adaptation des cadres réglementaires locaux.

 

Habitat adapté au changement climatique & lutte contre la fraude

Un volet important du mandat porte sur l’adaptation thermique des logements : isolation renforcée, protections solaires, recours à des systèmes performants et peu énergivores. Dans le même temps, la ministre s’est engagée à renforcer les contrôles autour du dispositif MaPrimeRénov’ : création de commissions de sanctions, possibilité de résiliation pour les ménages, publication des sanctions.

 

Prévention de l’habitat dégradé et modernisation des copropriétés

Parmi les mesures adoptées : l’obligation d’un diagnostic structurel pour les immeubles collectifs dans les communes identifiées comme à risque, sous peine pour les collectivités de pouvoir engager les travaux si les propriétaires ne se conforment pas. Également, l’anticipation de l’extinction des réseaux 2G/3G, avec des dispositifs pour moderniser les ascenseurs des copropriétés concernés.

 

 


 

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Un arrêté publié début septembre 2025 a redessiné la carte du zonage ABC, qui classe les communes selon la tension de leur marché immobilier. Cette révision n’est pas anodine : elle conditionne l’éligibilité au Prêt à Taux Zéro (PTZ), les dispositifs d’investissement locatif ou encore les plafonds de loyers. Pour les professionnels de l’immobilier, c’est un paramètre essentiel à intégrer dès maintenant dans leurs conseils aux clients.

 

Le principe du zonage ABC

Le zonage ABC classe les communes françaises selon le degré de tension du marché immobilier :

  • Zone A et B1 : zones tendues, où la demande excède largement l’offre (grandes métropoles, littoral attractif, etc.).

  • Zone B2 et C : marchés plus détendus, avec un équilibre ou un excédent d’offre.

Ce classement n’a rien d’anecdotique. Il conditionne l’accès à plusieurs dispositifs, en particulier le PTZ, les plafonds du Pinel (dans les zones encore éligibles), ou encore les règles encadrant les loyers.

 

Ce que change la révision 2025

La mise à jour du zonage, entrée en vigueur en septembre 2025, entraîne des changements pour plusieurs centaines de communes. Certaines, en forte croissance démographique ou sous pression locative, basculent en zone tendue (B1 ou A). D’autres, au contraire, rétrogradent vers des zones plus détendues.

. Accès au PTZ : un primo-accédant situé dans une commune nouvellement classée en zone tendue pourra bénéficier de conditions plus favorables pour financer son achat. À l’inverse, ceux qui passent en zone “moins tendue” risquent de perdre cet avantage.

. Investissement locatif : les plafonds de loyers et de ressources évoluent en fonction de la zone, ce qui peut modifier la rentabilité des projets locatifs.

. Marché local : la reclassification agit comme un signal : une commune qui passe en zone tendue peut voir la demande s’accroître, les prix se maintenir voire repartir à la hausse.

 

Impacts pour les professionnels de l’immobilier

Pour les agents, courtiers, notaires et conseillers en gestion de patrimoine, cette évolution implique :

  • de mettre à jour leurs simulations financières intégrant le PTZ,

  • d’adapter leur argumentaire auprès des primo-accédants comme des investisseurs,

  • de communiquer rapidement auprès de leurs clients sur les opportunités ou, au contraire, les pertes d’avantages liés à la bascule de leur commune.

La maîtrise de ces changements peut devenir un facteur de différenciation, notamment face à des acheteurs qui découvriraient tardivement la perte de leur éligibilité au PTZ.

 

 


 

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Après des mois de ralentissement, le marché immobilier français montre des signes de redressement en 2025. Toutefois, bien que les ventes repartent, le rythme reste en deçà des attentes. Pour les professionnels, ce constat appelle une analyse des leviers à actionner et des obstacles à lever dès maintenant.

 

Un bilan 2025 contrasté

La dynamique amorcée depuis l’an dernier trouve un écho positif : les transactions dépasseraient symboliquement les 900 000 ventes, avec une perspective autour de 925 000 pour l’année, soit une progression d’environ 8,2 % par rapport à 2024.

Mais ce redémarrage reste plus timide que prévu. Le printemps, souvent porteur de rebonds, a été moins actif qu’habituellement, ce qui modère les espoirs d’atteindre un million de transactions.

 

Prix et loyers : de la stabilité en mutation

Côté prix, la tendance baissière semble avoir été inversée : l’Indice des Prix de l’Immobilier (IPI) affiche une hausse modérée de +0,8 % sur un an à l’échelle nationale ; les grandes métropoles connaissent pour la plupart un retour de la hausse.

Concernant le locatif, la hausse des loyers continue, mais à un rythme nettement ralenti — +1,5 % sur un an, contre +4,2 % l’année précédente. Dans les grandes villes, cette progression est même divisée par cinq par rapport à celle d’il y a un an.

 

Freins persistants à la reprise

Malgré les signaux encourageants, plusieurs facteurs limitent la vigueur de la reprise. Les taux d’emprunt espérés sous la barre de 3 % sur 20 ans n’ont pas été atteints : ils restent autour de 3,25 % pour cette rentrée. Autre frein : les secundo-accédants qui souhaitent revendre se retrouvent souvent pénalisés, certains cédant à perte dans des zones où les prix sont toujours en retrait par rapport à leurs pics.

 

Perspectives pour 2026 : redressement modéré mais réel

À l’approche de 2026, les professionnels sondés estiment que la reprise devrait se poursuivre, mais de manière progressive. Les incertitudes politiques, les contraintes économiques (pouvoir d’achat, inflation) et le manque de visibilité sur la politique du logement demeurent des sujets de vigilance.

 

 


 

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À compter du 1er septembre 2025, chaque Diagnostic de Performance Énergétique (DPE) devra comporter un QR code officiel. Cette mesure, annoncée par Valérie Létard, ministre du Logement, vise à renforcer la fiabilité des diagnostics, lutter contre les fraudes et restaurer la confiance dans un secteur souvent pointé du doigt. Pour les professionnels, c’est un changement réglementaire à anticiper dès maintenant.

 

Le dispositif : qu’est-ce qui change ?

Le 1er septembre 2025, une nouvelle obligation entre en vigueur : chaque DPE devra inclure un QR code officiel, permettant à tout utilisateur (propriétaire, locataire, professionnel) de scanner ce code pour vérifier que le diagnostic est bien enregistré auprès de l’ADEME et que ses données sont conformes.

Cette mesure s’inscrit dans le plan de fiabilisation du DPE lancé en mars dernier, dont l’objectif est de renforcer la crédibilité de l’outil.

 

Pourquoi ce changement maintenant ?

. Lutte contre la fraude : des diagnostics douteux ou mal réalisés circulent, ce qui érode la confiance des clients et nuit à la réputation des acteurs sérieux. Le QR code permet une vérification rapide et fiable.

. Transparence renforcée : les acquéreurs ou locataires pourront obtenir une information immédiate et vérifiable, ce qui doit faciliter les transactions ou la location.

. Pression réglementaire accrue : parallèlement, d’autres mesures entrent ou vont entrer en vigueur :

. Suspension possible pour les diagnostiqueurs réalisant plus de 1 000 DPE par an à compter d’octobre 2025.

. Révision du mode de calcul du DPE dès le 1er janvier 2026, avec reclassification de nombreux logements, notamment ceux chauffés à l’électricité.

 

Impacts pour les professionnels de l’immobilier

 

L’arrivée du QR code dans le DPE n’est pas une simple formalité. Un diagnostic sans QR code officiel, ou mal enregistré, pourrait être contesté et donc invalidé lors d’une transaction ou d’une location, exposant les professionnels à un risque de non-conformité. Cette nouvelle obligation entraîne aussi une charge administrative supplémentaire : les agences devront s’assurer que leurs diagnostiqueurs sont à jour, que les logiciels intègrent correctement le QR code et que les données soient bien transmises à l’ADEME.

Au-delà de l’aspect technique, cette évolution impacte également la communication et l’organisation interne. Le QR code devient un véritable gage de fiabilité à mettre en avant dans les annonces et supports de vente.

 


 

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La chute du Gouvernement Bayrou replonge le marché immobilier dans l’incertitude. Alors que des mesures fiscales et réglementaires devaient soutenir investisseurs, bailleurs et ménages, cette instabilité politique ravive les inquiétudes : taux d’emprunt, confiance des ménages, projets législatifs et visibilité à long terme.

 

La chute du Gouvernement Bayrou : rappel des faits

Le 8 septembre 2025, François Bayrou n’a pas obtenu le vote de confiance de l’Assemblée nationale (364 voix contre, 194 pour), entraînant automatiquement la démission de son gouvernement. Quelques jours plus tôt, des avancées importantes avaient été annoncées dans le domaine du logement, dont la création d’un statut fiscal pour les bailleurs privés. Valérie Létard, ministre du Logement, avait engagé des actions concrètes afin de relancer ce secteur souvent critiqué pour son instabilité réglementaire.

 

Une forte dose d’incertitude pour les acteurs du logement

. Politique : la composition du nouveau gouvernement (avec Sébastien Lecornu nommé Premier ministre) reste floue, notamment pour le portefeuille du Logement. Le maintien ou non de Valérie Létard dans ce rôle est scruté comme un indicateur de continuité ou de rupture.

. Économique : l’instabilité gouvernementale est souvent perçue comme un facteur de risque supplémentaire dans un contexte où les taux d’emprunt, la confiance des investisseurs et des ménages sont déjà fragilisés.

. Législatif & fiscal : plusieurs mesures prévues dans le projet de loi de finances 2026 — statut fiscal des bailleurs privés, etc. — pourraient être retardées ou modifiées selon les arbitrages du nouveau gouvernement.

 

Réactions des professionnels : entre vigilance et inquiétude

Les organisations représentatives du secteur immobilier ne cachent pas leur préoccupation :

. L’UNIS : besoin urgent de stabilité pour les entreprises et les projets des particuliers.

. La FNAIM : le marché n’est pas « à l’arrêt », mais l’incertitude pèse déjà sur la confiance des acheteurs.

. Le secteur du bâtiment : demande des règles du jeu claires, dénonçant le changement trop fréquent de ministres, normes et réglementations.

 

 

Ce à quoi il faudra rester attentif

. Composition ministérielle : le maintien ou non des têtes fortes du logement, ou l’arrivée de nouveaux acteurs aux positions plus ou moins favorables au secteur.

. Projet de loi de finances 2026 : son calendrier, ses mesures, et leur mise en œuvre effective.

. Décisions des agences de notation : une éventuelle dégradation de la note de la France pourrait peser lourdement sur les coûts de financement.

. Orientations de la BCE et politique monétaire : les taux directeurs, les mesures de soutien ou de resserrement, possible impact immédiat sur les crédits immobiliers.

. Réactions des professionnels via les fédérations et syndicats : volonté de peser dans les débats pour stabiliser le cadre juridique et fiscal, en faveur d’une plus grande prévisibilité.

 

 

 


 

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Souvent considéré comme une simple formalité, l’état des lieux est en réalité un document juridique essentiel. En cas de litige avec un locataire — dégradations, retenue sur le dépôt de garantie, conflit sur l’usure normale — tout repose sur la qualité de ce document. Et quand il est mal rempli ou incomplet, c’est votre parole contre la sienne… parfois jusqu’au tribunal.

 

Quand un oubli peut faire perdre un procès

Un robinet abîmé, un mur tâché, une moquette usée : autant de petits détails qui prennent une dimension juridique quand le locataire conteste des retenues sur sa caution. Les juges se basent quasi exclusivement sur la comparaison entre l’état des lieux d’entrée et celui de sortie. Si l’un des deux est incomplet, non signé, non daté ou approximatif… la balance penchera presque toujours en faveur du locataire.

 

Exemple réel : Un propriétaire avait retenu 420 € pour des trous dans un mur. L’état des lieux d’entrée mentionnait "murs corrects", sans autre précision. Le juge a estimé cette mention insuffisante : remboursement total de la retenue + 350 € de dommages pour le locataire.

 

Les 3 erreurs qui vous exposent à un contentieux

1. Mentions vagues ou non contradictoires : “Bon état” ne veut rien dire sans précision.

2. Absence de signature ou d’exemplaire remis au locataire : l’état des lieux peut être invalidé.

3. Pas de photos ou de justificatifs : vous perdez toute preuve en cas de contestation.

Un état des lieux mal fait ne protège ni le bailleur, ni le professionnel en gestion. Et c’est souvent l’agence qui doit se justifier si elle a été mandatée.

 

Se protéger efficacement… grâce aux bons outils

Face à ces risques, la rigueur et la traçabilité sont vos meilleurs alliés. C’est pourquoi de plus en plus de professionnels optent pour une solution numérique comme Startloc.

 

Startloc : l’app qui vous protège autant que vos biens

Startloc est une application 100 % pensée pour les pros de l’immobilier, qui permet de réaliser des états des lieux complets, conformes et infalsifiables directement depuis votre smartphone ou tablette.

Ses atouts :

. ✅ Des modèles personnalisables et clairs pour chaque bien

. ✅ Insertion facile de photos horodatées et géolocalisées

. ✅ Signature électronique par les deux parties, sur place

. ✅ Archivage automatique, en PDF, avec envoi au locataire

. ✅ Sécurité juridique renforcée en cas de contestation

 

 

En quelques minutes, vous avez un état des lieux propre, complet et juridiquement solide, que vous soyez agent, gestionnaire ou propriétaire bailleur.

 

 


 

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À l’heure où les grands portails font flamber les coûts de diffusion, une question se pose : est-il encore possible de publier ses annonces gratuitement sans sacrifier leur visibilité ? Face à la saturation du marché et à la pression financière, de plus en plus de professionnels se tournent vers des alternatives.

 

Diffuser gratuitement ses annonces : mythe ou vraie opportunité en 2025 ?

La diffusion d’annonces immobilières est l’un des postes de dépense les plus lourds pour les agences, notamment pour les indépendants ou les petites structures. Entre les abonnements mensuels aux grands portails, les options de remontée et les services supplémentaires, la facture grimpe vite… sans garantie de performance.
Mais en 2025, une tendance se confirme : de plus en plus de professionnels cherchent à réduire leurs coûts de diffusion sans sacrifier leur visibilité. Alors, diffuser gratuitement ses annonces est-ce un mythe ou une vraie alternative ?

Spoiler : c’est aujourd’hui une opportunité bien réelle, à condition de faire les bons choix.

 

Des coûts de diffusion qui pèsent de plus en plus lourd

Les grands portails immobiliers sont devenus incontournables… mais aussi très coûteux. Pour les agences, les abonnements dépassent souvent plusieurs centaines d’euros par mois, auxquels s’ajoutent :

. Des options pour booster la visibilité (remontée en tête de liste, mise en avant, etc.),

. Des frais cachés pour accéder aux leads ou aux contacts vendeurs,

. Des conditions contractuelles parfois rigides, avec des engagements sur 12 mois.

Résultat : certaines agences dépensent jusqu’à 1 000 € par mois uniquement pour diffuser leurs annonces, sans toujours obtenir le retour sur investissement espéré.

 

Monbien : une vraie alternative gratuite pour les pros

Parmi ces alternatives, Monbien.fr se distingue par sa simplicité et sa promesse forte :

permettre aux professionnels de diffuser gratuitement leurs annonces immobilières.

Sans frais, sans abonnement, sans engagement.

Conçu pour les pros de terrain qui veulent reprendre le contrôle de leur diffusion, Monbien offre :

. ✅ Un dépôt d’annonce gratuit, illimité et rapide, sans condition cachée

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. ✅ Une mise en avant équitable de toutes les agences, qu’elles soient petites ou grandes

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